Que penses-tu de ton travail sur cette Vuelta ?
C’est la première fois que je participe à la Vuelta, c’est très excitant ! J’étais déjà venu en France avant, j’étais allée à Paris, Poitiers et Monaco mais je ne connaissais pas Nîmes. J’aime beaucoup la France, c’est un très beau pays et je suis contente que la Vuelta y ait débuté.

Peux-tu nous parler de tes différentes missions durant une journée type ?
L’amplitude horaire est assez conséquente. Toute la matinée, nous donnons des cadeaux publicitaires de la marque BIC aux spectateurs et aux visiteurs du village départ, par exemple aujourd’hui ce sont des éventails, ce qui risque d’être utile vu la chaleur ! Pendant la signature des cyclistes sur le podium présentation, nous devons être sur les bords du podium avec la mascotte BIC et danser, faire de l’animation pour le public pour rendre ce moment un peu plus vivant. Nous avons également des markers BIC si les cyclistes souhaitent faire des dédicaces pour les fans. L’après-midi, nous faisons des jeux pour les spectateurs, nous leur faisons des photos souvenirs et nous nous assurons qu’ils passent un bon moment.

Combien d’hôtesses êtes-vous dans l’équipe ?
Nous sommes 4 filles mais aujourd’hui seulement 3 car l’une de nos collègues est très malade et se repose à l’hôtel. Nous sommes un peu inquiètes pour elle, on espère qu’elle se rétablira vite.

Par conséquent, vous assumez une dose de travail supplémentaire ?
Oui mais c’est tout à fait normal qu’on s’en occupe puisqu’elle ne peut pas. L’après-midi, il y a souvent des françaises qui travaillent avec nous et qui nous aident avec la langue.

Vous êtes donc 4 femmes et un homme pour assurer le rôle de mascotte. Qu’en penses-tu ?
Oui nous sommes plus de filles. C’est plus pratique car à l’hôtel par exemple nous pouvons partager la même chambre, partager nos émotions et nos ressentis. Nous avons confiance les unes en les autres et nous sommes plus complices.

Propos recueillis par Mathilde Duriez, photos Sjors Beukeboom