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Emmanuel LIEUTIER

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Tout ce qui a été posté par Emmanuel LIEUTIER

  1. Cette année, j'ai enchainé l'ardéchoise (125km), l'ariégeoise (montagnole), marmotte puis un weekend de repos avant l'étape du tour. Je n'ai pas eu l'impression d'être cramé lors de l'étape. J'ai même eu la sensation de profiter d'un bon état de forme. En 2016 j'espère qu'il en sera de même sauf que je compte faire le grand parcours de l'ariégeoise et qu'il n'y a pas de weekend de repos entre la marmotte et l'EDT. Peut être vais-je sacrifier l'ardechoise, vu qu'il y a aussi le ventoux début juin.
  2. J'ai fait la marmotte uniquement en 2015, mais il me semble que sur la portion Lautaret-bourg d'oisans, ils coupaient la circulation dans le sens inverse de la course. Ça règlerait le problème de la route trop étroite.
  3. Sur internet il parle de "couche de roulement". Je l'avais compris comme du goudron. https://www.isere.fr/actualite?itemid=467 Peut-être ceux qui habitent la région en savent plus...
  4. Bouhani aura peut-être chuté avant le dernier tour, et Démare peut-il battre tous les meilleurs sprinteurs ?
  5. S'ils veulent faire payer les spectateurs, ils faut qu'ils organisent des parc fermés comme en rallye. Tu pourrais assister à l'échauffement des coureurs, le matériel serait exposé. Chaque équipe pourrait vendre accessoires à ses couleurs, photos, .... Cela me semble plus réaliste que de fermer l'accès d'une route.
  6. Je fais parti du club de Rivesaltes, Il n'y a pas d'UFOLEP dans la région. Le principal organisateur dans le département est ROUSSILLON ANIMATIONS qui a un site : http://www.velosoleil.com/index.php. Ils organisent de nombreuses courses comme les courses au soleil (Elites) en février, Força Real le lundi de paques... Le 5 septembre, il y a les bosses du 66 qui est une course mi-cyclo, mi-FFC comme peut l'être Força Real. Voir détail ici : http://www.velosoleil.com/annonces-autres2.php?id=82 Il y a de très nombreux coursiers Espagnoles qui font le déplacement et qui figurent la plupart du temps aux premières places. Après, à cette saison il y a plusieurs Gentleman, mais c'est bien différent
  7. Moi j'ai fait l'inverse, j'ai fait 10 ans de muscu et après une période d'inactivité, je me suis mis au vélo. Même après 10 ans sans toucher une barre, je garde un volume musculaire que je n'arrive pas à perdre...
  8. Ce n'est pas gagné pour que la Marmotte 2016 retrouve son itinéraire traditionnel...
  9. Tu as sans doute raison, je n'ai pas regardé. Je sais qu'il y avait l'option sur CD envoyé par la poste. Pour le tirage papier, ce ne serait pas étonnant qu'il ne soit pas proposé, car en 2015 imprimer des photos sur du papier est devenu une opération courante et peu onéreuse. Les imprimantes Perso d'aujourd'hui donnent des résultats très satisfaisant.
  10. C'est le tarif de photoventoux lors de la beaume de Venise. http://www.photoventoux.com/commande.php?rep=.%2Fgaleries%2F2015ete%2F20150531-se%2F20150606-ventoux%2F20150606-ventoux-nord&evenement=20150606-ventoux&sous_ev=20150606-ventoux-nord&photo=C0606-NORD-dav_0744.JPG&pas=648&nbdeb=648
  11. Achetez-vous les photos prisent lors des cyclos auquelles les vous participez ? Vu les tarifs habituellement pratiqués (16€ la photo à télécharger), je n'en avait jamais commandé. Sur l'étape du tour, les tarifs sont plus raisonnable (Sportograf prestataire Allemand), du coup je me suis laissé tenter. Pour 30€, j'ai eu 51 magnifiques photos en haute définition. Je pense que si les prix habituellement pratiqués étaient plus bas, ils en vendraient beaucoup plus. Quand pensez-vous ?
  12. Même s'il a fait chaud (surtout pour la montée de la Toussuire), c'était supportable par rapport à la Marmotte deux semaines plus tôt. La montée de l'Alpe s'est faite en pleine canicule (36°C à Bourg d'Oisean) et m'a beaucoup plus impactée la performance.
  13. Merci, félicitation à toi aussi. Le top 100 n'était pas loin. C'est un classement qui me plairait bien l'année prochaine. Mais pour cela il faudra bien travailler cette hiver et ne pas trop manger de fois gras car je suis encore un peu trop lourd...
  14. Dans les Pyrénées orientales. En hiver, je trouve des cols de longueur jusqu'à 10 km avec du 8% et parfois un peu de neige. Au printemps il y a les cols déjà un peu plus long et dur (col de jau, mantet, creu, d'ares...) et en juin il y a le pailhéres pas très loin.
  15. J'ai 44 ans et actuellement je fais 12000 km par an (moins les premières année). Actuellement, je suis à 7100 km et 85300 m de dénivelé. Je fais des bosses près de chez moi et fais quelque sortie au alentour de 3000 m de dénivelé en mai - juin. Depuis 3 ans, en septembre, je pars une semaine en vacances à Valloire où je fais tous les cols aux alentours (j'adore cette région). Cette année j'ai enchainé le Ventoux Baume de Venise, Ardéchoise, Ariégeoise, Marmotte et Etape du tour. Maintenant je relâche un peu et c'est vélo plaisir.
  16. Je me suis mis au vélo il y a 4 ans, étant jeune j’ai fait du foot comme mes copains de mon village (en Ardèche). A 16 ans, j’ai commencé à faire des joutes (lyonnaise pour ceux qui connaissent) et des courses de barques (comme l’aviron mais avec une barque en bois). A 18 ans je m’inscris dans une salle de muscu en complément, puis me passionne pour cette activité et fini par faire plus que ça. A 22 ans après le service militaire, je décide de faire du culturisme et deviens champion de France IFBB en moins de 90kg (en 1998), participe aux jeux méditerranéens (4e) et fait 2e aux championnats de France 2002 cette fois-ci en plus de 90 kg. Je pèse à cette époque-là aux alentours de 110 kg. Entre temps, je déménage pour raison professionnel près de perpignan. Je fais alors construire ma maison et décide d’arrêter la muscu trop contraignante. Je reste 10 ans quasiment sans faire de sport. Il y a 4 ans, je m’achète un vélo route premier prix chez décat et commence à faire quelques sorties en solitaire. Etant jeune, j’ai toujours aimé le vélo, je me rappelle avoir passé du temps à contempler les vélos d’un magasin qui se trouvait à 10 km de chez moins (c’était les cycles Genthon, ancien coureur qui avait fait le tour de France). J’achète quelques revues et vois qu’il existe des cyclosportives et décide d’essayer d’y participé. Je vends mon premier vélo, et achète un vélo carbone chez un vendeur connu basé à Castelferrus. Je l’achète en pièces détachées et le monte moi. Ma première cyclo est le raid des Alpilles, je pèse alors 90 kg et me classe aux alentours de la 150e place (milieu de classement). Cette première cyclo m’a plu et j’enchaine alors Força Réal où je fini dans les derniers, l’ardéchoise (mon ancienne région), l’Ariégeoise (que le plateau de Beille fut difficile), les bosses du 66 et la Jalabert. L’année suivante, j’intègre le club de Rivesaltes et commence à perdre du poids pour être plus compétitif. Je participe à mes premières courses FFC (lâché très vite, car roulé en peloton est pas évident au début) puis enchaine les cyclo et accumule les kilomètres et de l’expérience. Dans la vie de tous les jours, je suis dessinateur industriel, marié avec un enfant.
  17. J'en ai vu beaucoup qui ont tiré tout droit à St Jean au alentour de 17h
  18. Merci, oui j'ai pris du plaisir comme j'en ai pris aussi à la Marmotte malgré la chaleur. En partant dans les premiers, on n'a pas les désagréments des bouchons ou la queue aux ravitos. Après chacun prend du plaisir à son niveau. Même si je n'ai pas le gabarit d'un grimpeur (75kg pour 1.75 m) et que je fais du vélo que depuis 4 ans, je me régale dans les courses en haute montagne. Je fais aussi des courses FFC en boucle, mais c'est quand même différent.
  19. Quand tu arrives, la première chose que tu veux c'est boire. Le repas généralement je le prends avec mais amis avec qui je suis venu et pas tout seul dans mon coin. De plus un demi litre d'eau n'aurait pas suffit. Je ne pense pas que la solution était de passer plusieurs fois uniquement pour la bouteille d'eau...
  20. Départ de Perpignan samedi 10 h, nous sommes deux du club, le GPS indique une arrivée à la Toussuire à 15h30. Mais c’est un weekend de départ et retour de vacances et nous devons emprunter la route la plus encombrée de France. Comme on pouvait le craindre, premier bouchon avant Montpellier, le trajet s’annonce compliqué. Pour corser le tout, il y a eu un accident au niveau de Bollene, on fait 10 km soit en première soit arrêté. Ça sera compliqué jusqu’à Valence, l’autoroute vers Grenoble est bien moins chargée. Finalement, nous arrivons à St Jean de Maurienne vers 17h15. L’entrée dans la ville est bouchée, pour patienter, nous regardons l’arrivée du tour sur l’Iphone. Le problème, c’est qu’après la traversée de St jean, nous n’avançons pas mieux. Nous réalisons alors que ce sera comme ça jusqu’à la Toussuire… La montée sera très longue, plus longue que celle que nous réaliserons le lendemain en course. Niveau organisation, ce n’était pas une très bonne idée de mettre la remise des dossards à la Toussuire. Au moins, ils auraient pu faire comme le jour de la course, faire la montée sur une route et la descente sur une autre, cela aurait fluidifié le trafic. Je commence à m’inquiéter, je n’ai pas acheté de barres énergétiques, pensant les acheter sur le village exposant, mais si ça n’avance pas plus vite, le village va être fermé avant qu’on arrive. Finalement on se gare à 18h45, fatigué par ce trajet compliqué. Heureusement, le dossard est récupéré rapidement, du coup le tour du village est expédié en 10 mn juste le temps de faire les achats nécessaires. Direction St Sorlin d’Arves au camping de la Croix de fer. Nous avons loué un petit mobil home toilé, il y a une petite terrasse avec une vue magnifique sur les aiguilles d’Arves. Les ¾ du camping sont des cyclistes venus pour l’étape, on fait cuire les pâtes et nous prenons notre repas sur notre terrasse en contemplant le paysage. Ça fait du bien après cette journée stressante. Couché 22h30 pour un réveil programmé à 4h30. Nous arrivons à St Jean vers 5h15, nous nous garons dans le parking P1 «Pierre Roland » des organisateurs (nous verrons plus tard que c’était une très mauvaise idée). Nous préparons les vélos et regagnons notre sas de départ en passant par la consigne pour laisser un sac avec des affaires de rechange au cas où la météo soit mauvaise. Nous sommes tous les deux dans le sas 0, il n’y a pas encore trop de monde. A 7h le départ est enfin donné, le premier col arrive très vite, et à froid les sensations ne seront pas super et cela jusqu’au sommet du Chaussy. Dans la descente je récupère du monde, au bas nous sommes un bon petit groupe. Tant mieux, pour la seule partie presque plate, c’est préférable. Jusqu’à St Etienne de Cuines l’allure n’est pas très rapide, visiblement tout le monde redoute le Glandon et veut économiser des forces. Ca y est on attaque le gros morceau de la journée, les sensations sont meilleurs que dans la première ascension du Chaussy. Le groupe s’étire pour ne faire plus qu’une file de cycliste qui gère leur montée sans se préoccuper des autres. Du moins, c’est mon cas, j’essaie de faire tourner les jambes et déconnecte le cerveau pour oublier la souffrance. Comme prévu les 3 derniers kilomètres sont très dur, je m’arrête au sommet pour faire le plein des 2 bidons, il n’y a pas trop de monde, l’arrêt sera bref. Pour atteindre la croix de fer, il y a un petit vent de dos bien agréable. La descente est rapide, la traversée des villages de St Sorlin et St Jean D’Arves secoue avec tous ces dos d’âne passés à vive allure. Le début du Mollard arrive vite, dès les premiers mètres de montée, je sens arriver une crampe à la jambe gauche, je mets 2 dents de plus et serre les dents le temps qu’elle passe. Le début et la fin sont plus dur, heureusement il n’est pas trop long dans ce sens. La descente est rapide avec un revêtement parfois abimé. Ca y est voilà de nouveau St jean de Maurienne, au passage j’aperçois ma voiture garée le long du parcours, je me demande alors, si pour partir, on ne va pas être gêné… Reste plus que 18 km, il commence à faire chaud, heureusement le début est ombragé sur le côté gauche de la route. Sur le début, les jambes sont bonnes et je remonte du monde, bien que je me fasse aussi doubler. Mais visiblement il y a plus de monde moins bien. Mais les kilomètres défilants (lentement) la fatigue se fait sentir de plus en plus et ça devient compliqué. Après le passage du Corbier c’est moins pentu, ça fait du bien et j’accélère et je laisse mes dernière forces, je double quelques concurrents et fait la dernière ligne droite à fond. Les crampes ne sont pas loin et passé la ligne j’ai du mal à marcher. Je cherche de l’eau, mais visiblement, les organisateurs n’ont pas prévu de ravitaillement à l’arrivée. C’est quand même pas terrible, à Hautacam, il y avait un super ravito et ici rien du tout. Les prix augmentent et les prestations diminuent. Comme je voulais manger avec mon pote je ne vais pas me restaurer de suite. Je vais donc sur le village exposant m’acheter à boire car je suis déshydraté. Après avoir retrouvé mon collègue du club et mangé, je suis allé déguster un petit Banana Split avant de reprendre le vélo pour redescendre à St jean et rentrer sur perpignan. Arrivé à la voiture vers 16h mes doutes se confirment, pas moyen de prendre la voiture car les organisateurs ont eu la bonne idée de mettre les parking auto sur le parcours. On me dit qu’il n’y a pas de solution et qu’il faut attendre la réouverture qui était prévu à 17h. Sauf qu’il y a du retard et à 17h il y a toujours autant de vélo qui arrivent (nous avons une pensée pour eux qui sont encore loin de la Toussuire). Pourtant, il suffirait de faire 200 m sur le parcours et dégager les barrières au carrefour. Il y a une autre voiture derrière moi qui est dans le même cas. On va voir au carrefour si personne ne peut nous « libérer » il n’y a pas de gendarme, uniquement deux employés municipaux qui nous disent qu’ils ne peuvent pas prendre de décision. On décide donc d’ouvrir nous même le passage pour pouvoir prendre le chemin du retour et ne pas arriver trop tard sur Perpignan. Au final je fini 243e dans un temps de 6h04, avec une impression mitigée sur l’organisation. Autant en 2014 lors de ma première étape, j’avais trouvé l’organisation au top, autant là il y a des manquements qui ne devrait pas y être au vu du tarif d’engagement (surtout pas d’eau à l’arrivée). Par contre un grand merci à tous les bénévoles tous très sympas et une pensée toute particulière à la dame qui a passé sa journée à remplir les bidons avec le tuyau d’arrosage près des toilettes. Malgré cela je reviendrai car les parcours sont toujours intéressants et la route fermée est un plus. L'année prochaine je compte bien refaire Ventoux Baume de Venise - Marmotte - Etape du tour.
  21. Vu que la descente du Glandon est neutralisée, peut être que tes potes sont restés plus longtemps au ravitaillement après le passage du col. Ce qui fait qu'ils peuvent être arrivés après toi mais avoir réalisés un meilleur temps sur la partie chronométrée.
  22. Le Garmin affiche 176km pour un dénivelé de 5044 m
  23. Voici un petit compte rendu de ma première Marmotte. Départ de Perpignan à 12h30 pour 500km et environ 5h de route. Je suis le seul de mon club, donc je ferai le voyage tout seul. Ma femme fait le même jour un ultra-trail de 63 km. Plus je m'approche de ma destination et plus le thermomètre de la voiture grimpe. Le record sera de 37.5°C à Grenoble. Lorsque je monte en voiture la montée de l'Alpe, un certaine émotion apparait, j'ai à la fois hâte d'y être en vélo et je sais que ce sera synonyme de souffrance. Arrivée au palais des sports, il n'y a pas trop de monde, je me gare facilement et il n'y a pas de queue pour récupérer mon dossard n° 195 qui me permettra d'être dans le sas des prioritaires. Je fais rapidement le tour du village exposant, en comparaison à l'autre grosse cyclo qui est l'étape du tour, il y a beaucoup moins de monde et d'exposant. Je vais ensuite regagner ma chambre que j'ai réservé à l'Alpe. C'est dans un magnifique petit chalet tout en bois tenu par un couple hollandais. Les propriétaire sont très sympa, il me propose de monter le vélo dans la chambre si je ne veux pas le laisser dans la voiture le nuit. Levé 4h30, je mange mon gatosport, charge la voiture et vait me garer à 100 m de l'arrivée. A cette heure matinale, il n'y a pas encore beaucoup de monde. Je descends tranquillement sur Bourg d'Oisans, malgré l'heure il ne fais pas froid dans la descente en manche courte. Je regagne le sas 30 mn avant le départ, il n'y a pas encore beaucoup de monde et je me retrouve dans les première position. 7h le départ est donné, il y a 15 km de faux plat descendant, j'en profite pour tourner les jambes sans faire d'effort, on arrive au pied du Glandon à 43 km/h de moyenne. J'ai décider dans garder sous la pédale dans ce premier col, il passera relativement vite sans taper dans les réserves. Il ne fait pas encore trop chaud, jusque là tout va bien. Au sommet du Glandon le chrono est arrêter j'en profite pour me ravitailler, remplir le premier bidon que j'ai vidé, m'alléger la vessie et manger 2 gaufrettes fournie par le sponsor de l'épreuve. Descente tranquille j'usqu'à St Etienne de Cuines. Le chrono redémarre, direction les lacets de mont Vernier, nous sommes un groupe d'une dizaine, la montée est courte et se fait sans problème. On parle beaucoup de cette montée, mais elle est plus joli en photo qu'elle n'a réellement d’intérêt. Pour se rendre au Mollar, il y a une parti de faux plat montant avec un léger vent de face, heureusement nous sommes toujours un petit groupe qui nous à permit de ne pas y laisser des plumes. Le Mollar est assez ombragé avec une pente pas trop raide, je décide de lâcher un peu le chevaux, je double une dizaine de coureurs et m'arrête au sommet pour faire le plein des 2 bidons. Notre groupe a explosé, et j'attaque la descente seul, elle est sympa et je me régale. Le début de la croix de faire n'est pas trop compliquée mais passé le village de St Sorlin d'Arves, ça se complique sérieusement, d'autant que cette foisil n'y a plus d'ombre et la chaleur devient problématique. Les 5 derniers kilomètres paraissent long mais je me dis qu'apprait ça, il ne restera "plus" que l'Alpe. Ravitaillement au sommet du col pour une descente rapide du Glandon, le compteur dépasse les 80 km/h. La petit montée au milieu de la descente du Glandon fait mal au jambes, heureusement elle n'est pas longue, je sers les dents et je continue ma chevauchée dans la descente. Je récupère du monde vers le bas, pour former un petit groupe de 7. Direction Bourg d'Oisans pour le final. Cette fois le vent est de dos, ce qui facilite la tâche. Sur les 7 je suis le seul à ne pas m'arrêter au ravito au pied de l'Alpe, il me reste un bidon, je pense que ça me suffira pour la dernière ascension. Je décide de faire la bas qui est le plus dur en dedans pour accélérer quand la pente sera plus faible. Il commence à faire très chaud, et cette chaleur commence à impacter la performance. Plus les kilomètre défilent (de moins en moins vite) plus je suis en surchauffe. Il me reste 6 kilomètre est j'ai l'impression d'être planté. Heureusement au village d'Huez, il y a un ravito en eau. Je décide de m'arrêter, l'eau dans mon bidon est devenue de la soupe, je change l'eau du bidon, passe sous le tuyau d'arrosage pour faire chuter la température du corps, en profite pour manger une barre et prendre un gel. C'est reparti pour les 6 derniers kilomètres, cette arrêt m'aura fait du bien, et je retrouve un coup de pédale un peu plus performant bien que pas au niveau habituel. Voilà c'est terminé, dans un temps de 7h22 (sans la descente du Glandon) pour finir à la 221e place. Ca restera un très bon souvenir malgré la chaleur, et maintenant place à l'étape du tour dans 2 semaines...
  24. C'est plus le passage dans les vallées et le début de l'Alpe qui est à redouter, l'avantage des cols à 2000m c'est qu'il y fait moins chaud. J'ai fait le Ventoux Granfondo et la chaleur fut difficile dans la vallée avant l'arrivée mais pas dans la montée du ventoux. Le top, c'est quand il y a dans gens avec un tuyau d'arrosage qui nous asperge (comme sur l'ariegeoise), ça fait bien baisser la température du corps. Je crois qu'on va souffrir dans la montée vers l'Alpe d'huez.
  25. Quel est votre numéro de dossard ? Perso j'ai le 195
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