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Toujours le genou !!!


Messages recommandés

Faut pas non plus oublier que le petit personnel administratif n'est que ... du petit personnel administratif.

Ma manière est la suivante avec ce petit personnel :

grande courtoisie, politesse exquise, je me découvre, je suis patient, je respecte la distance de confidentialité ... j'en pense pas moins, notamment si ce petit personnel semble s'enquiquiner, ou est vraiment d'une laideur absolue ...

mais ça se passe bien ...

et ... lui-même ...devient exquis de politesse et de délicatesse ...

tout ça n'est pas bien compliqué ... et obtenir ce que l'on veut ... pas compliqué non plus ...

et c'est ce que je disais ...

on est responsable de ce qui nous arrive !

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J'aurais peut être du être en effet plus précis. C'était 2 infirmières. Du personnel médical, qui faisait l'accueil pré-opératoire un dimanche. Et non des secrétaires.

En ce qui me concerne, ce n'est pas du petit personnel comme le considère certain. Sans ce personnel, les mandarins ne sont RIEN.

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En même temps ... tu comprends très mal le fonctionnement du bonhomme, moi en l’occurrence !

Je peux râler contre tel délai pour un RV et, en même temps, prendre ça comme un signe du destin qui demande à ce qu'on ne se précipite pas et que l'on prenne le temps de la réflexion ...

C'est un peu l'idée ... "les voies de Dieu sont impénétrables".

Tel retard peut sembler pénalisant alors qu'en fait il est pour ton bien !

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Tu fais de cas d'espèces des généralités. Je reviens sur tout ça et mes -petites- expériences récentes. Plusieurs choses me frappent. L'"humanité" : tu confonds "aller droit au but" et absence d'empathie. Je ne peux tout juste pas imaginer un toubib chialer sur chaque cas gravissime qu'il rencontre ! Il n'aurait pas fini ! C'est un professionnel qui rencontre dans le cas de ton gus à pancréatite des centaines de cas similaires par an !

Aux USA les choses sont dites : "monsieur, statistiquement, vous n'avez plus que 3 semaines à vivre".

Au moins c'est clair.

Sur le plan financier ... là aussi il y a -de ce que je viens de vivre- traitement "humain". "Je surfacture tant. Si ça vous pose un problème économique parce que votre mutuelle ne prendrait pas en charge n'hésitez pas à me le dire".

Ce que je trouve surprenant c'est l'incroyable facilité avec laquelle la médecine, à commencer familiale, prescrit les examens : et examens de sang par ici, et scanners par là, et IRM plus loin ... sans oublier radios en pagaille ... et jusqu'à -dans mon cas- fibroscopie des poumons avec anesthésie générale ... pour, au bout du compte, rien à découvrir d'autres qu'une vulgaire bronchite ... traitable avec des antibiotiques. L'IRM n'ayant rien à voir avec les poumons, le retirant des comptes ... on imagine la dépense pour la sécu et la mutuelle  ... pour rien !

Rien à dire avec les infirmièr(e)s et autres manipulateurs : compétent(e)s et sympathiques.

Après c'est vrai que le personnel administratif m'a donné surtout l'impression de s'enquiquiner royalement, ne pas vouloir sortir de sa routine ... et être très ennuyé dès qu'un patient n'est pas dans la norme -par exemple absence de mutuelle) ... là le personnel ... ça le met de mauvaise humeur.

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Plusieurs cas cela commence à causer. Surtout quand l'un des cas est un témoignage de sa profession.

Alors ne prends pas ton cas pour une généralité. Mais je sais que c'est dur pour un égocentrique comme toi.

Car vois tu Grand BV, entre "chialer sur des cas" et balancer à un patient en 20s chrono, "vous avez un cancer on vous garde. salut". il y a je pense un juste milieu.

Si tu as été encadrant dans ta vie pro, et que tu agissais ainsi, on ne devais pas se battre pour être dans ton équipe.

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Que vaut il mieux ? Un "brutal", un "direct", compétent qui te prend en charge ou un faux gentil moins compétent ?

Puisque tu me parles des relations humaines en général l'intelligence minimale de l'éventuel futur claqué qui serait choqué par la façon dont il est traité ... serait de se mettre dans la peau du toubib et de faire un effort de compréhension qui pourrait être :

"Bon, de toute évidence ce toubib est pressé. Il a probablement d'autres cas que le mien à voir. Il voit peut-être des milliers de cas comme le mien et il n'a pas le tempérament à se perdre dans la pleurnicherie qu'il laisse probablement à ma grosse qui va venir faussement chialer tout à l'heure. Après tout j'ai une excellente assurance décès et le mieux que j'ai désormais à faire et d'organiser ma succession afin de laisser à mes proches le maximum tout en permettant à ma veuve d'aller vivre sa vie de veuve joyeuse. Moi, bientôt, comme dit Brassens, je n'aurai plus jamais mal aux dents".

Je te rappelle qu'il faut mourir un jour et, ma foi, c'est aussi un rôle de toubib de le rappeler.

A ce sujet je dis récemment à ma médecin traitant : "c'est dingue ; il y a 6 ans, quand on s'est rencontré j'étais en pleine forme. Depuis, avec mon genou j'ai l'impression d'avoir vieilli puisque physiquement je ne peux plus faire ce que je faisais à l'époque".

Elle m'a répondu : "rassurez vous, moi aussi j'ai vieilli en 6 ans. Et rassurez vous toujours : on ne manquera pas de mourir un jour" ... elle citait de Gaulle.

 

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Bon ... eh bien je rentre en clinique dans 1 heure et demi pour cette arthroscopie du genou, technique mini invasive qui consiste en deux minis incisions, l'une pour la caméra afin de voir l'état du problème et l'autre pour les outils qui permettront la réparation de la lésion.

Je sors a priori ce soir ... il faudra attendre la cicatrisation et la suppression des douleurs et des raideurs et, si tout va bien, dans 3 mois plus de douleurs ... et sport possible à nouveau.

Il sera temps !

Cette technique minimaliste devrait permettre d'éviter l'inconvénient d'une opération plus lourde du ménisque, à savoir, l'arthrose en aggravation -dont je souffre peu-.

Je suis optimiste !

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Je te remercie pour ton conseil mais l'anesthésiste m'a dit que j'aurai une anesthésie générale classique. Je pense d'ailleurs que ce choix est dû à ce problème. A 65 ans et demi presque tout le monde a une hypertrophie de la prostate. Compte tenu de mon état de santé général, a priori bon, il préfère ça à la péridurale.

Je ne suis pas sûr mais je crois que c'est la raison de son choix ... mais ce qui m'agace un peu c'est qu'il faut toujours "deviner" ... ou alors ... ce qu'on ne peut exclure ... c'est moi qui ne comprend rien !

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Bon, déjà, à l'intention plus particulière d'un quelconque, je confirme que l'accueil en clinique n'est pas l'accueil d'un hôpital de campagne en brousse. J'ai tout coché en super sur la fiche dévaluation. Avec, in petto, mille étoiles à la très jolie jeune femme qui m'a posé le cathéter. Un tel sourire, une telle douceur, un tel visage charmant, avec sa touche que je devinais sous sa coiffe d'infirmière d' Afrique du Nord, sans oublier la silhouette générale ...

Non seulement ça vaut la bise des miss sur les podiums mais, presque, une nuit d'amour avec la nouvelle Miss Univers.

Tout ça est dire que je suis presque guéri.

L'opération en elle-même a duré 1/4 d'heure. Tout s'est bien passé y compris l'anesthésie et ... heureusement.

Un peu plus d'arthrose a l'endroit de la lésion que prévu par l'IRM et la radio (c'est le point d'interrogation pour le moyen terme car pour le court terme y'a plus qu'à attendre ; c'est tout bon).

Sorti sur mes deux jambes et avec instructions de m'en servir normalement.

Les véritables bienfaiteurs de cette journée sont ... l'anesthésiste, le chirurgien, personnels soignants ... et parmi ce personnel ... nom de Dieu de nom de Dieu (pourvu qu'un tel juron ne me porte pas la poisse !) ...

Ma poseuse de cathéter !

J'y retournerais volontiers demain -après m'être assuré qu'elle travaille- pour qu'elle m'en pose un autre !

PS : le sérieux n'empêche pas l'humour, n'est ce pas !

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Parfois la pornographie est plus belle que tes paroles lorsqu'elle évoque les femmes

Les cliniques, il y a à boire et à manger. Ma tante ne garde pas forcément un bon souvenir du passage récent en clinique où elle vient de passer.

Et les salariés des hôpitaux public vont certainement apprécié de voir leurs établissement être qualifier d’hôpital de brousse.

Mengele aurait adoré t'avoir comme cobaye tellement tu es un cas

 

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Voilà encore la preuve que des "quiconque" ne savent pas lire. Il ne me semble pas que vanter les mérites d'une clinique et de son personnel soit dénigrer un CHU. Dire qu'une clinique privée n'est pas un hôpital de brousse -ou de guerre- n'est pas dire que ces hôpitaux et leurs personnels ne réalisent pas des merveilles avec des moyens limités.

C'est pas parce que je louerais la beauté d'une Miss Univers que je dénigrerais pour autant ses dauphines du jour ! C'est pas parce que je ferais compliments au sourire d'une jolie fille me soignant qu'une voisine de 30 ans son ainée aurait à se sentir vexée.

Mais bon ... j'ai l'habitude et je sais à quoi m'attendre avec la "quelconquerie".

Ce qui n'est pas quelconque, par contre, c'est le système de soins français et, je le redis, le professionnalisme qui l'entoure.

Hormis les délais pour un premier RV, délais voulu par les Pouvoirs Publics pour limiter l’accès aux soins et réduire les dépenses, encore qu'ils peuvent être raccourcis si urgence par intervention du médecin traitant, et qu'on peut vivre positivement comme un délai bénéfique de réflexion, je suis admiratif :

J'ai certes énormément payé au long de ma vie professionnelle, et je continue à le faire, à un niveau tel qu'il vaut mieux ne pas regarder dans le rétroviseur financier -je l'ai déjà fait et en 42 ans de travail ce que j'ai laissé avec mes employeurs au système sans jamais en avoir besoin est indécent sauf si on le voit sous l'angle de la solidarité ; ce que je fais- mais enfin :

L'intervention qui vient d'être faite, avec surfacturation du chirurgien prise en charge par ma mutuelle ne me coûte pas un sou. Quand on mesure ce qu'il a fallu mettre en œuvre pour une telle petite intervention on est sidéré :

le plateau technique qu'il faut maintenir au top du top (ici mini caméra, suivi sur sur écran et opération microscopique guidée de même) mais aussi les appareils de mesures pour l'anesthésie, le personnel opératoire (le chirurgien, le médecin anesthésiste et plusieurs infirmières), le personnel d'accueil, les infirmières hors bloc, les femmes de ménage -propreté méticuleuse), sans compter les charges courantes.

Il ne faut pas avoir fait de longues études de gestion pour se rendre compte des coûts faramineux qu'engendrent une médecine de pointe !

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Dis donc toi dans une autre vie vie tu as du être chat. Tu déploies des efforts inconsidérés pour tenter de retomber sur tes pattes.

Alors mon p'tit vieux, avant de dire que je ne sais pas lire, apprends à t'exprimer.

Ecrire '" l'accueil en clinique n'est pas l'accueil d'un hôpital de campagne en brousse" n'évoque pas UNE clinique en particulier mais le système des cliniques autrement dit le privé. Et l'opposé à l'Hôpital sous entend l'hôpital public.

Et à toute fin utile si ton demi neurone peut le capter, la majorité des exemples et expériences que j'ai cités concernaient des hôpitaux de Paris de petite couronne.

Les abysses ne vont pas être assez grand pour la profondeur désespérante dans laquelle tu t'enfonce.

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La "quelconquerie" continue à ne pas savoir lire ! Je ne vois pas comment on peut lire dans mon propos la moindre comparaison entre un "système" de cliniques et l'hôpital public !

Il faudrait que je sois totalement %@!? pour dénigrer l'hôpital public et notamment les CHU. J'ai fait référence ici à l’excellence de ce système qui est capable de proposer une opération des valves cardiaques à une dame de 85 ans transportée de son île en hélicoptère vers le dit CHU ! Je n'oublie pas, non plus, le rôle de Madame Frachon, pneumologue de grand talent, qui a dénoncé le scandale du médiator.

Je n'ai aucun sentiment péjoratif, non plus, envers les hôpitaux de brousse. Je constate juste une différence de moyens et j'en admire d'autant le rôle des médecins et chirurgiens de ces hôpitaux.

Je rends donc juste hommage au système qui m'a accueilli pour une (toute petite) intervention et qui a été capable de me déléguer le plus joli sourire sur un visage d'Afrique du Nord pour la pose du cathéter et l'accompagnement au bloc ... dernier visage que j'ai vu avant l’anesthésie et qui, en cas de non réveil, plus qu'improbable néanmoins, m'aurait permis de partir de ce monde avec une explosion de soleil, de fleurs parfumées, d'épices envoutantes, des portes du désert !

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