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Conseil sortie longue


Fabrice FURET
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Je suis tout à fait d'accord avec toi en ce qui concerne  l'importance de la motivation.

En 2007, année où il a plu quasiment pendant 1200 bornes, j'ai été assez étonnée du nombre d'abandons de cyclos qui objectivement n'étaient pas blessés. Ils ont arrêté juste à cause de la pluie. Moi, en dehors de toute blessure, il aurait fallu me couper les deux jambes pour que j'abandonne!

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Houlà Marie-Noëlle, tu es gentille de m'encourager, mais je n'ai pas dans mes projets une participation à PBP 🆒

J'ai déjà fait quelques 200 km, il y a 15-20 ans, l'époque où j'étais le plus actif sur le plan cyclosportif.

Depuis, mes performances régressent avec l'âge (j'ai actuellement 60 ans) et en acceptant cette "fatalité", j'adopte peu à peu une attitude faite de résignation et de prudence. La machine se met à ronronner par habitude... je me rends compte que je pédale un peu sans but depuis quelque temps.

C'est arrivé à ce point de mon évolution que le post de Fabrice m'interpelle : plutôt que de chercher en vain à maintenir ma vitesse, je vois dans l'allongement des distances un nouveau terrain d'exploration en accord avec mes possibilités physiques...

 

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Moi aussi j'avais envie de voir autre chose  une autre motivation que le velotaf et de se maintenair en forme,la longue distance sa permet de prendre des routes que l on connait peu voir pas du tout on voit de nouveau paysage, tu part dans l inconnue, des nouveaux villages et sa c'est c est super ! 

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Oui, c'est tout à fait ça, c'est cette idée qui germe dans ma tête.

Lorsque j'étais plus jeune, j'étais beaucoup plus attentif à mes performances. Peut-être parce que je regrettais de ne pas avoir pu faire de compétition pendant l'adolescence. Mais à vouloir être "performant", quel que soit son niveau, on n'est jamais satisfait, on imagine qu'on aurait pu faire mieux, que ce n'est jamais assez.

A présent, il est trop tard pour moi d'être performant. Pourtant, j'aime toujours le vélo, c'est un jouet fantastique.

Dans un avenir très proche, je vais me préparer un petit itinéraire d'environ 200 km et lorsque je me mettrai en route, je m'enlèverai de la tête l'obligation de tenir une moyenne, ce qui me laissera plus de temps pour regarder autour de moi.

Une manière de me sentir plus libre...

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