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Landen — Trois-Ponts — Landen


Franck PASTOR
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D'après Thierry, il n'y a pas de côte "sérieuse" sur les distances inférieures, justement, entre Landen et Hamoir.

Dans l'édition de 2017 de MCM, la seule que j'ai fait en distance longue, il y avait plusieurs morceaux assez costauds, tous entre Chimay et Couvin justement et donc sur cette distance longue. En tout cas, ils m'ont paru costauds. Pour toi et ton niveau ils étaient peut-être anodins 😆. D'ailleurs dans mon ressenti à moi, «côte difficile» n'est pas forcément synonyme de «côte ardennaise» !

En parallèle, les côtes notables de Landen — Trois-Ponts - Landen semblent concentrés dans une zone à peine plus étendue qu'entre Chimay et Couvin, à savoir entre Ferrières et Trois-Ponts.

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J'étais dans la même situation que toi jusqu'à l'année dernière : impossible sauf exception de faire du vélo le samedi. Dans mon cas c'était parce que je devais garder ma fille, sa mère travaillant ce jour-là. Il se trouve que l'année dernière celle-ci a changé d'employeur. Maintenant elle alterne week-end entièrement consacré au boulot (samedi et dimanche) et week-end complètement libre, ce qui me libère donc un samedi sur deux. 😄

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D'après Thierry, il n'y a pas de côte "sérieuse" sur les distances inférieures, justement, entre Landen et Hamoir.

Je n'ai pas ta mémoire ni celle d'Eric, je ne retiens pas les noms des côtes gravies et des villages traversés. Je me réfère principalement à ma vitesse moyenne sur le parcours. MCM 160 et Landen - Trois-Ponts - Landen 160 sont de difficultés globales comparables, ce que leurs dénivelés confirment. LBL Challenge (distance intermédiaire, joker pour l'intégrale 😬) et plus encore, la Vélomédiane C. Criquielion, c'est quand même d'un autre calibre !

 
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On est donc d'accord sur les difficultés comparées des distances intermédiaires !

Quelques remarques supplémentaires sur la longue distance dont j'étudie attentivement le parcours :

  • On passera décidément par des routes connues, mais dans l'autre sens, puisqu'en plus de grimper la côte de Lorcé qu'on avait descendue le 5 janvier, on descendra la côte de Chambralles qu'on avait grimpée Eric, Michel et moi ce même jour ! Je me promets déjà de faire attention au panorama (en faisant attention à la pente quand même…), il est splendide à regarder. Juste après, direction Comblain-au-Pont et la côte de Mont, qu'on avait également faite en sens inverse il me semble.
  • Faudra pas traîner en cours de route : on part au plus tôt à 6 h 30 et l'arrivée ferme à 18 h, ce qui laisse 11 h 30 maxi pour boucler la longue distance. En tenant compte des 4 ravitos, ça risque d'être limite pour moi, si j'en crois mes expériences sur des distances semblables (de mémoire, j'avais fait les 210 km de Mons-Chimay-Mons en 11 h et les 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff en 12 h 30…).

C'est étonnant d'ailleurs qu'ils ferment la ligne d'arrivée dès 18 h, alors que le soleil se couche tellement plus tard en cette saison.

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La vitesse moyenne est un indice de difficulté mais ce n'est pas suffisant!

A Mons Chimay Mons, les moyennes sont rarement extravagantes vis à vis du dénivelé relativement faible (par rapport aux vraies rando ardennaises).

Pourquoi?

Tout simplement à cause du tracé : nombreux changements de direction, croisements, petites routes étroites avec de nombreux pièges à surveiller. Ces petites routes n'ont pas un rendement exceptionnel à cause du revêtement 'brut". De plus il faut parfois se frayer un passage dans les grands groupes de cyclos, ce qui ralentit l'allure.

Pour gérer la difficulté d'un parcours il est nécessaire d'avoir une vision objective de ce qui nous attend. Je me souviens qu'au début que je découvrais les parcours ardennais, bien qu'étant plus jeune les moyennes étaient nettement plus basses qu'aujourd'hui. On ne part pas pour un 200 km et 3800mD+ comme pour un 200 km et 2000mD+, ce sont des efforts différents et une gestion différente.

Je me souviens de randos organisées par feu Cyclo Bomerée, qui en général visitait l'entre Sambre et Meuse, ce qui n'a rien à voir avec la haute Ardenne niveau dénivelé. Et bien les moyennes étaient faibles car l'organisateur (que je remercie au passage pour tout son travail passé) préférait de très petites routes pas toujours en bon état.

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Les longues sorties me font toujours peur : une seule fois le long parcours de MCM en 1998 (223 km en 8h44 en décomptant les ravitos) et la Marmotte en 2001 (10h45, temps d'arrêt inclus, météo pourrie avec de la pluie, du brouillard, 4°C en haut du Galibier). 

Selon les infos que j'ai trouvées, le dénivelé de Landen - Trois-Ponts -  Landen 212 km serait de 2200 m. C'est raisonnable. Peux-tu me le confirmer ?

Mais j'attendrai de toutes façons d'être certain de la météo avant de me décider.

 
 
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D'après RouteYou, la longue distance de l'édition de cette année ferait précisément 2614 m de dénivelé pour 221 km.

https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/5886051/racefietsroute/landen-trois-ponts-landen-2019-220-km?c=JN-o-yzwxyLh5rg6

Pour l'instant la météo prévoit une journée nuageuse avec des averses, et (snif) un vent sensible de secteur nord-ouest, ce qui fait qu'on l'aura en plein dans la figure au retour. Tiens, encore une configuration qui va me rappeler Mons-Chimay-Mons, l'édition de 2016 cette fois, le retour s'était fait avec le vent dans le pif également. 📢

Point positif, il devrait faire assez doux, 11° mini, 18° maxi.

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Le dénivelé est précisé depuis peu sur le site Proximus Cycling Challenge : 2649 m pour 220 km. 

Et les prévisions météo semblent plutôt correctes : 8-10°C le matin, 16-18°C l'après-midi et risque de pluie assez faible, à quelques ondées près. En espérant que ça se confirme...

N'étant pas un lève-tôt et habitant à 120 km de Landen, je partirai à 8h00, heure limite pour le 220.

En attendant, j'évite de trop rouler cette semaine pour ne pas accumuler de fatigue.

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Tu sembles aussi impatient que moi !

Aux dernières nouvelles, le cadre doit revenir de l'atelier de peinture le 24, demain. N. Noblet monte le jeu de direction et la fourche puis l'expédie chez moi. Il devrait arriver début de semaine prochaine, je l'ausculterai en détail et commencerai le montage si tout est OK.

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Prévisions confirmées donc pour le moment.

Voulant mettre toutes les chances de mon côté, je compte partir le plus tôt possible, donc idéalement à 6 h 30.

Etant donné que les portions roulantes sont apparemment conséquentes, et mon rythme de croisière dès que ce n'est pas pentu étant ce qu'il est, il y a quand même de fortes chances que tu me rejoignes en cours de route…

De fait, avec cette fermeture du site d'arrivée prévue à 18 h j'appréhende d'arriver «hors-délais».

Mais le pire serait qu'un des derniers sites de ravitaillements ait fermé avant que j'y arrive.

Ça m'est arrivé une fois il y a quelques années (randonnée Maxime Monfort, en 2009 je crois) et comme j'étais complètement à sec j'avais dû mendier une bouteille d'eau à une station-service voisine.

Et lors des 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff en 2017, les deux derniers ravitaillements étaient sur le point de fermer lorsque j'y étais arrivé, mais là j'ai pu quand même remplir les bidons. Pourtant j'ai bouclé la randonnée une bonne heure avant l'heure de fermeture du site d'arrivée…

Aucune envie de reproduire ce genre d'expériences et de ressentir à nouveau l'angoisse qui va avec.

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J'ai aussi pensé à ce problème de ravitaillement. Je remplirai mes poches autant que possible.

Au vu du ratio dénivelé/distance, je table sur une moyenne horaire d'environ 23. J'espère terminer dans les délais. A moins que je force ma nature et me lève un peu plus tôt pour m'assurer une marge de sécurité 😬

 
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Voilà, randonnée bouclée. Premier plus de 200 de l'année, et même depuis l'été 2017.

218 km au compteur, 11 h exactement de sortie dont 10 h 5 min sur le vélo en décomptant les arrêts au ravitaillement, soit une moyenne, correcte pour moi sur un tel parcours, de 21,5 km/h. Les jambes ont tourné assez bien aussi : 85 tours/minutes de fréquende de pédalage moyenne.

La journée a commencé par un stress très malvenu : alors que je roulais en voiture, vélo dans le coffre, vers le départ, la jauge d'essence lance un signal d'alerte à mi-parcours : et m… j'ai oublié de faire le plein la veille ! Résultat, je dois rouler au ralenti pour pouvoir atteindre le site du départ et économiser du carburant le plus possible. Et j'atteins Landen plus tard que prévu, si bien que je me mets en route avec le vélo seulement à 6 h 50 au lieu de 6 h 30. La peur de ne pas finir dans les délais a donc fortement augmenté…

Il fait froid au départ (8°) et l'imper et les gants longs (légers) sont donc les bienvenus par dessus le maillot à manches longues. On commence en douceur par la Hesbaye brabançonne et ses vallonnements peu prononcés. Inquiété par mon départ plus tardif que prévu, je décide de prendre les roues de deux cyclistes plus rapides que moi mais qui roulent de front en bavardant et en fournissant donc un abri conséquent. Un mauvais calcul, puisque ces cyclistes font pas mal de changements de rythme qui me pèseront vite dans les jambes… si bien que je les laisse filer un peu avant d'arriver à Jehay-Bodegnée, en bord de Meuse.

Traversée de la Meuse, et première sérieuse côte de la journée, celle d'Hermalle-sur-Huy : longue et relativement pentue, un petit régal de grimpeur. Les jambes tournent bien, je rattrape et dépasse du monde. Et puis c'est le Condroz et sa tôle ondulée casse-pattes : peu de longues côtes, mais ça ne fait que monter et descendre, et j'ai déjà une sensation de jambes lourdes… Le premier ravitaillement, à Nandrin, est donc bienvenu pour faire une bonne séance d'étirements.

Après Nandrin, on continue dans le Condroz : deux côtes répertoriées, plus longues que l'ordinaire de la région mais peu pentues, la Rue Houa et la côte de Xhoris. C'est à ce moment qu'une douleur au genou gauche, assez récurrente chez moi, se met à se manifester : une douleur due au fait que ma jambe gauche est nettement plus courte que l'autre, et qui survient quand mon pédalage devient trop saccadé et irrégulier… si bien qu'au moment d'arriver à la bifurcation des parcours de 160 et 220, j'hésite fortement à prendre le 160 pour abréger cette souffrance.

Finalement, par fierté (mal placée?), je choisis de rester sur le 220. Mais je ralentis le rythme et me concentre à fond sur mon pédalage, et sur cette jambe gauche dont il me faut consciemment relever le genou à chaque coup de pédale pour éviter que la douleur survienne. C'est normalement un geste que je travaille systématiquement au début de mes sorties et qui est ensuite un automatisme, mais que j'ai oublié de pratiquer en me concentrant sur autre chose : rester dans la roue des deux cyclistes dont j'ai parlé plus haut… comme quoi ce n'est pas toujours une bonne idée de rouler en groupe.

Après Xhoris, on entre en Ardenne. Ferrières d'abord et la côte sévère du «Trou de Ferrières», une borne sèche à 10 % et plus. Puis un long faux-plat montant menant à Werbomont, puis Bosson et le deuxième ravitaillement. La douleur est toujours là mais s'est calmée, les automatismes de pédalage correct reviennent petit à petit. De Bosson, on descend vers la vallée de la Lienne, qu'on suit sur un long passage plat (et donc pénible pour moi) avant de grimper une côte inconnue au bataillon, les Villentes, sur une route large comme un boulevard et un soleil brillant généreusement maintenant.

Ensuite, redescente vers Basse-Bodeux, sur le territoire de la commune de Trois-Ponts : la moitié du parcours est faite. Mais il reste encore pas mal de difficultés sérieuses : d'abord la longue et très irrégulière montée de l'Ancienne Barrière par Haute-Bodeux, dans un cadre très agréable et verdoyant.

Redescente rapide vers la vallée de la Lienne sur une route large et en très bon état où je m'amuse à prendre un position « à la Sagan », puis à nouveau du plat démoralisant jusqu'au pied du gros morceau de la journée : la côte de Chevron. Deux hectomètres à 18 % pour mettre dans le bain, et un long prolongement irrégulier jusqu'au hameau de Chession : ouf, ça tire dans les pattes ! Mais le genou va maintenant bien mieux, ce qui me redonne du cœur à l'ouvrage.

Puis encore une belle descente, mais sur chaussé dégradée cette fois, dommage. Et c'est le pied de la côte de Lorcé, dernière difficulté ardennaise du jour. Longue (3 km) et deux portions pentue entrecoupées d'un faux-plat au village de Lorcé même. Les jambes deviennent lourdes, j'avance péniblement, surtout dans la portion finale où le vent de face s'invite… ainsi que la pluie. 😠

Troisième ravitaillement peu après le sommet de cette côte, sous la flotte donc. Tout le monde enfile les impers avant de repartir… on aura droit à cette pluie jusqu'au sommet de la côte suivante, à Comblain-au-Pont, la côte de Mont qui donne accès à nouveau au Condroz. Ensuite la pluie s'arrête, mais on aura le «plaisir» de rouler sur route détrempée jusqu'à la retraversée de la Meuse. Ce deuxième parcours du Condroz est donc un peu gâché, malgré une belle côte au nom à coucher dehors : Rotheux (!)

Le quatrième ravito est celui du premier, à Nandrin. 180 bornes déjà parcourues, ça sent bon l'arrivée proche ! 😄 Juste une dernière côte répertoriée à franchir, après être descendue vers les bords de Meuse par une longue descente sinueuse. Et pour cause, cette descente s'appelle les 36 Tournants… Elle mène à Engis, puis Flémalle, et cette dernière difficulté répertoriée du jour se présente : deux kilomètres d'une côte malheureusement très bien nommée, les Cahottes, car la chaussée est vraiment dans un état… cahoteux.

Mais au sommet, ça sent encore plus la fin de parcours. Une dizaine de kilomètres, et c'est le dernier ravitaillement, à Haneffe. Il ne reste ensuite que 25 km pour rentrer à Landen, sans relief notable, que j'accomplis à un rythme pépère, en essayant de ne pas trop penser à un derrière douloureux (ma plus longue sortie de cette année avant celle-ci faisait 160 km… et le revêtement bétonné de la Hesbaye, cher à Michel Dury, n'arrange pas les choses) et au vent devenu défavorable.

Et puis c'est à nouvau Landen. Il est 17 h 50, donc 10 minutes avant la fermeture du site d'arrivée : ouf, objectif atteint !

Mais malgré un nombre conséquent de cyclistes qui arrive encore, les préposés commencent déjà à plier bagages. On peut encore boire une bière (pas de bol, je n'en bois pas), rendre sa place de cadre, mais on ne peut plus prendre un bon sandwich à la saucisse, ce qui est mon plaisir habituel de fin de sortie. Quand même, pourquoi diable ne ferment-ils pas plus tard ? Une clotûre à 20 h me semblerait plus adaptée à cette saison et à la longueur du grand parcours. Mais c'est le seul point vraiment négatif que je retiendrai de l'organisation, le reste était nickel (à quelques panneaux indicateurs près, parfois peu lisibles) et me laissera de bons souvenirs. 🆒

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"Quand même, pourquoi diable ne ferment-ils pas plus tard ? Une clotûre à 20 h me semblerait plus adaptée à cette saison"

J'ai mon explication qui vaut ce qu'elle vaut mais basée sur mon vécu de "cyclo".

Ces randos, même organisées par des sociétés comme Peloton, recourent à des bénévoles.

Ces personnes donnent leur temps gratuitement pour le bon déroulement de l'événnement. Ils doivent être sur "le pont" très tôt le matin pour acceuillir les premiers participants. Et certains arrivent très tôt!

En clôturant à 18h00, cela permet à ces personnes d'avoir encore une soirée à eux, la plupart son en WE et reprennent le taf lundi!

La grosse majorité des cyclos ne font pas la plus grande distance, statistiquement cela se prouve. A 18h00 il ne doit plus y avoir grand monde, à part peut être à la buvette😄

Historiquement les brevets cyclotouristes étaient très longs, les cyclos roulaient à l'allure Audax (22,5 km/h), voir moins pour les grands dénivellés.

Les premières flèches de Wallonie que j'ai faite démarraient, au début des années 90, de Spa à 5h30! C'était la tradition cyclotouriste! Puis l'heure est passée à 6h, 6h30 ou même 7h, les gens roulant plus vite et faisant souvent de plus petites distances.

Dans les années 80 et avant j'ai lu des récits de personnes qui partaient à l'assaut d'un brevet difficile au lever du jour et revenaient vers 19 ou 20h! Bon il prenaient aussi le temps d'arrêter et faire un repas complet. C'était une autre approche du vélo.

 

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La grosse majorité des cyclos ne font pas la plus grande distance, statistiquement cela se prouve. A 18h00 il ne doit plus y avoir grand monde, à part peut être à la buvette

Oui et non : d'après l'organisation, sur les 2800 participants recensés sur les quatre parcours, il y en avait effectivement 2000 pour les distances intermédiaires (110 et 160), donc certes ce sont celles qui sont de loin les plus fréquentées. 

Mais ça ne signifie pas forcément que la participation au grand parcours était négligeable.

À 18 h le site d'arrivée était loin d'être désert. Des cyclistes continuaient à arriver, certes pas à flux tendu, mais régulièrement. Et s'agissant de la part du 220 parmi les 800 participants qui étaient sur le 60 ou sur le 220, il ne sont pas précisés, mais d'après mon ressenti, on était assez nombreux sur le 220. À mon avis, plusieurs centaines.

Un bon compromis serait peut-être de fermer le site à 19 h. Je vais en toucher un mot à l'organisation, on verra bien ce qu'il en sera l'année prochaine.

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Le sujet « Normal » lancé par Franck Steinel dans la rubrique «Général» m'a remis en mémoire quelque chose qui m'est arrivé hier et que ma mémoire avait bizarrement occultée au moment de faire mon compte-rendu. Pourtant, j'avais eu très, très chaud…

Un peu avant de descendre sur Chambralles et Martinrive, sur une route assez étroite en faux-plat montant, je me suis fait doubler par tout un groupe d'autres cyclistes roulant à toute berzingue. Rien d'extraordinaire jusque là, sauf qu'au même moment une voiture arrivait en face, et très vite également. 

Le conducteur de la voiture n'a pas ralenti pour autant, et n'a pas serré à sa droite non plus…

les cyclistes qui me doublaient se sont rabattus in extremis, m'envoyant rouler sur le bas-côté dans le même mouvement.

Ce groupe de cyclistes aurait dû attendre pour me doubler, et ce conducteur aurait dû ralentir et serrer sur sa droite. Quand deux bêtises se rencontrent, c'est explosif… Ça aurait pu finir très, très mal pour le groupe de cyclistes, et moi avec. 

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Belle performance, Franck ! En vue de TBT, c'est fort positif.

Ça aurait pu finir très, très mal pour le groupe de cyclistes, et moi avec. 

C'est typiquement à cause de ce genres de comportements idiots ( aussi bien dans le chef des cyclistes que dans celui des automobilistes) que je rechigne de plus en plus à participer à une organisation "route". 

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C'est plus que compréhensible. Mais en même temps, en paraphrasant un politicien de ton pays, Paul Van den Boeynants : si tous les dégoûtés s'en vont il ne reste que les dégoûtants. Joyeuse perspective ! Pour l'instant je n'ai pas trop envie de baisser les bras et de laisser la route aux seuls fous du guidon/volant. Pour l'instant…

Et en gravel on n'est pas à l'abri non plus, semble-t-il. Ce n'est pas Garreau qui récemment avait eu son premier sérieux accident à vélo depuis des lustres en faisant du gravel ? Le malheur frappe souvent où et quand on ne l'attend pas.

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