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Réponse au message de Franck PASTOR
Non, seuls ceux qui seront sur le grand parcours vont se farcir Saint-Roch.
Ceci dit, même si tu devais grimper ce talus, il reste du même ordre de difficulté que la Redoute ou le Stockeu, donc pas de quoi paniquer pour toi. Et puis c'est la toute première difficulté d'importance sur ce parcours, donc les coureurs/cyclos sont encore relativement frais quand ils l'abordent et ce n'est pas généralement pas là qu'ils coulent une bielle.
Ok merci Franck, je me suis demandé un instant si le 34/30 allait suffire... ça a l'air fortiche quand même :-)
Réponse au message de Michel DURY
Et quoi, on va prendre ce monstre lors de notre sortie???
Au secours...
St Roch c'est 219 points Cotacol; en comparaison Chambralles que tu as monté et dominé il y a 10 jours c'est 230 points Cotacol, St Roch serait une formalité pour toi.
Par comparaison Stockeu c'est 340 points Cotacols; c'est d'un tout autre calibre.
Réponse au message de Eric HENNUY
St Roch c'est 219 points Cotacol; en comparaison Chambralles que tu as monté et dominé il y a 10 jours c'est 230 points Cotacol, St Roch serait une formalité pour toi.
Par comparaison Stockeu c'est 340 points Cotacols; c'est d'un tout autre calibre.
Et encore, ils ne feront le Stockeu que jusqu'à la stèle (249 points Cotacol) sur Liège-Bastogne-Liège, ce qui donne une difficulté analogue à celles de Chambralles, Saint-Roch ou la Redoute.
Qui plus est, ils ne la reprendront probablement pas sur le parcours médian de la rando, sauf grand changement par rapport aux éditions précédentes.
Réponse au message de Michel DURY
Et quoi, on va prendre ce monstre lors de notre sortie???
Au secours...
j ai beaucoup de potes et certains ,maintenant je les connais , me disent le matin , je n 'ai pas la forme , on ne fait pas de bosses aujourdh ui ,,je dois être malade ....ce sont eux qui allument les mêches a chaque coup et boum , un peu comme toi , je suis sur que tu vas nous en coller quelques unes ,je n 'ai jamais vu un schtroumph malade , j 'en connais un qui va nous dire " que je trépasse si je faiblis " ......
je ne sais pas si vous avez vu la météo pour samedi ,avez vous l 'espoir que cela change ,je pense a ceux qui sont du coin ou pas trop loin
Réponse au message de Jean-Pierre FOURNIER
je ne sais pas si vous avez vu la météo pour samedi ,avez vous l 'espoir que cela change ,je pense a ceux qui sont du coin ou pas trop loin
Oui, j'ai vu. Pour la pluie, c'est pas folichon mais j'ai presque envie de dire que ce sera normal pour la saison et la région ! C'est le fort vent annoncé qui me fait le plus souci…
Les prévisions ne sont pas encore vraiment fiables ceci dit, attendons encore deux jours pour qu'elles le soient.
Réponse au message de Franck PASTOR
Oui, j'ai vu. Pour la pluie, c'est pas folichon mais j'ai presque envie de dire que ce sera normal pour la saison et la région ! C'est le fort vent annoncé qui me fait le plus souci…
Les prévisions ne sont pas encore vraiment fiables ceci dit, attendons encore deux jours pour qu'elles le soient.
Je ne suis pas certain d'y aller... s'il pleut, ça me tente nettement moins. Je verrai le matin même, mais en effet, la météo ne s'annonce pas clémente.
Zut pet et prout, foutu pays!
Réponse au message de Jean-Pierre FOURNIER
je ne sais pas si vous avez vu la météo pour samedi ,avez vous l 'espoir que cela change ,je pense a ceux qui sont du coin ou pas trop loin
Tu auras de la pluie à souhait. Du vent bien dans la figure dès Bastogne, particulièrement pénible jusqu'au ravito trois. Ne pas avoir peur d'avoir l'air de scaphandrier au départ, la flotte, le vent et les températures ne te le feront pas regretter. C'est toujoiurs plus facile d'enlever les couches en trop que de mettre celles qu'on n'a pas.
Et surtout, roule bien en deçà de tes capacités, au moins jusqu'à ce même ravito trois ;=))
J'attendrai également jusqu'au dernier moment pour me décider (pour le 150 km). La pluie, la fraîcheur et le vent forment un trio redoutable...
@ Michel : c'est toujours décevant de renoncer à un rendez-vous pour lequel on s'est préparé, d'autant plus lorsque c'est la première participation à ce genre d'épreuve.
"L'important n'est pas le but, mais le chemin" (proverbe chinois)
Je recommande aux LBListes de samedi de partir le plus tôt possible, la pluie devant arriver en cours de matinée. Le vent de SO va augmenter pendant la matinée, de sorte que si les cyclistes virent très tôt à Bastogne, ils reviendront avec le vent fort dans le dos et l'impact de la pluie sera moindre.On annonce 5 l/m² environ, pas trop intense donc.
Au fait ce n'est pas de chance, nous avons connu une période de sécheresse qui a déclenché des incendies dans les Hautes Fagnes et aussi dans la vallée de l'Amblève. Comme quoi il ne pleut pas tout le temps en Belgique.
à quelques jours de LBL, je croise les doigts: que la météo soit clémente pour les ceusses qui vont participer! :-)
...le méditerranéen que je suis doit bien reconnaître qu'il fait pourtant parfois très beau dans le "grand Nord": j'ai eu la chance de faire Paris-Roubaix-LBL 2018 et le Ronde 2019 par un grand soleil!
Réponse au message de Jean ALBERT
à quelques jours de LBL, je croise les doigts: que la météo soit clémente pour les ceusses qui vont participer! :-)
...le méditerranéen que je suis doit bien reconnaître qu'il fait pourtant parfois très beau dans le "grand Nord": j'ai eu la chance de faire Paris-Roubaix-LBL 2018 et le Ronde 2019 par un grand soleil!
Hélas ! Les prévisions météo peu réjouissantes se confirment de plus en plus...
J'ai déjà le très bon livre que je vais lire durant ce week end hautement pourrave.
Bon, ce sera sans moi... zut pet et prout!
Réponse au message de Michel DURY
J'ai déjà le très bon livre que je vais lire durant ce week end hautement pourrave.
Bon, ce sera sans moi... zut pet et prout!
Moi j'irai, sauf imprévu. Tant qu'à sortir pendant un week-end uniformément pluvieux, autant que ce soit dans un cadre bien organisé comme celui-là.
J'ai déjà eu un avant-goût en sortant cet après-midi. Chanceux comme je suis, il a fallu que ma seule et courte plage horaire libre aujourd'hui coïncide exactement avec une période de pluie continue entre deux éclaircies… Bien sûr, j'ai dû nettoyer le vélo de fond en comble ce soir.
Réponse au message de Franck PASTOR
Moi j'irai, sauf imprévu. Tant qu'à sortir pendant un week-end uniformément pluvieux, autant que ce soit dans un cadre bien organisé comme celui-là.
J'ai déjà eu un avant-goût en sortant cet après-midi. Chanceux comme je suis, il a fallu que ma seule et courte plage horaire libre aujourd'hui coïncide exactement avec une période de pluie continue entre deux éclaircies… Bien sûr, j'ai dû nettoyer le vélo de fond en comble ce soir.
L'IRM vient de revoir ses prévisions à la baisse : 5 mm d'eau au lieu de 7. J'attendrai jusque vendredi soir pour me décider...
C'est d'autant plus dommage qu'aujourd'hui, il fait certes gris, mais il fait sec sur l'Ardenne belge!
Vacherie de météo, il pleut comme vache qui pisse alors que hier il faisait le temps parfait. Bon, ce sera un week end lecture, quelle déconvenue, je suis très déçu d'avoir annulé.
Réponse au message de Michel DURY
Vacherie de météo, il pleut comme vache qui pisse alors que hier il faisait le temps parfait. Bon, ce sera un week end lecture, quelle déconvenue, je suis très déçu d'avoir annulé.
Averses froides, vent, température ardennaises .... Il fallait vraiment en avoir envie. Ce matin, j'ai vu des grappes de types, parfois venus de loin, bâcher après deux ou trois heures de route. ils étaient trempés et frigorifiés.
Réponse au message de Jérémie LAPLAC
Averses froides, vent, température ardennaises .... Il fallait vraiment en avoir envie. Ce matin, j'ai vu des grappes de types, parfois venus de loin, bâcher après deux ou trois heures de route. ils étaient trempés et frigorifiés.
Il n'y a donc que moi sur ce forum qui sort par un temps de Belges ?
Parcours médian bouclé donc, 152 km au compteur, 85 tours/minutes de fréquence moyenne de pédalage, 7 h 30 de vélo effectif et une heure de plus pour la sortie totale (ravitos et crevaison obligent).
Effectivement, les conditions météo étaient assez… belges, et même pire : ardennaises ! J'ai pris la pluie dès le départ et elle ne m'a pas lâché jusqu'au pied de la côte du Rosier, en variant les plaisirs : crachins, bruines, déluges… Pas de problème particulier pendant la première moitié du parcours : j'ai avalé les côtes de l'Ancienne Barrière et de la Haute-Levée comme à la parade. Une (jolie
) fille que j'ai rattrapée pendant cette dernière côte m'a dit que son compteur indiquait 3° à cet endroit… Ça n'avait pas l'air de trop la déranger, elle : elle pédalait en cuissard court et avec seulement des mitaines aux mains !!!
Mais de fait, juste après, au deuxième ravitaillement, à Francorchamps, j'ai commencé à avoir vraiment froid. Il vallait mieux ne pas s'arrêter pendant le reste du trajet, parce que sinon c'était la séance de castagnettes garantie, jusqu'à ce que le fait de pédaler vous réchauffe. Au passage, c'est là qu'on ne regrette pas les grands braquets dans les descentes : ils vous permettent justement de pédaler et donc d'avoir moins froid !
À partir de l'ascension de la côte du Rosier, on est passé à un régime éclaircies-averses, et surtout des rafales de vent à décorner les bœufs. La côte du Maquisard ne m'a pas non plus posé de problèmes, ni la descente vers Remouchamps. J'ai par contre bien senti mes cuisses pendant la montée de la Redoute, mais ce n'était pas vraiment une surprise, c'était pareil pour presque tout le monde je suppose.
Au troisième ravito (en plein cœur de la côte du Hornay, quelle idée !!), pour l'anecdote, j'ai eu le plaisir de retrouver un collègue de travail et son fils : apparemment ils avaient bien «tracés», ils étaient partis 1/2 h après moi !
Juste après la descente du Hornay, je crève de la roue arrière. Certainement en grande partie de ma propre faute : j'avais bien vu que le pneu était un peu usé la veille au soir, mais j'ai eu la flemme de le changer. Bien fait pour ma gueule donc ! 20 minutes de réparation, avec les doigts engourdis par le froid, mais j'avais encore de la force puisque j'ai eu par contre la satisfaction anecdotique, pour la première fois de ma vie, d'avoir réussi avec une mini-pompe à « claquer » le pneu sur la jante en le regonflant. Jusque là je ne réussissais à le faire qu'à la pompe à pied ! On a les consolations qu'on peut.
Ensuite, un peu après, encore froid, je grimpe la côte des Forges presque au pas, puis la Roche-aux-Faucons avec (il me semblait) un meilleur rythme, mais les jambes lourdes. Surtout dans sa deuxième partie, après la brève redescente, toujours aussi casse-pattes.
Et enfin, procession finale et quasi triomphale dans ta bonne ville de Liège, où le parcours un peu artificiellement rallongé nous a fait passer par la gare des Guillemins, puis la place Saint-Lambert, où avait justement lieu la présentation officielle des équipes de la course de demain. Quand je suis passé, le commentateur présentait l'équipe Bora-Hansgrohe, et plus précisément les coureurs Burghardt et Schachmann…
Sur le site d'arrivée, ma traditionnelle entorse au régime cyclisme avec un sandwich saucisse-moutarde particulièrement bienvenu dans ces conditions. Et puis retour, avec une bonne brochette de souvenirs, pas forcément tous digestes mais qui donneront matière à raconter le soir pendant les veillées !
Sur le site web de la rando, on voit déjà les photos du jour et elles ne sont pas mauvaises du tout malgré le temps qu'il faisait :
http://www.sport.be/lblcyclo/fr/
(cliquer sur « photos »)
Exceptionnellement, j'y figure, si si ! Certainement pas sous mon meilleur jour, mais tant pis. Qui me trouvera ? Indice : c'est à l'arrivée.
7295.
Mais c'est pas sûr qu'il soit visible, on m'a pris en photo sur la ligne d'arrivée justement au moment où on enlevait ma plaque de guidon, où figurait ce numéro.
Quant au dossard, il est resté sous ma veste de pluie pendant toute la sortie !
Allez, d'autres indices : la ligne d'arrivée est figurée par une arche gonflable sur laquelle est inscrit « Continental », mon vélo est bleu clair et ma veste de pluie est de couleur orange pétante.
Bravo Franck.
Ca me rappelle le LBL que j'avais effectué il y a deux saisons de cela: la pluie sur la moitié du parcours, et presque la neige au col du Rosier. Je m'étais réfugiée dans un café de Spa tellement j'étais frigorifiée, je n'arrivais plus à arrêter de trembler. Heureusement, le temps s'était adouci au niveau de la Roche aux Faucons et on avait fini au sec, à Liège.
Le sandwich saucisse m'évoque aussi des souvenirs.
Une journée sympa mais j'avais quand même souffert sur le vélo, d'autant que mon entraînement était tout sauf suffisant.
En Savoie ce jour, vent et pluie aussi mais rien de comparable. Je suis allé, là encore, me remémorer des souvenirs dans les lacets de Montvernier. Après 2 ans quasiment sans rouler: ce n'est pas la Redoute, mais ça pique quand même!
Réponse au message de Franck PASTOR
Sur le site web de la rando, on voit déjà les photos du jour et elles ne sont pas mauvaises du tout malgré le temps qu'il faisait :
http://www.sport.be/lblcyclo/fr/
(cliquer sur « photos »)
Exceptionnellement, j'y figure, si si ! Certainement pas sous mon meilleur jour, mais tant pis. Qui me trouvera ? Indice : c'est à l'arrivée.
bah chapeau bas Franck,franchement je ne regrette pas d être rester chez moi , ici aussi un vent ...et j imagine bien ce que tu as endurée , c 'est vraiment dommage car cela reste pour ceux qui y vont un investissement en temps et argent non négligeable , mais c 'est la réalité de pratiqué un sport d 'extérieur ,j attends des nouvelles de copains qui y sont allé et malgré que ce soient des endurcies(2018 =25000km) j 'imagine les commentaires .ça m 'a permis de faire un enchainement entrainements vélo cap beaucoup plus court .et demain de participé a une course a pied car la météo ne s 'arrangeant pas le vélo restera au sec .pas réussi a ouvrir le fichier .pourvu que le w e prochain soit au top a bientôt
Réponse au message de Clementine SETA
Bravo Franck.
Ca me rappelle le LBL que j'avais effectué il y a deux saisons de cela: la pluie sur la moitié du parcours, et presque la neige au col du Rosier. Je m'étais réfugiée dans un café de Spa tellement j'étais frigorifiée, je n'arrivais plus à arrêter de trembler. Heureusement, le temps s'était adouci au niveau de la Roche aux Faucons et on avait fini au sec, à Liège.
Le sandwich saucisse m'évoque aussi des souvenirs.
Une journée sympa mais j'avais quand même souffert sur le vélo, d'autant que mon entraînement était tout sauf suffisant.
En Savoie ce jour, vent et pluie aussi mais rien de comparable. Je suis allé, là encore, me remémorer des souvenirs dans les lacets de Montvernier. Après 2 ans quasiment sans rouler: ce n'est pas la Redoute, mais ça pique quand même!
si c 'est ce que l on voit a la télé , les lacets sont magnifiques ,bien de la chance de rouler par là bas
Réponse au message de Franck PASTOR
Il n'y a donc que moi sur ce forum qui sort par un temps de Belges ?
Parcours médian bouclé donc, 152 km au compteur, 85 tours/minutes de fréquence moyenne de pédalage, 7 h 30 de vélo effectif et une heure de plus pour la sortie totale (ravitos et crevaison obligent).
Effectivement, les conditions météo étaient assez… belges, et même pire : ardennaises ! J'ai pris la pluie dès le départ et elle ne m'a pas lâché jusqu'au pied de la côte du Rosier, en variant les plaisirs : crachins, bruines, déluges… Pas de problème particulier pendant la première moitié du parcours : j'ai avalé les côtes de l'Ancienne Barrière et de la Haute-Levée comme à la parade. Une (jolie
) fille que j'ai rattrapée pendant cette dernière côte m'a dit que son compteur indiquait 3° à cet endroit… Ça n'avait pas l'air de trop la déranger, elle : elle pédalait en cuissard court et avec seulement des mitaines aux mains !!!
Mais de fait, juste après, au deuxième ravitaillement, à Francorchamps, j'ai commencé à avoir vraiment froid. Il vallait mieux ne pas s'arrêter pendant le reste du trajet, parce que sinon c'était la séance de castagnettes garantie, jusqu'à ce que le fait de pédaler vous réchauffe. Au passage, c'est là qu'on ne regrette pas les grands braquets dans les descentes : ils vous permettent justement de pédaler et donc d'avoir moins froid !
À partir de l'ascension de la côte du Rosier, on est passé à un régime éclaircies-averses, et surtout des rafales de vent à décorner les bœufs. La côte du Maquisard ne m'a pas non plus posé de problèmes, ni la descente vers Remouchamps. J'ai par contre bien senti mes cuisses pendant la montée de la Redoute, mais ce n'était pas vraiment une surprise, c'était pareil pour presque tout le monde je suppose.
Au troisième ravito (en plein cœur de la côte du Hornay, quelle idée !!), pour l'anecdote, j'ai eu le plaisir de retrouver un collègue de travail et son fils : apparemment ils avaient bien «tracés», ils étaient partis 1/2 h après moi !
Juste après la descente du Hornay, je crève de la roue arrière. Certainement en grande partie de ma propre faute : j'avais bien vu que le pneu était un peu usé la veille au soir, mais j'ai eu la flemme de le changer. Bien fait pour ma gueule donc ! 20 minutes de réparation, avec les doigts engourdis par le froid, mais j'avais encore de la force puisque j'ai eu par contre la satisfaction anecdotique, pour la première fois de ma vie, d'avoir réussi avec une mini-pompe à « claquer » le pneu sur la jante en le regonflant. Jusque là je ne réussissais à le faire qu'à la pompe à pied ! On a les consolations qu'on peut.
Ensuite, un peu après, encore froid, je grimpe la côte des Forges presque au pas, puis la Roche-aux-Faucons avec (il me semblait) un meilleur rythme, mais les jambes lourdes. Surtout dans sa deuxième partie, après la brève redescente, toujours aussi casse-pattes.
Et enfin, procession finale et quasi triomphale dans ta bonne ville de Liège, où le parcours un peu artificiellement rallongé nous a fait passer par la gare des Guillemins, puis la place Saint-Lambert, où avait justement lieu la présentation officielle des équipes de la course de demain. Quand je suis passé, le commentateur présentait l'équipe Bora-Hansgrohe, et plus précisément les coureurs Burghardt et Schachmann…
Sur le site d'arrivée, ma traditionnelle entorse au régime cyclisme avec un sandwich saucisse-moutarde particulièrement bienvenu dans ces conditions. Et puis retour, avec une bonne brochette de souvenirs, pas forcément tous digestes mais qui donneront matière à raconter le soir pendant les veillées !