La saga Lucien Georgelin est née en 1981 à Virazeil, dans le Lot-et-Garonne, sur les coteaux du Marmandais. Les fraises et la confiture ont été les premières productions de cet amoureux des bons produits. Aujourd’hui la société représente un chiffre d’affaires de plus de 39 millions d’euros, pour plus de 400 références dont 150 de confitures, 38 millions de pots, 1 500 000 sachets de confiserie et 1 million de verrines. Depuis peu, la marque s’est diversifiée dans les gels énergétiques et devenue partenaire de l’équipe Fortuneo-Vital Concept.

Les coureurs d’Emmanuel Hubert sont friands des gels mais avant tout de la pâte à tartiner parfaitement naturelle et sans huile de palme. Mais ce sont les fruits de l’exploit que visent Laurent Pichon et ses partenaires.

La gamme Booster est un savant mix entre gel et pâte de fruits. Texture souple, goût naturel et assimilation rapide, que demander de mieux ? La vitamine B1 contribue à la transformation normale des aliments en énergie. La texture est si agréable qu’on aurait plaisir à tartiner ce booster pour le prendre au petit déjeuner sur du pain complet avant d’aller rouler.

Composé à près de 50% de pulpe de fruit, les sticks sont soit à l’abricot, soit à la figue et germe de blé, ou encore à la fraise. Tous sont excellents. On n’a qu’une envie, c’est que la gamme s’élargisse côté parfums et côté produits que ce soit avec des pâtes de fruits, de barres énergétiques, voire des boissons énergétiques.

Conseils d’utilisation: un booster toutes les 45 minutes d’effort, voire aussi après la course et/ou la sortie pour reconstituer les réserves glucidiques. Le gel de 30 grammes se consomme en deux ou trois fois, il se déchire sur la partie haute. Notre conseil : le sucre naturel ça colle donc veillez à presser bien comme il faut avant, pendant et éviter ainsi qu’après, le résidu déborde dans votre poche arrière. Vendu sur le site www.boutique-lucien-georgelin.com par boîte de six sticks au prix de 6 euros et en magasins spécialisés.