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Votre col le plus redouté


Didier SALEMBIER
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Oui, la partie non goudronnée est bien sur le versant suisse. En fait je suis parti de bormio, monté le Stelvio, descendu sur Prato puis rejoint le pied de l'umbrail par la suisse. La partie non goudronnée je l'ai faite dans le sens de la montée sur le versant qui part de Sta Maria. Le bas de la montée était goudronné jusqu'à la fin des lacets et de la partie boisée, puis une courte partie non goudronnée, tout au plus 2 km, et encore...puis de nouveau de l'asphalte pour terminer.

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Sache Sergio que le col de La Pierre-Saint-Martin est mon col fétiche. Je suis natif du Béarn et c'est le grand col le plus proche de chez mes parents. Il est magnifique, dur et extrêmement varié puisqu'on peut le gravir par 7 faces différentes => http://lesbaroudeursenvadrouille.wordpress.com/2014/12/07/le-col-de-la-pierre-saint-martin-dans-tous-ses-etats/

Après les cinglés du Ventoux, les fêlés du Grand-Colombier, qui veut devenir taré de La Pierre-Saint-Martin ? 😃

Oui Michel j'ai le physique qui va bien pour ça mais vélo + montagne j'en suis accroc !

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Bonjour  a tous ,j'ai regardé la majorité des messages ,mais en fait je crois que ce n'est pas UN col qui vous mets "les yeux au fond de la tête" mais la succession de plusieurs cols ...Finalement une bosse de la vallée de Chevreuse peut sembler redoutable si on est resté sur la plaque pendant cinquante bornes...Tout est relatif...Mais pour ce qui est de monter UN col pour moi c'est la Forclaz de Montmin au dessus du lac d'Annecy;de plus la route défoncée et des pourcentages atroces dans certains virages ...Heureusement ce n'est pas très long ...Puis Joux-Plane par Samoëns interminable surtout vers le sommet où l'on voit a chaque virage qui s'éloigne de plus en plus (un peu comme l'Alpe d'Huez qui finalement a part le bas;ce n'est pas si terrible que çà,si on le monte sans être entamé par d'autres cols)..Puis bien sûr l'Izoard par Guillestre (je l'ai monté alors que j'avais encore de bonnes jambes au départ de Briançon mais j'ai pris le coté Sud en passant par la vallée avec un vent de face ...j'étais déja un peu en croustille a Guillestre,mais je ne m'en rendais pas compte..Puis les longues portions de faux-plats vers Arvieux (avec vent de dos cette fois) me semblaient assez faciles j'ai même remis la plaque parfois ,en me disant "c'est çà l'Izoard ?" mais arrivé a Brunissard alors que je croyais que ce n'était qu'une formalité pour la suite alors qu'il ne restait pas trop de kilomètres  ...J'ai compris ma douleur je ne me souviens vaguement d'avoir passé la "case déserte" dans un état comateux ou presque le dernier kilomètre je l'ai fait a la vitesse d'un piéton ...Puis (comme un %@!?) j'ai abordé la descente sans récupérer un peu..Heureusement je ne suis pas tombé ..Mais arrivé a Briançon je ne me souvenais plus où j'avais garé ma voiture !!!et galère pour la retrouver a vélo dans toute la ville que je ne connaissais pas ..Finalement je l'ai retrouvée par hasard sur le parking de la gare ...Mais quelle aventure !!!...       

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En effet guillaume  toujours intéressé  voir fasciné par le Stelvio   .De l'hôtel familial où nous sommes comme des coqs en pâte, nous sommes beaucoup plus prés du ghisallo, du mur de surmano et surtout du valcava situé juste en face . Malgré la route on prévoit de le grimper la dernière semaine de juillet (Stelvio+umbrail?) en adaptant notre planning aux conditions météo comme l'avait fait michel. N'hésites pas à me contacter si tu es disponible ,ce serait avec plaisir .

http://cyclo-club-houchin.e-monsite.com/agenda-cyclo-62/stage-cyclo-lombardie-stelvio.html

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Salut,

Effectivement tu as raison, j'ai regardé la courbe du Garmin et j'ai fait 1060m environs sur les 14 derniers km. Désolé, j'en ai gardé un souvenir de souffrance sur un 34/25 par moment j'ai eu du mal à rester sur le vélo. Le garmin en instantané affichait souvent entre 11 et 13%. Peut-être est-ce le fait que j'avais l'izoard et le col agnel versant francais déjà dans les pattes ? Dans tous les cas, avec le manque d'oxygène, il reste un col pour moi difficile. Pus que le stelvio, mais peut-être étais-je dans un jour de grande forme?

Chaque année quand je reprend l'entraînement et que je fais le granon pour la première fois de la saison, je souffre terriblement et je me dis qu'est-qu'il est difficile. Ces sensations sont plus en lien avec notre forme du moment et l'intensité à laquelle on grimpe.

Sportivement,

Christophe

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  • 3 weeks later...
  • 2 years later...

Bonne idée de déterrer le sujet, car les cols ouvrent. Le dernier qui m'a fait le plus souffrir est le mont Tauch, dans les Corbières, 8 km à 9 %. Pas le plus long, mais une succession de passages à 20 %, entrecoupés de courts répits. Ce qui rend l'ascension difficile, ce sont surtout les tas de graviers qui jonchent la route et qui vous obligent à changer de trajectoire au dernier moment, y compris dans les passages à 20 %. J'ai dû m'arrêter 3/4 fois, 3 fois pour ne pas finir dans les fossés en raison des gravillons, 1 fois par perte d'équilibre dans une pente à plus de 20 %, juste après le virage de mi-ascension. Cela ne m'est arrivé que 2 fois dans ma vie, car même très lentement je ne mets jamais pied par terre dans un col (sauf le Luitel et lors de la montée du Tourmalet au passage de la Mongie lorsque j'avais 16 ans, un bail...). Pour moi la montée après 20 km de "plat" a duré 1h12, presque un record de lenteur, mais je suis allé au bout.

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