Tirreno?

[Guillaume LEROYER]

Bravo Pogi, un des coureurs les plus talentueux de ces 20 dernières années, qui mériterait les éloges que tout le monde adresse à Evenepoel, un autre grand talent, et pas certaines allusions nauséabondes

[Julien GARNIER]

Des chaînes Rocc’ambolesques.

[Clementine SETA]

Aucune allusion de mon côté, Guillaume. Rien à dire contre Pogacar : j'apprécie -peut-être naïvement, mais tant pis -  sa fougue et son talent. Je disais juste que si lui était monté vite, c'est le cas des 15 premiers du classement de l'étape. Plusieurs facteurs pour l'expliquer: vent, pas trop froid (malgré la neige), coup de force (raté) des Ineos qui a vite lancé la course, etc. 

[Michel ROTH]

Je suis d'accord avec toi. J'aurais aimé qu'il laisse gagner le valeureux Mäder.  Roglic ne  m'est pas antipathique mais sa cote de popularité en  serait sortie grandie. Avec son avance au général les 4 s de bonification ne lui était pas d'une importance capitale. Et puis qui sait, un jour il aurait pu bénéficier du retour d'ascenseur de la part de l'équipe de Mäder.

 

 

 

[Michel ROTH]

Même que Van Aert a dit qu'il aurait préféré que le vent ne soit pas favorable car cela.a favorisé les attaques et qu'il lui était plus difficile de contrer à chaque fois.

[Michel ROTH]

Alors vu le profil de l'étape de demain avec quatre circuits finaux de  20  km chacun et un mur avec un pourcentage maximum de 19 % je pronostique la victoire  de MVDP d'autant plus qu'il s'est bien épargné  aujourd'hui.    

Finalement je me demande si Van Aert n'aurait pas dû faire moins d'efforts aujourd'hui et laisser la concurrence mener la chasse derrière Pogacar. Il aurait perdu plus de temps sur le Slovène mais aurait pu se mêler au rush final sans perdre du temps sur les Landa, Higuita.. et assurer une seconde place au général.

A croire qu'il espère encore gagner ce Tirreno. Ce qui paraît peu probable. Il faudrait qu'il engrange toutes les bonifications avant le dernier CLM.  Cela me paraît improbable. Par contre il risque de payer ses efforts d'aujourd'hui et de devoir céder sa seconde place au général avant le chrono final.

                                                                                                     

[Rémi ROCHELET]

Cote de popularité ?

Mais il faut arrêter l'angélisme.

Tu penses que Merckx ou Hinault auraient laissé filer une victoire à portée de roues ? Non !

En procédant ainsi, il ne fait que respecter son métier, ses employeurs et surtout ses adversaires, qui contrairement à certains aujourd'hui, ne voudraient pas d'une victoire au rabais face à lui. D'ailleurs Mader, passé la déception initiale, n'avait aucune amertume. 

[Rémi ROCHELET]

😆

[Michel ROTH]

Je sais. J'ai très bien connu l'époque du cannibale. C'est bien pourquoi j'ai aussi écrit qu'on ne faisait pas de cadeaux. N'empêche qu'on peut penser que, dans certaines circonstances, c'est un beau geste.

Je ne suis pas certain, mais il me semble que Contador avait un jour laissé gagner un coureur échappé. Contador a par la suite bénéficié d'un retour d'ascenseur. Si quelqu'un s'en souvient....

[Guillaume LEROYER]

Contador, Giro 2011, Tiralongo

Jalabert aussi avait laissé la victoire à Dietz sur une étape de sa Vuelta victorieuse

[Julien GARNIER]

Armstrong en 2000 avait laissé une victoire à Otis Schindler et avait effectivement bénéficié de la pose gratuite d’un ascenseur dans sa villa de Gérone.

[Rémi ROCHELET]

En effet, il avait jugé que la liste d'Otis n'était pas assez longue...

J'aurais juré que c'était Otis ThyssenKrupp, la mémoire...  Mais comme il avait bossé comme un sagouin, lorsque Bassons avait été invité à Gérone par son ami des pelotons,  il se l'était pris en pleine poire.

[Olivier MILLIÈS-LACROIX]

Hello Michel

Et on oublie que si personne n’a pris un relais à Merckx lors de l’étape d’Orcières-Merlette, c’était un peu pour lui faire payer son «cannibalisme »…

Quant à Hinault, on l’appelait le blaireau : en termes d’image ce n’est pas terrible...

Et c’étaient d’autres époques.

[Clementine SETA]

Enorme numéro de Van der Poel et grosse course derrière lui. Magnifique étape sur le Tirenno. 

[Guillaume LEROYER]

Cette étape du côté de Castelfidardo c'est toujours un chantier, surtout quand il pleut

[Clementine SETA]

Quand je vois le froid qu'il fait ici, ça me fait mal pour les coureurs; même masse d'air glacial sur l'Est de l'Italie, de toute évidence. 

[Clementine SETA]

Et numéro de Pogacar sur la fin d'étape. 

[Clementine SETA]

Du un contre un à tous les niveaux. Gros chantier, en effet. 

[Cédric SAGANSAN]

Oui, vu l'orgueil du bonhomme s'il avait été dans l'allure sûr qu'il aurait essayé de suivre,mais moins grimpeur que son compère Van Aert.

[Clementine SETA]

Fin d'étape difficile pour Van der Poel. Pogacar revient; avec ces conditions, 50 km seul devant, sans prendre le temps de se couvrir, les derniers km sont compliqués.