Un Australien à la Groupama-FDJ. Un nouveau coureur issu de la BMC rejoindra les couleurs du trèfle pour les deux prochaines saisons. Après Stefan Küng et Kilian Frankiny, c’est au tour de Miles Scotson de s’engager avec la formation de Marc Madiot. Champion d’Australie sur route en 2017, il est également un spécialiste du contre-la-montre et sera d’une aide précieuse pour tirer de longs bouts droits.

Miles ScotsonMiles Scotson | © Groupama-FDJ

Jolien D’Hoore chez Boels Dolmans. Chez les féminines, la sprinteuse Belge Jolien D’Hoore vient de signer un contrat de deux ans avec l’une des grosses écuries, la Boels Dolmans. « J’aime la vision globale de l’équipe, cela correspond parfaitement à mes idées. Je me sens honorée de faire parti de cette formation l’année prochaine. Je pense que nous pouvons remporter la victoire sur n’importe quelle course en 2019, et bien-sûr j’espère contribuer à ses succès. », déclare la vainqueur de deux étapes sur le dernier Giro.

Jolien D'HooreJolien D’Hoore | © Mitchelton Scott

Un vélodrome couvert verra le jour en Bretagne. Grande terre de cyclisme, la Bretagne n’a à ce jour pas de vélodrome couvert. D’ici quelques mois à Loudéac, il y en aura un en construction, d’une longueur de piste de 200 mètres. L’idéal pour tous les Bretons de pouvoir s’entrainer convenablement l’hiver et lors des journées pluvieuses.

Warren BarguilWarren Barguil | © Sirotti

Warren Barguil intéresse les équipes françaises. Le Breton Warren Barguil (Fortuneo Samsic) n’a pas réussi à trouver son meilleur niveau cette année. Passé de la Sunweb à la Fortuneo Samsic, il y a eu quelques changements, « J’ai quitté une très grosse formation pour le petit Poucet du Tour, avec le plus petit budget. Ça m’a fait un petit choc mais ici règne un esprit familial. Avant le Mondial ça m’a fait chaud au coeur de recevoir tous ces messages du staff. Il me reste un an de contrat et je vais tâcher de revenir à mon meilleur niveau en 2019. », confit Warren Barguil. Ce qui est sûr c’est que son profil de coureur ne laisse pas indifférent les manageurs d’équipes françaises, comme la Groupama-FDJ ou la Cofidis.

Par Maëlle Grossetête