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ETD 2018 prépa,reco,matos,diet, et tout l'toutim.


Cédric SAGANSAN
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il va y avoir de la casse cette année....je pense au moins 4000 abondons....letape est tres tres dur et en plus ses 2km de chemin forestier....un truc de malade...et romme pour finir la punition direct avec sa pente direct a 15 pourcent  sur 1 km...et le final de la colombiere.....si vous avez plus rien au pieds de romme ...vous finirez pas.....

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Sur l'EDT, le nombre d'abandon n'est pas lié uniquement à la difficulté de l'épreuve mais également et surtout au niveau des inscrits.

L'étape est dure, les pourcentages dans les Glières font peur de part leur longueur mais magré tout, cela reste des grimpées "courte" (16 kms pour la Colombière avec Romme dont 3 de replat, 9 kms pour les Glières et 12 kms pour la Croix fry) soit 37 kms de grimpette.

Par contre, elle se trouve où la pente d'1 km à 15% pour débuter Romme?

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Thibaud,

La montée des Glières, c'est 6 kms. Par contre, tu oublies la montée de Talloire, la montée au col de Bluffy et enfin le col des Fleuries.

Pour le début de la montée de Romme, tu as raison. La pente moyenne du 1er kilomètre n'est pas à 15% mais à 11%. Par contre, il y a effectivement des passages à 15%.

Je m'y rends demain matin. Je vais faire le col de Romme puis le col de la Colombière jusqu'à la neige.

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L'EDT c'est moins dur que tripler le Ventoux mais ca attire des milliers de cyclo inaptes avides d'événementiel clinquant qui n'imaginerait même pas relever le premier défis cité simplement parce ca n'est pas une cyclo de renommée mais un accomplissement personnel sans marketing. 

J'ai préparé mes WE dans la Vallée de L'Oisans et Mauriennes avec des côtes de 150 m de D+ maxi (et déjà je me sentais privilégié pour un Francilien, je ne parle même pas de la Beauce !!) et c'est passé sans problème. 

La différence c'est que je ne me serait pas attaqué à l'EDT avec 6 mois de vélo dans les pattes, 3 000 km et 10 kg en trop comme les participants qui abandonnent car pas préparés (hors défaillance ou fortunes diverses le jour J)

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hello Simon,

Normalement, avec 3000 kn ça peut passer (sans les 10kg en trop). Pour beaucoup de gens c’est dur de faire plus entre le 1er janvier et l’EdT, surtout si comme cette année l’hiver a été pourri et l’EdT vient tôt.

Bon, l’an dernier j’y suis allé avec presque 5000, mais j’avais 5 kg en trop ( que j’ai heureusement reussi à perdre juste avant la HR)

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Oui, on peut citer les BRA aussi qui sont d'une rare exigence mais lâcher à ses amis qu'on a fait un Brevet de Randonneur Alpin au mieux ils pensent que tu as fait 3 jours avec un vélo de voyage à sacoches et au pire que tu as marché dans le massif des Ecrins avec ton sac à dos... Pas assez "prestigieux". 

La seule vraie difficulté de cette Etape pour ceux qui seront correctement préparés, équipés et alimentés sera le bouchon de cyclo mal préparés à pieds dans les passages raides. 

Le prix d'inscription et du voyage est négligeable face à l'achat d'un couple dérailleur/cassette pour avoir 34 à l'arrière et passer partout donc des montées de 12 % sur 4-5 km c'est un faux problème. Sauf si il y a trop de monde soit si on a tenu à y aller avec un braquet trop gros.

Certes c'est un événement très couru mais ca reste un grand moment pour les cyclos, je comprend qu'on puisse avoir envie de la faire mais pas la fleur au fusil ou sans se connaitre du tout, c'est dommage pour sois et pour les autres

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Rouler beaucoup n'est pas forcément facile c'est vrai. 3 000 km ca fait une sortie de 4 h tous les dimanches matins, ce qui me semble le minimum pour prétendre à se genre d'événement à moins d'être particulièrement talentueux. 

Je ne pouvais pas rouler beaucoup en semaine j'ai fait 2/3 de mes séances sur HT, 45 min chacune et dans mon cas ca m'a suffit pour passer des cols alpins sans problèmes (3 000 à 4 000 km entre Janviers et Juin)

Là je vais recommencer à bosser et habiter à Paris mon temps disponible pour rouler va se réduire comme une peau de chagrin. Dans ma tête ce genre d'objectif devient immédiatement inaccessible en l'état. Mes perspectives seront désormais un peu de HT et des petit tours au polygone de Vincennes. 

Je pense qu'il faut savoir se donner les moyens de réussir et en même temps se fixer des objectifs à la hauteur de ses moyens. 

Les cols en montagne c'est terminé pour un bon moment pour moi 🙁 

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Je me suis toujours préparé à des efforts en répétant celui au dessus dans l'échelle des intensités soit le fondement fractionné. Pour bosser mes effort d'une minute (résistance lactique) je fractionne en 30s/30s, pour 5 min (PMA) je fractionne 1min/1min et pour 20 min (seuil ventilatoire) je fractionne 5min/2min. 

Je me dit que si je dois préparer une montée de 10 km à bloc et bien je vais faire 5 fois une montée de 2 km à bloc donc forcément plus vite que je grimperais celle de 10 km. Une fois dans celle de 10 km je me sens très facile à grimper un peu moins intensément. 

L'endurance peut ensuite se faire sur le plat en enfilant les kilomètres. Le HT ne remplace pas le foncier c'est certain mais la qualité du travail spécifique est très supérieure à ce que je peux faire sur route. J'ai jamais eu aussi mal que sur mon spinner. 

L'inconvénient majeur que j'ai trouvé est la cadence de pédalage. Sur HT on est plus souple du coup j'ai favorisé les cadences élevées naturellement. Depuis 1 an que je n'en fais plus j'ai perdu en fréquence de pédalage . Par contre c'est suffisamment efficace pour avoir perdu près de 3 kmh sans mes côtes de référence, preuve qu'il me manque un aspect majeur de mon entrainement. Ma moyenne a fondu aussi. 

Pour moi 2 HT + 1 sortie route sont très complémentaires si on s'y prend bien. Ca ne suffit certainement pas à supporter l'intensité d'un col en situation de course mais je reste sur l'idée que du moment que je repousse le maximum que je sais faire, en faire moins me sera toujours d'autant plus facile. 

Pour se promener en montagne et faire un col à fond de temps en temps c'est largement suffisant pour moi. Pour LBL j'ai du insister sur le km parce que autant si tôt c'était pas simple mais pour refaire de la montagne en été j'adopterais la même stratégie sans hésiter (je ne peux pas faire plus de toute façon)

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