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LBL Challenge 2016


Brice SERAPHIN
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Messages recommandés

Plus les celles par répertoriées... 2600m (mon garmin dit 2700...?) ça use un peu quand même.

Ce qui use, c'est de rouler fort partout. En restant en deçà en permanence, en évitant de te mettre dans le rouge dans des secteurs comme celui, par exemple, de Harzé - Werbomont (ravito 1) tu t'économises et tu peux passer les grosses bosses bien frais.  Comme à chaque fois, je me suis fait dépasser par bien de types - qui m'ont littéralement laissé sur place - dans des tronçons non répertoriés et j'ai revu bon nombre de ces avions là où ça fait mal. De même, sur le retour entre le sommet du Rosier et le pied de la Redoute, je n'ai quasiment pas donner un seul coup de pédale, en me laissant descendre de groupes en groupes.

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Pour notre part on était sur le 270. C'était mon 4ème d'affilé. Le 1er j'en ai bavé car j'ai eu des soucis intestinaux. Mais hier entre la pluie, le vent, la grêle dans Remouchand avant la Redoute et le froid (entre 3 et 7°) qui fait que l'on dépense plus de calorie, sans compter qu'en dessous de 10/15° mes muscles ne chauffent pas, ce fut pour moi le plus dur.

La descente de la cote de Wanne était qussi bien défoncé. J'en ai perdu mes déchets dans la sacoche de cadre. Les 800 derniers mètre de la montée de Wanne était aussi très mauvais.

La Roche aux Faucons effectivement plus dure cette année. J'ai pu m'accrocher - laborieusement parfois - à des coursiers de mon groupe et je termine à 26,4 de moyenne.

D'habitude on s'attend, mais là avec le froid on à écourter les pauses aux ravitos pour ne pas choper la mort.

Arrivé à la maison à 3h du matin après avoir fait un restau dans la banlieu de Liège. Qu'est ce que c'est bon le salé après une telle journée.🆒

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Même si nous ne sommes pas sur le forum matériel, je tenais à vous faire part de ce que j'ai vu.

- Vélos endurance avec freins à disque : j'en ai vu dans chaque groupe, contrairement à l'an passé où j'en avais vu deux ! Vu les conditions, ce n'était pas idiot 🤐

- Un seul Sram e-tap : normal vu les délais. Ceci dit, c'est moche, même si cette réflexion est purement subjective et ne présage rien quant au bon fonctionnement du matériel. Cependant, le type qui roulait avec avait soit un problème de dérailleur avant, soit roulait à vélo pour la première fois : la Haute Levée en 52/28, au bord de la chute, ce n'est pas top.

- Pas mal de types qui conservent le triple ! Et pas que des anciens comme moi

- Perso, j'étais en 3x10 et tubeless. J'ai heurté une pierre bien tranchante et ai repeint la fourche de préventif. Ouf 😇. Quant au 3x10 en 26 - 36 - 48 et 11x23, ça offre un étagement inégalé par rapport à mon ancien 2x11 en 34/50 et 12-27.

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Même constatation que toi sur l'augmentation du nombre de vélos avec freins à disque. Mais maintenant qu'ils sont interdits en course en ligne et sur cyclosportive française, je me demande si la tendance va se poursuivre.

Dans la côte de la Roche-aux-Faucons, le groupe dans lequel je me trouvais alors s'est fait proprement laisser sur place par un type juché sur un vélo de type VTT, le buste droit comme un I, qui ne donnait pas du tout l'impression de fournir un effort physique quelconque. L'un de mes voisins a dit tout haut «celui-là il a un moteur électrique!». Vrai ou faux, ça témoigne du doute qui s'est installé dans le milieu cycliste…

Pour le triple, et la politique lamentable des équipementiers à son sujet, tu sais mieux que personne ce que j'en pense… 📢 

Comme les années précédentes, je continue à être proprement effaré par le manque de technique et de prudence de beaucoup de participants dans les descentes. Combien en ai-je vus qui descendaient crispés à mort, qui tenaient leur guidons par les cocottes, se postaient carrément au milieu de la route en ligne droite au point de gêner ceux qui voulaient les dépasser, se déportaient carrément vers l'extérieur dans les virages à droite, même sans visibilité…

Dans les montées, je suis encore et toujours surpris de voir que la technique générale des participants, c'est « je commence à fond et je finis comme je peux ». Ça a du sens dans les courtes côtes des Ardennes flamandes sans doute, mais dans des montées comme celles d'hier… combien j'en ai vus se cramer à ce rythme!

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On a bien fait la même épreuve, le manque de maîtrise de certains fait peur à voir...

😲

Je confirme aussi pour les disques: au vu des conditions annoncées, j'ai pris mon mulet, un Specialized Diverge avec freins à disques et des pneus de 700x30. Gonflé à 5 bars, j'ai battu mes records en descente alors que la route était mouillée et ce sans prendre de risques, profitant au passage d'un confort royal.

Dommage que j'aie laissé mes jambes à Bastogne: partis à 7h00, on prend une averse d'entrée et même s'il pleuvra peu par la suite, cette averse va me plomber ma journée. En haut de la première bosse après Liège, je sens que l'eau s'est infiltrée dans mes chaussures, pas top mais pour le moment je n'ai pas froid. Et jusque Bastogne ca va même plutôt pas mal, pas assez pour suivre mes compagnons de clubs dans les bosses mais je veux garder des forces pour la fin de parcours.

Arrivé à Bastogne ça commence à cailler, je ravitaille vite et je repars, la route est droite, en faux plat montant et...le vent est de face, pas extrêmement fort mais...glacial! Ma veste légère m'a bien protégé de la pluie mais en dessous j'ai bien transpiré et je suis littéralement anesthésié par le froid, je n'arrive pas à me réchauffer, mon coeur ne monte plus et les jambes sont sans forces. Pas de bol il reste 130km. Au ravito suivant je me fais carrément un picnic puis je me "planque" dans un groupe à consonance italienne qui roule bien et pas trop vite. Ca me permet de récupérer un peu et de me réchauffer plus ou moins. J'aborde même Wanne pas trop mal...avant de coincer en haut de la Haute Levée, longue partie droite vent de face... Bref, une belle galère en perspective.

Sprimont sera le théâtre de...mon deuxième picnic, le soleil montre le bout de son nez, puis au moment de repartir, 3 autres compagnons de club arrivent au ravito. On fera la fin du parcours ensemble, je retrouve même un peu de vie sous le soleil de la Roche aux Faucons.

Moi qui croyait avoir galéré, on a été impressionné par le nombre de cyclistes qui arrivaient jusqu'à la tombée de la nuit! Après avoir avalé deux boulets et des frites à quelques hectomètres du lieu de départ/arrivée, vers 21h30 on retrouve un cycliste assis sur le trottoir complètement hébété, ne sachant plus réellement où il était, tétanisé par le froid et l'hypoglycémie. Il nous dit en anglais qu'il veux juste rejoindre sa voiture, on lui suggère quand ainsi qu'à son comparse de se réchauffer au resto devant lequel il est assis et de prendre un bon soda bien sucré, histoire de. Lui est vraiment allé au bout de lui-même...

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Bravo pour la vidéo !

Concernant le fléchage à Remouchamps, il faut reprendre le pont comme lors u 1er passage et au rond-point suivre l'itinéraire 78km...

Moi-même étant de la région je me suis surpris de ne pas prendre directement à droite avant le pont...

Il eut été judicieux de mettre un panneau explicatif ou un signaleur un peu plus "futé" !

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J'ai également remarqué l'augmentation de vélos avec freins à disques...

Malheureusement certains avec disques n'avait qu'un freinage à câble et non hydraulique... autant rester en version classique  !

Au pied de la côte d'Embourg, j'ai vu un Specialized Vias S-Works avec l'E-Tap et jantes Roval CLX60 je pense... un vélo qui passe les 10000€ ! Franchement c'est vraiment le dernier des vélos que je prendrais pour faire ce genre de randonnée...

Nous étions 4 d'un club local, le CC Haccourt, et avons constaté le manque de respect du code de la route de certains cyclos ! Nombre de feux passés au rouge, refus de priorité, rond-point pris par la gauche et j'en passe...

Je comprends qu'un groupe ne va rouler en file indienne, mais de là à voir 3, 4 même 5 cyclos l'un à côté de l'autre... même lors de dépassement on a beau signalé notre arrivée et aucune réaction...

J'ai également été surpris lors du 1er ravito, j'étais près de l'assistance Mavic, le nombre de cyclos se présentent avec du matos défectueux... Ah, vos patins sont morts, c'est de là que provient ce bruit... des dérailleurs non indexés, du jeu dans la direction, sans compter les problèmes de pneus... Il ne me viendrait pas à l'idée de prendre le départ d'un cyclo avec un vélo non en ordre !

Cette année je n'ai pas eu droit à des voitures suiveuses dans "La Redoute"... peut être eu de la chance à ce moment...

Sur mes 5h50 de parcours finalement presque pas de pluie, mais il n'en fallait pas plus !

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J'ai fais le 158, bizarrement, j'ai eu beaucoup trop chaud tout du long de l’épreuve. Mais je suis habitué aux mauvaises conditions et plutôt toujours trop bien équipé.

J'ai trouvé l'épreuve moins difficile que la fléche de wallonie. Les ravitos moins bien organisé aussi que les épreuves flamandes et le flechage un peu juste aussi. Les signaleurs font ce qu'ils peuvent ce n'est pas leur boulot et je les remercie. 

Je casse mon derailleur au km 60 et fini quasiment en pignon fixe, j'en ai chié dans la redoute mais bon ca passe. 

Sinon toujours impressionné par les mauvais déscendeur (je suis pourtant le plus nul dans mon club) et là je n'ai fais que doubler dans les déscentes. 

Et toujours impressionné aussi par les gars qui font les cotes à bloc et s'arretent toujours 10 minutes en haut. moi je n'y arrive pas j'ai les jambes coupées des que je m'arrete. 

RDV à lille hardelot, je pense avoir roulé un peu avec vous "villemin" 

 

 

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Après Jérémie, sans aller jusqu'à rouler fort partout c'est quand même tentant de mettre du rythme dans les bosses. Parce que faire LBL c'est un peu dans ce but la pour bon nombre de participants. Ensuite surtout si on ne connait pas le parcours, il y a risque de le payer sur la fin mais difficile d'en vouloir à des gars qui font preuve de générosité et se tire la bourre, ou du moins ne se couche pas dans les bosses! Je préfère ça aux gestionnaires calculateurs qui font en sorte de jamais trop souffrir et qui effectivement passeront "sans encombre" tous les obstacles à l'allure d'escargot...

Mais qui au final auront la satisfaction d'une "belle" moyenne vu que dans les descentes et faux plats descendants ils la font remonter en flèche!!...

Bref chacun ses objectifs et motivations.

Mais je me demande encore pourquoi les organisateurs ne répertorient que 6 côtes sur le moyen parcours par exemple???!!!

Rien que jusqu'au ravito il n'y en a selon eux aucune alors que des le 8ème kilomètres avec celles d'embourg ça démarre!

Et ensuite, avant le premier ravito donc, il y a une montée interminable certes pas très pentue mais suffisante pour étirer et disloquer les nombreux pelotons en groupe plus ou moins fourni.

 

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Bravo pour le 270.

Arrivé à Bastogne ça commence à cailler, je ravitaille vite et je repars, la route est droite, en faux plat montant et...le vent est de face, pas extrêmement fort mais...glacial!

C'est précisément pour cette raison que je ne voulais pas me lancer sur le grand : le vent dans la" tronche" entre Bastogne et Vielsalm. J'ai déjà goûté, je compatis

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Pour répondre à tout ceux qui évoquent le non-respect du code de la route, les types qui roulent n'importe comment, je ne peux que plussoyer 😢 J'ai dû dépasser par la droite une dizaine de types dans le Rosier ; ils roulaient à deux, voire trois de front au milieu de la route. Heureusement que 99% des automobilistes sont fort courtois.

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