L’été sur le vélo est synonyme de transpiration intense ou chaque effort consomme beaucoup d’eau, mais surtout les minéraux essentiels qui vont avec. Une sortie par temps chaud peut nous faire perdre jusqu’à deux litres de transpiration, emmenant avec elle des éléments vitaux : 600 mg de sodium, 500 mg de potassium, et 100 mg de magnésium et calcium.

Cette perte n’est pas anodine. Sans compensation, notre organisme se détraque progressivement. Les crampes apparaissent, la coordination se dégrade, et la performance chute brutalement. Si un simple bidon d’eau peut suffire pour une petite sortie de 45 minutes, elle devient largement insuffisante dès qu’on s’attaque à des efforts plus soutenus et c’est là que prendre des électrolytes se justifie pleinement.

Les minéraux, véritables pilotes de notre organisme

Chaque électrolyte joue un rôle spécifique dans notre corps. Le sodium maintient le volume sanguin en retenant l’eau dans notre système circulatoire. Le potassium assure la transmission des signaux nerveux et permet aux muscles de se contracter efficacement. Le magnésium et le calcium forment un duo complémentaire : l’un déclenche l’action musculaire, l’autre permet la décontraction. Enfin, le chlorure stabilise l’acidité de notre organisme, évitant les déséquilibres lors d’efforts intenses.

Nutri&Co mise sur la transparence totale

Chez Nutri&Co, marque française de compléments alimentaires sport et santé, on joue cartes sur table : chaque produit s’accompagne d’une fiche ultra-détaillée qui révèle tout, depuis l’origine des ingrédients jusqu’au nom du façonnier qui fabrique les gélules. Un simple scan du QR code donne accès à l’historique complet du produit et à des conseils personnalisés. Cette transparence totale permet aux consommateurs de savoir exactement ce qu’ils avalent.

Pour ces pastilles d’hydratation, l’équipe a minutieusement choisi chaque forme d’ingrédient actif. Prenez le magnésium : au lieu d’utiliser l’oxyde de magnésium classique (qui passe souvent directement dans les toilettes), ils ont opté pour le bisglycinate. Cette forme « chélatée » signifie que le magnésium voyage accroché à la glycine, un acide aminé qui lui sert de passeport pour franchir sans encombre la paroi intestinale. Même logique pour le calcium : le malate de citrate reste parfaitement soluble dans l’estomac, évitant ces précipités blanchâtres qui rendent d’autres formes de calcium difficiles à absorber.

Chaque pastille délivre exactement 1 100 mg d’électrolytes dans une solution hypotonique, autrement dit, moins concentrée que notre sang (sous les 280 milliosmoles par litre). Cette caractéristique technique fait toute la différence : l’intestin absorbe ces liquides moins denses beaucoup plus rapidement que les boissons isotoniques standard. Les bicarbonates de sodium et potassium ne se contentent pas de réhydrater : ils neutralisent activement l’acide lactique qui s’accumule dans les muscles pendant l’effort et peut provoquer cette sensation de « brûlure » qui nous est plus ou moins familière !

La formulation dépasse le simple remplacement des électrolytes perdus. La vitamine C naturelle (acide L-ascorbique) fait équipe avec le zinc pour créer un bouclier antioxydant efficace, tandis que les vitamines B2, B6 et B9, toutes sous leurs formes les plus actives que le corps utilise directement, dopent la production d’énergie au niveau cellulaire. Cette synergie couvre entre 15 et 40% des besoins quotidiens selon les nutriments, offrant un véritable coup de pouce métabolique.

Concrètement, une pastille dans 500 ml d’eau apporte 300 mg de sodium et 300 mg de potassium sous forme de bicarbonates anti-acidité, 56 mg de magnésium ultra-assimilable, 120 mg de calcium digeste, plus un cocktail de quatre vitamines et du zinc pour combattre le stress oxydatif généré par l’effort ou le quotidien.

Les pastilles sont dispo avec les arômes naturels de citron, pêche ou fruits rouges et sont sucrés a l’aide de la stevia.

Protocole d’utilisation recommandé

Le protocole suggéré par la marque commence la veille d’une grosse sortie avec un mélange concentré (une pastille dans 350 ml) au dîner pour faire des réserves de sodium. Le matin, il faut boire 6 à 8 ml par kilo de poids corporel deux heures avant le départ, avec la même concentration.

Pendant l’effort de moins de deux heures, on dilue une pastille dans 500 ml et on boit régulièrement 150 ml tous les quarts d’heure. Après l’arrivée, une nouvelle pastille accompagnée de glucides aide l’organisme à reconstituer ses réserves.

avec ce type de pastilles l’hydratation se ressent différemment qu’avec de l’eau simple : moins de sensation de soif, maintien de l’énergie plus longtemps, et surtout absence de crampes même lors de sorties longues. La transparence affichée par Nutri&Co rassure sur la qualité des ingrédients utilisés.

Le rapport qualité-prix reste correct pour un produit qui mise sur des actifs premium et une traçabilité complète.

Article rédigé en collaboration avec Nutri&Co.