Ils prologent :

Danilo Napolitano. Un an de plus pour Danilo Napolitano, le sprinteur sicilien de l’équipe Wanty-Groupe Gobert, habitué à en claquer une chaque année bien que moins tranchant que par le passé à maintenant 33 ans. Le finisseur italien fera donc à nouveau partie de l’effectif de l’équipe Wanty-Groupe Gobert la saison prochaine, lui qui cette année a remporté le Circuit du Pays de Waes, terminé 2ème d’une étape du Tour Méditerranéen à Montagnac et 3ème du Grand Prix de Prato. Chez Wanty-Groupe Gobert, Danilo Napolitano restera une valeur sûre sur le terrain des sprints, la formation ayant fait appel jusqu’à présent à Boris Dron (Wallonie-Bruxelles), Yannick Eijssen (BMC Racing Team), Marco Marcato (Cannondale) et au néo-pro Simone Antonini (Marchiol Emisfero) pour renforcer ses rangs la saison prochaine.

James Van Landschoot. Défini comme un coureur tout terrain, James Van Landschoot poursuivra sa carrière avec Wanty-Groupe Gobert en 2015 puisqu’il a signé un nouveau contrat d’un an. « Ce sera ma quinzième saison chez les pros et j’en suis très heureux, fait savoir le Belge de 36 ans. En 2014 j’ai rencontré beaucoup de malchance :  j’ai chuté gravement à l’Amstel Gold Race et au Tour du Danemark. Mais ces soucis sont derrière moi. »

Du côté du staff :

Luke Roberts. C’est un ancien champion olympique de poursuite par équipes (avec Graeme Brown, Brett Lancaster et Bradley McGee à Athènes en 2004) qui dirigera l’équipe Cult Energy la saison prochaine puisque l’Australien Luke Roberts a été choisi pour directeur sportif de la structure danosie auprès de Michael Skelde et André Steensen. Retraité des pelotons depuis janvier dernier, l’Australien de 37 ans retrouvera un pays qu’il connaît bien pour avoir couru deux ans chez Saxo Bank. « Travailler avec Cult Energy l’an prochain est une grande opportunité pour moi de transmettre mon expérience à de jeunes coureurs que j’ai hâte d’aider à franchir un palier, déclare Luke Roberts. Je suis particulièrement heureux de travailler avec des Danois, dont j’ai appris à aimer le caractère. »

Nicki Sörensen. A propos de Danois, Nicki Sörensen restera lui aussi dans le milieu puisqu’il a accepté de tenir un rôle de directeur sportif dans l’équipe Tinkoff-Saxo, où il a réalisé la quasi intégralité de sa carrière en y passant quatorze ans. Il ne pouvait pas être mieux placé pour diriger ce groupe qu’il connaît à la perfection aux côtés de Bjarne Riis. « Au départ, je vais d’abord apprendre des directeurs sportifs plus expérimentés, précise Nicki Sörensen, 39 ans. J’ai toujours aimé analyser la course depuis mon vélo, mais depuis la voiture ce sera différent. Je suis dans l’équipe depuis 2001 et j’y ai de proches amis parmi les coureurs et le staff. J’ai maintenant beaucoup d’expérience que je souhaite transmettre aux autres coureurs, que je connais vraiment très bien. J’ai hâte que les choses sérieuses commencent ! »