
Classement :
1. Florian Vogel (SUI, Focus XC Team) en 1h26’28 »
2. Mathias Flückiger (SUI, Stöckli Pro Team) à 1’05 »
3. Moritz Milatz (ALL, Koch Engineering-Muesing Racing Team) à 1’39 »
4. Julien Absalon (FRA, BMC MTB Racing Team) à 1’45 »
5. Grant Ferguson (GBR, Betch.nl Superior Brentjens MTB Racing Team) à 2’03 »
6. Nino Schurter (SUI, Scott-Odlo) à 2’41 »
7. Lukas Flückiger (SUI, BMC MTB Racing Team) à 2’42 »
8. Rudi Van Houts (PBS, Multivan Merida Biking Team) à 3’01 »
9. Fabian Giger (SUI, Team Colnago Sudtirol) à 3’13 »
10. Reto Indergand (SUI, BMC MTB Racing Team) à 3’21 »

Classement :
1. Annika Langvad (DAN, Specialized Racing) en 1h27’16 »
2. Gunn-Rita Dahle (NOR, Multivan Merida Biking Team) à 1’34 »
3. Elisabeth Osl (AUT, Ghost Factory Racing) à 2’11 »
4. Adelheid Morath (ALL, BH-SR Suntour-KMC) à 5’23 »
5. Anne Terpstra (PBS, Habitat Mountainbiketeam) à 5’57 »
6. Malene Degn (DAN) à 6’41 »
7. Nataliia Krompets (UKR, ISD MTB Team) à 8’23 »
8. Jovana Crnogorac (SRB, Salcano Cappadocia) à 9’23 »
9. Sofia Wiedenroth (ALL) à 10’22 »
10. Hielke Elferink (PBS) à 10’33 »

Classement :
1. Nicolas Vouilloz (Team Enduro Lapierre Gravity Republic) en 28’31 »
2. Alexandre Cure (Rocky Mountain-Urge) en 29’30 »
3. Thomas Lapeyrie (Team Sunn) en 29’42 »
4. Olivier Giordanengo (Giant Offroad La Roue Libre) en 30’13 »
5. Julien Camellini (Cycles Camellini) en 30’19 »
6. Clément Benoît (Chamrousse Enduro Team) en 30’27 »
7. Baptiste Gaillot (Chamrousse Enduro Team) en 30’39 »
8. Loïc Piazzon (Team KTM Kenny) en 31’11 »
9. Jérôme Gilloux (UC Monaco) en 31’33 »
10. Mathieu Galléan (Team Enduro Lapierre Gravity Republic) en 31’51 »
3 questions à… Mariana Salazar
Mariana, après avoir remporté la Coupe de France DH d’Oz-en-Oisans la saison dernière, tu as pris la 12ème place de la Coupe du Monde DH de Lourdes. Comment t’est venue la passion du VTT ?
Dès mon plus jeune âge, je pratiquais le motocross avec mon frère. Mais, à l’âge de 12 ans, on a tous les deux arrêté. On s’est ensuite mis au VTT cross-country et on faisait tout le temps la course pour voir qui descendait le plus vite. C’est comme ça que j’ai connu la descente, qui est vite devenue une obsession. J’aime l’adrénaline et la maîtrise du risque. En plus, la DH est un sport très complet qui nécessite un bon physique et de la technique, mais également de la concentration et de l’engagement. J’ambitionne cette saison d’arriver dans les dix meilleures en Coupe du Monde.
Tu es originaire du Salvador mais vis en Savoie. Comment es-tu arrivée là ?
J’ai eu mon bac ES au lycée français de San Salvador, c’est pourquoi j’ai décidé de venir en France pour poursuivre mes études et réaliser mon rêve en participant à des Coupes du Monde DH. C’est mon prof d’EPS au lycée qui m’a parlé du CESNI (Centre d’Etudes des Sportifs Nationaux et Internationaux) et de sa section Sport Etudes, qui correspondait exactement à ce que je cherchais. Grâce à ce DUT de trois ans, je peux pratiquer mon sport à haut niveau et préparer mon avenir professionnel en même temps.
La descente féminine te semble-t-elle suffisamment médiatisée ?
Non, en tout cas les femmes sont moins médiatisées et mises de côté. Je trouve cela très dommage car en compétition, nous faisons les mêmes parcours que les hommes. Nous prenons les mêmes risques, et même si nous ne descendons pas à la même vitesse, nous n’en sommes pas loin. Il y a beaucoup de débats à ce sujet. De plus, il est plus difficile pour les femmes de décrocher des contrats de sponsoring. Je pense que cette discrimination n’est pas justifiée, nous faisons les mêmes efforts que les hommes.
