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AMSTRONG:la rumeur


Claude CARRIES
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Je m'en fiche un peu de Rebellin, c'est très bien ce qu'il fait.

C'est un peu le Jeannie Longo masculin, mais en moins controversé.

Par contre, si quelqu'un sait où en est cette affaire :

http://www.cyclisme-dopage.com/actualite/2009-03-18-20minutes.htm

qui colle mieux au sujet, j'aimerais savoir si elle a été totalement abandonnée ou si l'AFLD la garde dans les tiroirs pour la ressortir au moment opportun.

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Tu noteras ce paragraphe

.... Reste à dénicher l'endroit où réside le coureur (...). Car, si les coureurs du peloton sont obligés de communiquer tous les jours leur adresse pour faciliter les contrôles inopinés, l'Union cycliste internationale (UCI) n'a aucun devoir de communiquer à une agence nationale comme l'AFLD celles des coureurs étrangers. «Tous les moyens sont bons. J'ai un réseau d'informateurs qui me permettent de me renseigner avant de lancer une opération spéciale», témoigne Jean-Pierre Verdy. Au retour de l'entraînement, Armstrong, seul, a donc trouvé devant sa porte une équipe de contrôle. «Nous lui avons prélevé un échantillon A+B de sang, d'urine et de cheveux.» (...)

et tu te souviens sûrement qu'Armstrong les avait fait poireauter à la porte pendant 30 minutes.

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Le fait qu'ils les ait fait poireauter 30' a dû se conclure par une pirouette sans doute, mais concernant les résultats du contrôle, ils ont dû être négatifs, sinon nul doute qu'on en aurait entendu parler.

Et puis s'il y a eu un prélèvement de cheveux, les 30' d'attente ne changent rien au résultat.

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. Reste à dénicher l'endroit où réside le coureur (...). Car, si les coureurs du peloton sont obligés de communiquer tous les jours leur adresse pour faciliter les contrôles inopinés, l'Union cycliste internationale (UCI) n'a aucun devoir de communiquer à une agence nationale comme l'AFLD celles des coureurs étrangers. «Tous les moyens sont bons. J'ai un réseau d'informateurs qui me permettent de me renseigner avant de lancer une opération spéciale», témoigne Jean-Pierre Verdy. Au retour de l'entraînement, Armstrong, seul, a donc trouvé devant sa porte une équipe de contrôle. «Nous lui avons prélevé un échantillon A+B de sang, d'urine et de cheveux.» (...)

C'est une procédure qui m'a toujours choqué.

Ce rend t on compte, sur le plan des droits de l'homme et du respect de la vie privée !

- Communiquer tous les jours son adresse !

- Prélèvement de sang, d'urine et de cheveux !

Je trouve tout à fait ahurissant que des êtres humains acceptent cela sans sourciller.

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Oui, et pour reprendre ce que dit Grégory, je note que lorsque je t'ai expliqué ce à quoi étaient soumis les coureurs avec cette obligation de localisation jour par jour et heure par heure avec le suivi ADAMS (mis en place en 2010 je crois) pour te montrer qu'il y avait une réelle volonté de lutte contre le dopage contrairement à tes idées reçues, tu n'as pas répondu.

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Je crois me souvenir que Kevin Van Impe a été noté en carence alors qu'il était aux obsèques de son bébé !

C'est Big Brother adapté au cyclisme.

Que dirions nous si, un jour, sous prétexte que consommer des substances interdites ou de l'alcool est dangereux, avant de prendre le volant nous devions donner adresses et emploi du temps à une autorité afin qu'elle puisse nous contrôler inopinément ?

Il y a peut-être volonté de lutter contre le dopage mais ça ne justifie pas qu'on fasse n'importe quoi quant au respect qu'on doit à chacun, sportif y compris.

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Certains voulaient même autoriser les contrôles en pleine nuit !

La plupart des coureurs jouent le jeu et savent qu'il faut en passer par là pour assurer la crédibilité du cyclisme. Note que dans les autres sports, on ne se pose pas cette question.

Mais n'empêche que quand je lis que les instances laissent faire, ça me hérisse le poil !

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Ca le choquerait (j'imagine) comme peuvent être choqués les cyclistes qui sont tenus à ce type de contrôles, mais si comme ces derniers Thierry (ou tous les autres) devait en passer par là car c'est la règle et que son non respect le renvoyait à ses chères études, j'imagine qu'il se dirait qu'il préfère gagner sa vie étant choqué que de ne pas la gagner ne l'étant pas. Mais sans parler des cyclistes et de ces contrôles qui sont pour moi également des abus à la liberté individuelle fondamentale, mais battue en brèche et acceptés pour tels car le système économico-politique et ses maîtres l'ont voulu ainsi afin de préserver leurs intérêts et ceux de leurs proches, nous sommes entourés et submergés de contrôles et d'atteintes à nos libertés individuelles. Un salarié au smic, une personne au RSA, les employés précaires sont pour les mêmes raisons que les cyclistes dépossédés de leur liberté. Comment vivre dans ses conditions? Une chose est certaine, le système aime moins la liberté que la sécurité, la sienne avant celle des autres, celle des autres entrainant la sienne, la sienne garantissant celle des autres qui entrainent donc la sienne, et les gens, pour avoir une part de cette sécurité traitresse et fictive en réalité, sont prêts à concéder des pans entiers de liberté, jusqu'à se concéder, s'offrir eux-mêmes et entièrement. C'est ce qu'il se passe pour les cyclistes professionnels, pour la sécurité de leur contrat ils renoncent à des parts de leur liberté individuelle en acceptant ces contrôles "gestapiques" comme le salarié au smic, la personne au RSA, l'employé précaire renoncent à leurs libertés en acceptant ces conditions de travail et de vie négrières.
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Tu mélanges tout !

Mettre le problème des bas revenus dans ce débat n'a pas de pertinence.

Si l'argent donne effectivement une certaine liberté pourquoi donc le "salarié au smic, la personne au RSA, les employés précaires" ne se débrouillent ils pas pour gagner des "sous".

Personne ne les en empêche dans un système capitaliste, bien au contraire. S'ils sont, de fait, "esclaves" ils le sont volontairement.

Donc ça n'a rien à voir. 

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Tu as raison, je ne t'avais pas répondu.

Nos discours sont tout simplement différents : tu insistes sur le fait qu'on lutte réellement contre le dopage, ce qui est vrai, et je mets en avant que le dopage est encore présent dans les milieux sportifs, ce qui est également vrai.

Les policiers courent après les bandits depuis la nuit des temps. Qui oserait affirmer que le mal est définitivement éradiqué ?

Il semblerait cependant que l'exigence de probité des spectateurs envers les sportifs soit supérieure à celle des citoyens vis-à-vis de leurs semblables. Cette différence d'approche mériterait qu'on s'y intéresse.

 

 

 

 

 

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Tu n'as absolument rien compris à mon propos, je suis presque tenté de dire que je n'en suis pas étonné. Cependant l'envie de ne pas perdre mon temps l'emporte sur celle de tenter de te faire comprendre mon intervention, pensant que le temps, infini en soi, n'y suffirait sans doute pas, même si tu sembles en disposer à ne plus savoir qu'en faire. La seule chose que je tente est de te dire: relis-moi, pense et réfléchis, prends ton temps le sujet est vaste et difficile, relis-toi et tente une autre réponse plus cohérente, je serais alors ravi de dialoguer avec toi, mais pas avant, à quoi bon?
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Je comprends ta réaction Grégory, ma réponse trop hâtive était en premier lieu adressée à B.V.

Pour aborder le fond de la question du respect des libertés individuelles, ce ne sera jamais simple parce que nous vivons en société, c'est-à-dire toujours en interaction avec les autres. Mais elle touche aussi à l'autorité et à ses limites.

Les policiers ne peuvent perquisitionner de leur propre chef au domicile d'un suspect et l'installation de caméras de surveillance sur un lieu de travail ou dans un magasin doivent respecter des règles précises.

En fait, personne ne peut entièrement se soustraire à des contrôles, il n'existe aucune barrière étanche entre l'individu et son environnement. Mais cette barrière n'est jamais entièrement perméable non plus. Où se situe l'équilibre ?

Je reconnais que les obligations auxquelles doivent se soumettre les coureurs vont particulièrement loin. Pourquoi ce "traitement de faveur" ? Le dopage est-il un crime si crapuleux ? Pourquoi tant de passion dans les débats à propos de cas de dopage avérés ou supposés ? Je pose également la question dans ma réponse à Jean Guy.

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Si tu imagines que je n'ai pas compris ... et si tu me prends pour un imbécile ... c'est ton droit.

J'ai compris ton charabia sans trop de difficultés ayant l'habitude de décrypter ce que disent les petits esprits.

Mettre de la politique, du "système", de la paranoïa vis à vis de l’entièreté de la population mondiale qui serait soumise à je ne sais quelle dictature ... c'est du domaine de la folie ... douce a fortiori quand on parle d'un abus de pouvoir en matière de contrôles anti dopage.

Tu devrais voyager, y compris en pays pauvres. Tu constaterais que, globalement, la pauvreté diminue dans le monde. Mais c'est pas le sujet ici.

Marx, Trotski, Lénine, Staline, Mao et même ... Castro sont morts.

Le pseudo intellectualisme ... ça va bien.

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