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Les vélos Aéro et les autres...


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Samedi lors d'une sortie en groupe (petit groupe de 6), nous avons emprunté un tronçon (5 km), très légèrement descendant (-1%) avec un léger vent favorable. Le revêtement y est parfait et donc on a un peu poussé pour rouler vite : in fine, un peu plus de 50km/h de moyenne.

Le groupe a petit à petit éclaté tout au long des 5km, et nous avons fini à deux en nous relayant, pas forcément les plus costauds, mais les deux équipés avec des vélos "modernes" (SL7 + Roval Alpinist pour le copain, BH Aerolight + Zipp404 pour moi) et avec le sentiment et l'un et l'autre d'en avoir gardé sous la pédale.

Les autres copains ont des vélos haut de gamme qui datent d'il y a une dizaine d'année (Trek Madone, Lapierre Xelius, Cannondale SuperSix, Scott Addict). Ils n'ont même pas essayé de prendre des relais et ont sauté des roues sans que nous accélérions, dans les parties les plus descendantes (- 2%) au nous étions un peu au-dessus des 60km/h et que pour ma part je devais  un peu freiner pour ne pas sauter le relayeur.

Par ailleurs, j'ai un peu remonté mes données Strava sur les 6 derniers mois et je m'aperçois que je fais mes meilleures moyennes (sur des circuits similaire) systématiquement avec le BH (mes autres vélos : Time ADH 2023, Pinarello F5 sont plus "polyvalents").

Enfin, en discutant avec l'associé de mon vélociste qui était pro (sur Lapierre Xelius) jusqu'à la fin de l'an passé, il m'a plusieurs fois dit que il lui était arrivé en échappée d'être dans les roues de cyclistes avec certains vélos (il a cité le SL8 et le Trek Madone notamment) : dans les roues il était à l'agonie, et devant il avait l'impression qu'ils fumaient la pipe...

Ca parait irrationnel, tant la surface de prise au vent du cycliste est démesurée par rapport à celle du cadre...

Mais est ce que dans vos groupes vous avez déjà ressenti ça ?

Je tiens à préciser que quand nous sommes redescendu à des vitesses "normales" autour des 25-30km/h sur des faux plats montants, les copains plus costauds avec leurs vélos "anciens" nous ont mis la misère...

 

 

 

Modifié par Pierre PLANA
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il y a 43 minutes, Pierre PLANA a dit :

j'ai un peu remonté mes données Strava sur les 6 derniers mois et je m'aperçois que je fais mes meilleures moyennes (sur des circuits similaire) systématiquement avec le BH (mes autres vélos : Time ADH 2023, Pinarello F5 sont plus "polyvalents").

 

Enfin, en discutant avec l'associé de mon vélociste qui était pro (sur Lapierre Xelius) jusqu'à la fin de l'an passé, il m'a plusieurs fois dit que il lui était arrivé en échappée d'être dans les roues de cyclistes avec certains vélos (il a cité le SL8 et le Trek Madone notamment) : dans les roues il était à l'agonie, et devant il avait l'impression qu'ils fumaient la pipe...

 

Pierre, je comprends que le BH permettent de réaliser de meilleures moyennes sur les parcours roulants en raison de son aérodynamique plus favorable mais pourquoi l'associé de ton vélociste est-il en difficulté dans les roues alors qu'il fume la pipe devant ?

 

Dommage que ton témoignage ne renseigne pas les données de puissance et de fréquence cardiaque pour s'assurer qu'on compare bien des pommes avec des pommes.

Modifié par Thierry GEUMEZ
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Posté (modifié)
Il y a 2 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

Pierre, je comprends que le BH permettent de réaliser de meilleures moyennes sur les parcours roulants en raison de son aérodynamique plus favorable mais pourquoi l'associé de ton vélociste est-il en difficulté dans les roues alors qu'il fume la pipe devant ?

 

Dommage que ton témoignage ne renseigne pas les données de puissance et de fréquence cardiaque pour s'assurer qu'on compare bien des pommes avec des pommes.

Je vais reformuler : l'impression que j'ai c'est que quand on roule effectivement très vite (50km/h pour moi c'est super vite), au-delà des discours marketing (qui nous influencent certes), il y a vélo et vélo.

Ca a été mon impression samedi lorsque j'ai vu les collègues qui n'arrivaient pas à suivre dans les roues et la référence à mon vélociste c'est parce que quand il était pro l'an passé, il n'avait pas l'impression de se battre à armes égales avec certaines machines du peloton (et donc lui aussi a la même impression que moi).

Malheureusement, je n'ai pas de capteur de puissance (juste l'estimation de Strava) qui en l'occurrence ne veut pas dire grand-chose puisque :

- on avait un peu de vent dans le dos

- on s'est relayé à deux

- Strava ne tiens pas compte de l'effet du vélo

Sur le tronçon de samedi, Strava dit 393W : tu vois bien que ça déconne 🙂

 

Sinon, sur les autres sorties, sur les sorties strictement identiques, effectivement je note un écart mais statistiquement ce n'est  pas si c'est significatif puisque ça porte sur 5 sorties strictement identiques (2 fois avec le BH/Zipp404 - autour des 31km/h, 1 fois avec le TIME/Hyperon - 30km/h- 2 fois avec le SCOTT/WTO33 autour des 29km/h).

Les fréquences cardiaques moyennes sont plus faibles avec le BH (une fois de 5 pulsations, une fois de 8 pulsations) par rapport à la sortie avec le TIME.

Le reste du temps la tendance est similaire mais je fais des variantes...

 

Modifié par Pierre PLANA
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Il y a 1 heure, Pierre PLANA a dit :

Je vais reformuler : l'impression que j'ai c'est que quand on roule effectivement très vite (50km/h pour moi c'est super vite), au-delà des discours marketing (qui nous influencent certes), il y a vélo et vélo.

Ca a été mon impression samedi lorsque j'ai vu les collègues qui n'arrivaient pas à suivre dans les roues et la référence à mon vélociste c'est parce que quand il était pro l'an passé, il n'avait pas l'impression de se battre à armes égales avec certaines machines du peloton (et donc lui aussi a la même impression que moi).

Malheureusement, je n'ai pas de capteur de puissance (juste l'estimation de Strava) qui en l'occurrence ne veut pas dire grand-chose puisque :

- on avait un peu de vent dans le dos

- on s'est relayé à deux

- Strava ne tiens pas compte de l'effet du vélo

Sur le tronçon de samedi, Strava dit 393W : tu vois bien que ça déconne 🙂

 

Sinon, sur les autres sorties, sur les sorties strictement identiques, effectivement je note un écart mais statistiquement ce n'est  pas si c'est significatif puisque ça porte sur 5 sorties strictement identiques (2 fois avec le BH/Zipp404 - autour des 31km/h, 1 fois avec le TIME/Hyperon - 30km/h- 2 fois avec le SCOTT/WTO33 autour des 29km/h).

Les fréquences cardiaques moyennes sont plus faibles avec le BH (une fois de 5 pulsations, une fois de 8 pulsations) par rapport à la sortie avec le TIME.

Le reste du temps la tendance est similaire mais je fais des variantes...

 

Sous réserve que je ne roule pas régulièrement à 50 km/h :classic_rolleyes:, les gains aérodynamiques m'intéressent malgré tout... pour compenser l'hémorragie de watts due à l'âge. On avait discuté des prolongateurs il y a peu. Ce sont les vélos aéros cette fois. Ça me travaille... :classic_biggrin:

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Pierre, je n'y connais pas grand chose, mais je lis assez souvent tes interventions. Il me revient que tu parles assez souvent des progrès réalisés par les fabricants ; notamment dans la conception des cadres carbone qui seraient devenus plus confortables.

En comparant l'effet positif sur la vitesse apporté par les vélos "aero" récents par rapport à des vélos vieux de dix ans, est-ce que le progrès en confort ne joue pas autant que ceux apportés par une meilleure pénétration dans l'air ? Et est-ce que la position du cycliste est restée la même ?

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il y a 36 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Sous réserve que je ne roule pas régulièrement à 50 km/h :classic_rolleyes:, les gains aérodynamiques m'intéressent malgré tout... pour compenser l'hémorragie de watts due à l'âge. On avait discuté des prolongateurs il y a peu. Ce sont les vélos aéros cette fois. Ça me travaille... :classic_biggrin:

Résigne toi une fois pour toutes, Thierry. Tu verras, après ta vie est tellement plus simple (-:

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Il y a 5 heures, Pierre PLANA a dit :

Samedi lors d'une sortie en groupe (petit groupe de 6), nous avons emprunté un tronçon (5 km), très légèrement descendant (-1%) avec un léger vent favorable. Le revêtement y est parfait et donc on a un peu poussé pour rouler vite : in fine, un peu plus de 50km/h de moyenne.

Le groupe a petit à petit éclaté tout au long des 5km, et nous avons fini à deux en nous relayant, pas forcément les plus costauds, mais les deux équipés avec des vélos "modernes" (SL7 + Roval Alpinist pour le copain, BH Aerolight + Zipp404 pour moi) et avec le sentiment et l'un et l'autre d'en avoir gardé sous la pédale.

Les autres copains ont des vélos haut de gamme qui datent d'il y a une dizaine d'année (Trek Madone, Lapierre Xelius, Cannondale SuperSix, Scott Addict). Ils n'ont même pas essayé de prendre des relais et ont sauté des roues sans que nous accélérions, dans les parties les plus descendantes (- 2%) au nous étions un peu au-dessus des 60km/h et que pour ma part je devais  un peu freiner pour ne pas sauter le relayeur.

Par ailleurs, j'ai un peu remonté mes données Strava sur les 6 derniers mois et je m'aperçois que je fais mes meilleures moyennes (sur des circuits similaire) systématiquement avec le BH (mes autres vélos : Time ADH 2023, Pinarello F5 sont plus "polyvalents").

Enfin, en discutant avec l'associé de mon vélociste qui était pro (sur Lapierre Xelius) jusqu'à la fin de l'an passé, il m'a plusieurs fois dit que il lui était arrivé en échappée d'être dans les roues de cyclistes avec certains vélos (il a cité le SL8 et le Trek Madone notamment) : dans les roues il était à l'agonie, et devant il avait l'impression qu'ils fumaient la pipe...

Ca parait irrationnel, tant la surface de prise au vent du cycliste est démesurée par rapport à celle du cadre...

Mais est ce que dans vos groupes vous avez déjà ressenti ça ?

Je tiens à préciser que quand nous sommes redescendu à des vitesses "normales" autour des 25-30km/h sur des faux plats montants, les copains plus costauds avec leurs vélos "anciens" nous ont mis la misère...

 

 

 

De quel Madone parle t’on ? Car c’est en 2015, il y a donc bientôt 9 ans, que le Madone est devenu aéro. Et pour avoir eu un modèle de 2016 (qui s’appelait Madone 9) il est indiscutable qu’avec lui sur les parcours plats j’allais bien 1 ou 2 km/h plus vite qu’avec mon autre vélo, un Émonda.

Si le ou les Madone de ton/tes camarades est/sont le(s)même (s) que celui que j’ai eu (et revendu en 2020), ton opposition vélo aéro vs vélo ancien ne marche pas car le Madone 9 était déjà un vélo très avancé en termes d’aérodynamique.

Modifié par Olivier MILLIÈS-LACROIX
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J'apporte ma petite pierre à l'édifice, tirée de mes modestes constats. 

Aujourd'hui, je roule avec un gravel que je transforme selon l'activité que je vais faire (disons que je vais du gros gravel jusqu'au vélo endurance). Clairement, sur des sortie lente/ballade, je ne constate aucune différence entre mon vélo avec les roues gravel (en l'occurrence des prymahl carbone avec pneu gravel assez roulant en 35 ou 40 de large) et ma configuration route (roues zipp 303 firecrest avec pneus vittoria control/conti AS en 28 ou 30 mm). Sur des parcours que je fais régulièrement, strictement identiques, je n'arrive vraiment pas mettre en évidence une économie de watt avec les roues de route (pourtant plus légères, plus aero, et avec des pneus plus performants). J'ai beau analyser tout ce que je peux, tourner les data dans tous les sens, aucune différence. J'ai d'ailleurs été un peu déçu d'avoir investi dans une configuration route.

En revanche, au dessus de 30 km/h, la différence commence à se faire sentir, avec le groupe de cycliste avec qui je roule habituellement, sur des sorties assez rapides, j'ai constaté entre 15 et 20 watts d'écart (après les data sont statistiquement moins exploitables, je n'ai fait qu'une sortie avec le groupe avec mon vélo en mode gravel). Mais disons que 20 watts dans une sortie à 162 watts de puissance moyenne, on est pas dans l'épaisseur du trait non plus.

Enfin, dernier constat sur l'aéro, sur un BRM 200 que j'ai parcouru l'été dernier, dans une ligne droite interminable où je roulais seul, je me suis "amusé" à comparer, à 27 km/h (pas de vent ce jour là) l'écart de watts entre position normale mains en bas du cintre (mais position assez relevée forcément sur un gravel, et cintre large) et en position sur prolongateur. Le gain était assez conséquent, environ 15 watts (140w VS 160W en l'occurrence). Soit environ 10% de puissance économisée, sur du très long, ce n'est pas négligeable.

J'attends mon supersix evo hmod 2, je pourrai peut-être apporter des constats sur l'aéro du vélo lui-même

 

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il y a une heure, Olivier MILLIÈS-LACROIX a dit :

De quel Madone parle t’on ? Car c’est en 2015, il y a donc bientôt 9 ans, que le Madone est devenu aéro. Et pour avoir eu un modèle de 2016 (qui s’appelait Madone 9) il est indiscutable qu’avec lui sur les parcours plats j’allais bien 1 ou 2 km/h plus vite qu’avec mon autre vélo, un Émonda.

Si le ou les Madone de ton/tes camarades est/sont le(s)même (s) que celui que j’ai eu (et revendu en 2020), ton opposition vélo aéro vs vélo ancien ne marche pas car le Madone 9 était déjà un vélo très avancé en termes d’aérodynamique.

Il doit être un peu plus ancien parce que pas aéro.

 

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Il y a 1 heure, Nicolas JOARY a dit :

Pierre, je n'y connais pas grand chose, mais je lis assez souvent tes interventions. Il me revient que tu parles assez souvent des progrès réalisés par les fabricants ; notamment dans la conception des cadres carbone qui seraient devenus plus confortables.

En comparant l'effet positif sur la vitesse apporté par les vélos "aero" récents par rapport à des vélos vieux de dix ans, est-ce que le progrès en confort ne joue pas autant que ceux apportés par une meilleure pénétration dans l'air ? Et est-ce que la position du cycliste est restée la même ?

Je pense que c’est un peu un tout… pour moi la position a un peu changé sur les dernières années. J’ai raccourci de 1cm et je suis passé sur des cintres compacts… je suis encore assez souple mais un peu moins souple qu’avant 

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Il y a 8 heures, Pierre PLANA a dit :

Samedi lors d'une sortie en groupe (petit groupe de 6), nous avons emprunté un tronçon (5 km), très légèrement descendant (-1%) avec un léger vent favorable. Le revêtement y est parfait et donc on a un peu poussé pour rouler vite : in fine, un peu plus de 50km/h de moyenne.

Le groupe a petit à petit éclaté tout au long des 5km, et nous avons fini à deux en nous relayant, pas forcément les plus costauds, mais les deux équipés avec des vélos "modernes" (SL7 + Roval Alpinist pour le copain, BH Aerolight + Zipp404 pour moi) et avec le sentiment et l'un et l'autre d'en avoir gardé sous la pédale.

Les autres copains ont des vélos haut de gamme qui datent d'il y a une dizaine d'année (Trek Madone, Lapierre Xelius, Cannondale SuperSix, Scott Addict). Ils n'ont même pas essayé de prendre des relais et ont sauté des roues sans que nous accélérions, dans les parties les plus descendantes (- 2%) au nous étions un peu au-dessus des 60km/h et que pour ma part je devais  un peu freiner pour ne pas sauter le relayeur.

Par ailleurs, j'ai un peu remonté mes données Strava sur les 6 derniers mois et je m'aperçois que je fais mes meilleures moyennes (sur des circuits similaire) systématiquement avec le BH (mes autres vélos : Time ADH 2023, Pinarello F5 sont plus "polyvalents").

Enfin, en discutant avec l'associé de mon vélociste qui était pro (sur Lapierre Xelius) jusqu'à la fin de l'an passé, il m'a plusieurs fois dit que il lui était arrivé en échappée d'être dans les roues de cyclistes avec certains vélos (il a cité le SL8 et le Trek Madone notamment) : dans les roues il était à l'agonie, et devant il avait l'impression qu'ils fumaient la pipe...

Ca parait irrationnel, tant la surface de prise au vent du cycliste est démesurée par rapport à celle du cadre...

Mais est ce que dans vos groupes vous avez déjà ressenti ça ?

Je tiens à préciser que quand nous sommes redescendu à des vitesses "normales" autour des 25-30km/h sur des faux plats montants, les copains plus costauds avec leurs vélos "anciens" nous ont mis la misère...

 

 

 

Il est incontestable que les gains aeros ont progressé avec les derniers cadres et roues mais comme tu le mentionne il faut rouler a très haute vitesse pour exploiter un max l'aéro. ...

Je vois beaucoup de super velos aéro récent sur la route mais une infime partie est capable d'envoyer les watts que ses vélos demandent   ....

Le confort est peu être + important comme le signale Nicolas car si on est pas bien sur un vélo même super performant on perd de l'énergie ....

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Il y a 9 heures, Sylvain KARLE a dit :

Il est incontestable que les gains aeros ont progressé avec les derniers cadres et roues mais comme tu le mentionne il faut rouler a très haute vitesse pour exploiter un max l'aéro. ...

Je vois beaucoup de super velos aéro récent sur la route mais une infime partie est capable d'envoyer les watts que ses vélos demandent   ....

Le confort est peu être + important comme le signale Nicolas car si on est pas bien sur un vélo même super performant on perd de l'énergie ....

Sur les divers vélos que j'ai essayés, tous les vélos Aéro ou Aéro-polyvalents ne sont pas complètement des barres :

- Le V4RS et le Scott Foil sont clairement très performants et très exigeants.

- Le SLR01 ne fait pas très "aéro" mais très efficace pour rouler vite et très réactif en montée. Bémol : le confort en retrait.

- Le SL7 ne m'a pas plu... je ne sais pas vraiment pourquoi... rien de rédhibitoire, mais pas de sensations dessus. Proche du Scott mais avec moins de peps..

- Le BH est pour moi un super vélo. Il roule vraiment très fort et dispose d'un arrière vraiment élastique qui le rend assez tolérant même lorsqu'on roule lentement. Je l'ai déjà essayé avec des roues moins typées que les Zipp404 et il n'y a aucun problème pour affronter avec de fortes pentes. Ce n'est pas tout à fait aussi réactif que le Time ou le BMC mais raisonnable.

- Le Pinarello F5 : je ne l'ai pas encore complètement appréhendé...

 

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Vu ton gabarit, n'as-tu pas une certaine "obligation" à avoir un type de vélo particulier? Je dis ça parce que je vois parfois des cyclistes très puissants qui semblent torturer leur vélo, on se rend compte qu'il n'y a pas adéquation et que le matos souffre beaucoup.

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