
Classement 1ère étape :
1. Annalisa Cucinotta (ITA, Ale Cipollini) les 98,5 km en 2h28’36 » (39,8 km/h)
2. Giorgia Bronzini (ITA, Wiggle Honda) m.t.
3. Marta Tagliaferro (ITA, Ale Cipollini) m.t.
4. Lucinda Brand (PBS, Rabo Liv Women Cycling Team) m.t.
5. Shelley Olds-Evans (USA, Bigla) m.t.
6. Trixi Worrack (ALL, Velocio-SRAM) m.t.
7. Arianna Fidanza (ITA, Ale Cipollini) m.t.
8. Jolien D’Hoore (BEL, Wiggle Honda) m.t.
9. Kelly Druyts (BEL, Topsport Vlaanderen-Pro-Duo) m.t.
10. Tiffany Cromwell (AUS, Velocio-SRAM) m.t.
Classement général :
1. Annalisa Cucinotta (ITA, Ale Cipollini) en 2h28’26 »
2. Giorgia Bronzini (ITA, Wiggle Honda) à 4 sec.
3. Shelley Olds-Evans (USA, Bigla Pro Cycling Team) à 5 sec.
4. Marta Tagliaferro (ITA, Ale Cipollini) à 6 sec.
5. Elisabeth Armitstead (GBR, Boels Dolmans) à 8 sec.
6. Chloe Hosking (AUS, Wiggle Honda) m.t.
7. Lucinda Brand (PBS, Rabo Liv Women Cycling Team) à 10 sec.
8. Trixi Worrack (ALL, Velocio-SRAM) m.t.
9. Arianna Fidanza (ITA, Ale Cipollini) m.t.
10. Jolien D’Hoore (BEL, Wiggle Honda) m.t.

Le parcours du Tour du Pays Basque 2015 :
• 1ère étape (lundi 6 avril) : Bilbao-Bilbao (167 km)
• 2ème étape (mardi 7 avril) : Bilbao-Vitoria (175,4 km)
• 3ème étape (mercredi 8 avril) : Vitoria-Zumarraga (170,7 km)
• 4ème étape (jeudi 9 avril) : Zumarraga-Arrate (162 km)
• 5ème étape (vendredi 10 avril) : Eibar-Aia (155 km)
• 6ème étape (samedi 11 avril) : Aia-Aia (18,3 km CLM)

CPA. L’Association Internationale des Coureurs accueille une nouvelle association, l’ANAPRC, en fait Association des Coureurs Professionnels Nord-Américains. L’ANAPRC n’est pas un véritable syndicat de coureurs mais une association à travers laquelle les coureurs nord-américains s’engagent, au côté du CPA, à défendre leurs intérêts dans le but d’améliorer les conditions de travail des sportifs sur des questions comme la sécurité, la future réforme de l’UCI, les conditions salariales et couvertures sociales. L’ANAPRC est le huitième membre du CPA, la première association supranationale et le premier membre non-européen. Les autres membres du CPA, qui ont ensemble fondé cette association en 2000, sont les associations de coureurs nationales basées en Italie, France, Espagne, Belgique, Suisse, Portugal et Pays-Bas.
3 questions à… Julien Duval (Armée de Terre)
Julien, on retiendra que vous étiez l’un des premiers attaquants de la saison sur le sol français en 2015 au Grand Prix La Marseillaise…
L’échappée est sortie assez tôt. Ça a bagarré pendant 20 kilomètres pour que l’on sorte. J’ai eu du mal à manger pendant la course car il ne faisait pas chaud. J’ai fait une fringale à 100 bornes de l’arrivée avant de me faire reprendre. Dans la Gineste, j’ai essayé de replacer l’équipe. Je connais bien le circuit. Je savais quand ça allait être la guerre. Puis je me suis écarté et j’ai fini tranquille. On savait qu’on pouvait aller loin, mais que l’on ne pourrait pas aller au bout. On a monté l’Espigoulier à un bon tempo pour pouvoir basculer sans être entamé. On avait pas mal d’avance et ça a un peu dégringolé dans la descente.
Être présent dans l’échappée, était-ce la tactique fixée par l’équipe ?
L’équipe voulait être représentée devant, on l’a fait. Je savais que ça allait finir en sprint massif. Je n’y croyais pas trop devant, même si on est montés à pratiquement neuf minutes d’avance. Je savais que les 40 derniers kilomètres étaient en faux-plat montant et vent de face. A cinq, je savais que c’était râpé. Surtout que toutes les grosses équipes étaient encore derrière. Je savais que la FDJ allait dynamiter, mais aussi Lotto-Soudal et Ag2r La Mondiale. On voulait donc montrer les couleurs. On arrivera à Bessèges avec d’autres perspectives. Les trois quarts des étapes vont arriver au sprint. Le but ne sera pas de mettre quelqu’un devant. Là on jouera la carte des sprinteurs.
Quelle expérience en retire l’équipe pour sa première chez les professionnels ?
On découvre le milieu pro. Je pense que les gars ont été pas mal surpris par l’approche de la Gineste où le placement a joué. Ils étaient un peu loin et ça leur a coûté dans le final. Le peloton était assez nerveux. Je m’attendais à une course de mouvement. Mais avec le vent de face dans la Gineste, les attaques ont été un peu avortées.
Propos recueillis à Marseille le 1er février 2015.
