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Bravo Warren, tout simplement ..


Christian SOREL
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tu sais il y quelques années il y avait une émission de télé-réalité qui s'appelait "la star -ac" il y avait des jeunes gents qui chantaient et dansaient et qui étaient évalué par des professionnels du milieux (chants et danse) les deux plus mauvaises note étaient ensuite soumise au vote du public qui devait en sauver un😉 il y avait un mec qui chantait comme une casserole et qui dansait comme une enclume du nom de Jean Pascal ce dernier a été nominé toutes les semaines par les pro du milieux et bien  le public la sauvé a chaque fois (jusqu'à la demi finale) 😲

comme quoi le public peut voter aussi pour un bourricot

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A la différence que De Gendt n'est pas un bourricot: 1047 km à l'attaque dans ce Tour et ce depuis la première semaine. Un bourricot ne gagnera jamais au Stelvio et au Ventoux et ne terminera pas 3ème du Giro 2012.

Composition du jury:

- Thierry Gouvenou (Français)

- Laurent Jalabert (Français)

- Marion Rousse (Française)

- Jean Montois (Français, journaliste AFP)

- Alexandre Roos (Français, journaliste, l'Equipe)

- Greg Lemond (USA)

Matthews: 1 voix, De Gendt: 1 voix, Barguil (4 voix)

Rodrigo Beenkens, le commentateur de TV Belge a fait partie de ce jury il y a quelques années. Il est parti dégoûté. Il ne supportait plus qu'on lui impose son vote.

Dans les concours de patinage sur glace, le jury est composé de membres de nationalité différente (un par nationalité) et chaque membre n'a pas le droit de vote quand le patineur a la même nationalité que lui. Ici c'est un jury franco-français, loin d'être objectif.

Il n'est pas difficile de deviner les votes:

Gouvenou, Jalabert, Montois et Roos pour Barguil

Rousse pour De Gendt (son mari court dans la même éqipe) et puis il fallait bien donner une voix à De Gendt. Il ne faut tout de même pas tomber dans le ridicule absolu.

Lemond: pour Matthews.

Une fameuse magouille décidée à l'avance. C'est même carrément scandaleux.

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Dans la discussion sur la Vuelta .... 2013, le 13 août exactement j'avais déjà dit de le surveiller car c'est un tout bon, pour l'avoir connu en amateur. Et je trouve qu'on (les commentateurs, les médias...) sont très sévères avec lui (à part ce début de Wawamania débile qui rappelle la triste période Virenque).

Pour moi il est un des meilleurs du Tour de cette année, bon de sortie ou pas. Déjà il n'avait pas d'équipe pour l'aider, c'est même le contriare, plusieurs fois il s'est mis au service de Matthews ou d'autres à chercher les bidons, etc. Ensuite, prenons l'exemple de l'izoard, il est parti, Bardet (celui-là est bien surcoté) a allumé un pétard mouillé et Froome l'a bien repris (fallait bien qu'ils commencent à bosser, ils ont été amenés sur un plateua par leur équipe jusque là), et ce soi-disant combat de titans ne les a même pas permis de rejoindre Barguil devant. Warren a dépensé une grosse quantité d'énergie tous les jours, il était devant et ne s'est pas économisé.

Il s'était fracturé au tour de Romandie, ne devait faire qu'une journée ou deux au Dauphiné et pour le Tour, il ne savait vraiment pas où il en était, donc on ne peut pas lui reprocher de ne pas avoir joué le général au départ. Ses victoires il ne les a pas volé, y'aurait pu en avoir une de plus, il ne s'est pas économisé. Sans équipe... vraiment chapeau. Cette année, il n'était pas loin d'être le plus fort, peut-être un concours de circonstances qui font que finalement il était plus frais que prévu au départ. A réfléchir.

Par contre, le Bardet, il m'énerve. Il a fait une accélération dans une côte pas très classique et une belle victoire quand-même. Sinon, moi j'ai rien vu. Son équipe se décarcasse pour lui et il n'est pas capable de conclure. A la rue au contre la montre (pour le coup, Barguil m'a surpris), je ne l'ai pas trouvé à la hauteur de tout ces éloges chauvins. En plus, sa morphologie me surprend, c'est vraiment un squelette, on n'annonce pas son vrai poids à mon avis (il serait plus lourd que Barguil pour une taille presque équivalente ?). Barguil, je l'ai vu courir avec ce gabarit longiligne, assez maigre mais pas anorexique comme l'autre, depuis ses 17 ans... En plus de la part de Bardet, pas un sourire, beaucoup de prétention et son directeur sportif tout aussi souriant  qui voudrait presque que le peloton français se mobilise pour son poulain. Ce manque de joie me rappelle les heures sombres où les vainqueurs ne pouvaient s'extasier connaissant les coulisses peu reluisantes....  Mais j'espère me tromper. En tous les cas, chez Bardet ça sent la préparation quasi sicientifique, la joie de pédaler au feeling n'a plus trop sa place là dedans.

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Pour l'instant... mais ça pourrait ne pas durer car il y a David Gaudu qui frappe à la porte et ça va être un tout grand celui-là aussi (malgré son petit gabarit...).

Bon... Barguil va a Fortuneo-Oscaro, je ne sais plus quels vélos ils utilisent (Look ?), que va devenir son Giantstore (tenu par son oncle à Hennebont), va-t'il rester représentant de la marque Giant ??? A part ça je ne sais pas si c'est un bon choix, on dirait qu'il n'a pas de grandes ambitions en proportion de son talent car dans une petite équipe comme ça il ne pourra pas espérer trop en montagne, il a aussi dû faire un sacrifice pécunier, le choix du coeur, pas carriériste.

 

 

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Bonjour Sébastien,

Le mot panache est utilisé un peu à toutes les sauces...

Je te rejoins dans ton analyse, sauf qu'il faut quand même prendre en considération qu'il revient de blessures, qu'il ne savait pas où il en était. Donc je pense et j'espère que ses ambitions seront pour les années à venir, bien que le choix de sa nouvelle équipe ne le montre pas vraiment. Mais que sait on aujourd'hui des ambitions de Fortuneo ?

Oui, cette année le maillot à pois est peut être un lot de consolation, et d'autres l'auraient bien voulu aussi. C'est lui qui l'a obtenu et de belle manière. Sur les pentes de l'Izoard il a pris le risque (il devait le faire ! ) qu'il soit suivi par l'un des prétendants et que son attaque soit avortée. Il était ce jour le plus fort, sans conteste.

Il devait se rassurer et pour ça se faire plaisir. Grapiller des places au général ne lui servait à rien, alors que viser des victoires et le maillot à pois lui permettait de faire une pierre deux coups...

Selon moi il a réussi. Maintenant il faut attendre l'année prochaine. Lui seul a les clés. Tout est bon à prendre. Je préfère un maillot, des victoires d'étapes, qu'une place de 2 au général.

Bardet, c'est bien ce que je disais, il était obligé de prendre des risques dans les étapes de montagne, tout en sachant qu'il manquerait de jus pour le dernier CLM. Il a eu chaud aux fesses pour le podium. Sa gagne d'étape est significative qu'il est costaud.

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"Je préfère un maillot, des victoires d'étapes, qu'une place de 2 au général."

Heureusement que tous les coureurs ne partent pas avec ce principe-là, on aurait un Tour encore dix fois plus chiant, et c'est difficile à imaginer tant on se fait déjà chier (à part dans le dernier kilomètre). 😉

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Pécunier :

Etymologie :

Réfection populaire de pécuniaire répandue et perçue comme le masculin de l’adjectif pécuniaire, sur le modèle de financier, financière alors qu’il pourrait emprunter le chemin de monétaire, sans subir de transformation au masculin. Son emploi procède de la francisation naturelle des adjectifs latins en iarius , au même titre que januarius donna janvier. Ainsi, d’aucuns voient en cet usage la preuve de l’évolution naturelle de la langue justifiant son éventuelle intégration aux dictionnaires normatifs

Adjectif :

pécunier masculin

  1. Variante de pécuniaire.
    • C’est vous [le corps législatif] qui êtes le grand pouvoir pécunier du pays. — (Alexis Segris, Le Moniteur universel, 8 juillet 1868, p. 999, 1e col. dans Littré)
    • Incinération des ordures ménagères aux points de vue pécunier et sanitaire. — (Nouvelles annales de la construction, p.14, C. Béranger, 1906)
    • Tels sont quelques éléments du coût pécunier de transfert qui ne manqueront pas d'impressionner l'ouvrier et d'affecter éventuellement sa volonté. — (François Cracco,Études britanniques d'économie industrielle : 1914-1934 , p.203, Desclée, de Brouwer & cie., 1935)
    • Ce matelas pécunier constitue le substrat matériel palpable sur lequel repose tout l'édifice du système de crédit bancaire, […]. — (Prosper Bokolomba-Mpela, Les Nouvelles initiatives de paix mondiale


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Le PSG a fini à 8 points d'une équipe ayant moins de la moitié de son budget, et ce n'est pas un cas isolé, quelque soit le sport. L'argent donne un solide avantage mais il ne veut pas dire charrette.

D'ailleurs, Froome a fameusement perdu de sa superbe cette année. Tous les multiples vainqueurs ont fini par être renversés un jour, souvent de manière surprenante.

Maintenant c'est sûr que si tout le monde la joue petite bite en bousillant son classement général pour avoir les coudées franches (bisous Warren 😃), il peut encore en gagner cinq.

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Oui, "pécunier" est un affreux barbarisme. Si "d'aucuns" (qui ?) voient dans son usage hélas trop répandu une preuve de l'évolution naturelle du langage justifiant une éventuelle intégration aux dictionnaires normatifs, c'est leur affaire, mais cela confirme surtout qu'à ce jour cette forme n'est pas conforme à l'orthographe, qui est la manière d'écrire les mots, et la seule correcte. Personnellement, je ne fais pas partie des "d'aucuns", j'aime bien la langue française et son orthographe.

 

 

http://www.langue-fr.net/Pecuniaire

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