Aller au contenu

Objectif 10.000 - 20


Michel DURY
 Share

Messages recommandés

Je n'en doute pas. Moi même, dès que j'attaque du 9% et plus, je ressens une nette différence mais disons que je m'en accommode bien plus facilement avec ma forme optimale.


Là, je sens bien que je suis encore limité. La météo annonce encore de la chaleur pour samedi, dimanche et lundi donc les montées de col vont continuer.


Troisième jour sans vélo. Rentré hier soir mais aujourd'hui, le ciel était capricieux. Ca s'est bien dégagé vers 16h mais je n'avais plus le courage de m'habiller et sortir.


J'espère reprendre demain et rouler non stop sur une longue période. J'ai juste des travaux a la maison jeudi et vendredi matin sans savoir le temps qu'ils ont besoin. Je croise les doigts...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Justement, la pente fournit un abri au vent, même incomplet. Pour preuve, même quand on a le vent défavorable dans une montée sévère, c'est au sommet ou à son approche qu'on se prend vraiment la totalité du vent en pleine figure… souvent on doit mettre plus petit alors que la pente diminue pourtant ! Moi ça me tue le moral à chaque fois.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai déjà grimpé de solides raidards avec vent défavorable, justement, dans les Alpes ou en Ardenne, et je sais bien que ce n'est pas de la rigolade…Ce que je dis, c'est que le pire du vent, on l'a au sommet du raidard, ou à son approche.  Sauf bien sûr passage à découvert lors d'une rupture de pente au cours de l'escalade.

C'est d'ailleurs une bonne façon de deviner que le sommet s'approche : lorsqu'on sent tout à coup le vent souffler… ou souffler encore plus fort s'il était déjà bien sensible !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En prendre plein la tronche d'accord, mais autant qu'au sommet ? Je veux bien te croire, mais je n'ai pas connu ça dans mes montagnes à moi. Sauf si le vent baissait en intensité globale au cours de la montée bien sûr. J'ai bien des souvenirs de galère de montées de cols avec vent défavorable (le Galibier face nord, par exemple), mais le pompon était toujours à l'espace découvert du sommet.

À moins d'avoir le bonheur d'entrer dans une forêt au moment d'arriver au sommet par exemple… pas le cas le plus fréquent ceci dit, bien que j'en connaisse.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hola, du calme ! Où ai-je dit que c'était moins impressionnant au cours de la montée qu'au sommet? J'ai dit qu'au cours de la montée ça soufflait moins fort (je me trompe peut-être mais je l'ai toujours ressenti ainsi), ce qui n'est pas la même chose.

Ce n'est certes pas une fois arrivé au sommet que le vélo va se cabrer sous l'effet du vent !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 Share





×
×
  • Créer...