Tony, quel bilan tirez-vous de cette journée ?
Au final, un peu de déception quand même. Je me suis battu, je n’ai rien lâché mais cela n’a pas suffit.

Depuis le début du Tour, on voit que c’est difficile d’aller au bout pour une échappée.
Oui, c’est ce que nous disions après la course. Au final il y a eu Mollema, Roglic qui a fait un numéro hier, Lilian Calmejane, il n’y en a eu que trois ou quatre qui ont pu aller au bout. C’est de plus en plus compliqué, il y a toujours une équipe qui roule. Aujourd’hui on m’a dit que c’est Ag2r qui a roulé derrière.

On vous a vu accélérer quand Romain Bardet, qui avait contré, vous a rattrapé, c’était un côté franco-français ?
Non je ne l’avais pas vu. Je relançais, je relançais.