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Liege Bastogne Liege 2022


Sebastienpsffff
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il y a 17 minutes, Sebastienpsffff a dit :

par 30X34 tu parles d'un petit plateau de 30 dents ou 34 dents? J'avais de mon côté prévu 34X27 mais finalement j'opte pour un 34X30...

J'ai un pédalier 46/30 depuis 3 ans pour réduire mes braquets (réduction de la force liée à l'âge) en conservant une cassette 11-25 la plupart du temps. J'ai des cassettes 11-29 et 11-32 pour les parcours comportant beaucoup de dénivelé.

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Il y a 1 heure, Thierry GEUMEZ a dit :

J'ai un pédalier 46/30 depuis 3 ans pour réduire mes braquets (réduction de la force liée à l'âge) en conservant une cassette 11-25 la plupart du temps. J'ai des cassettes 11-29 et 11-32 pour les parcours comportant beaucoup de dénivelé.

Tu disais vouloir monter un 30/34, donc tu dois avoir une cassette 11-34 ?

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Les parcours détaillés viennent d'être mis en ligne sur le site:

 

https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?mid=1M3HI2yhxLjO6kRZGj75GXgS0rY-Mtm5x&ll=50.44865779882863%2C5.749285000000013&z=11

 

Le 147 km est le parcours tracé en rouge, que je viens d'étudier. Si le tracé est exact, ces sournois d'organisateurs n'y mentionnent pas trois côtes conséquentes, qui s'y trouvent pourtant : le Hornay (mais c'est un oubli habituel), la côte de Saint-Jacques (juste après l'Ancienne Barrière) et surtout la côte de Wanne !

 

Si bien qu'on aura droit à la fameuse trilogie de Stavelot sur ce parcours intermédiaire: Wanne, Stockeu et Haute-Levée.

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il y a 27 minutes, Franck PASTOR a dit :

Tu disais vouloir monter un 30/34, donc tu dois avoir une cassette 11-34 ?

Erreur de frappe, c'est 30x32. 32 est le maximum en Campa 11 vitesses. Il faut passer en 12 V pour disposer de la cassette 11-34 et je la trouve fort mal étagée (gros trous entre les derniers pignons pour privilégier la progression des dentures intermédiaires), au point que je devrai reconsidérer ma fidélité à Campa dans le futur. Tout dépendra de la compatibilité des cassettes Shimano 12V sur la transmission Campa 12V.

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ll faut à l'évidence adapter la durée de l'épreuve à nos conditions physiques. Quand les pros se font 250 kms, il est a minima présomptueux et suicidaire de vouloir se faire la même distance. Mais l'enfer est pavé de bonnes intentions.

De mon coté je ne serais surement pas élogieux devant un cyclo lambda qui se taperait cette distance en 10 ou 12 heures de selle mini.Aller au bout de son physique (et carrément au delà) peut présenter un intérêt psychologique pour certains, mais physiquement c'est clairement un non sens.   

 

 

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il y a 12 minutes, Bruno GUILLEVIC a dit :

ll faut à l'évidence adapter la durée de l'épreuve à nos conditions physiques. Quand les pros se font 250 kms, il est a minima présomptueux et suicidaire de vouloir se faire la même distance. Mais l'enfer est pavé de bonnes intentions.

De mon coté je ne serais surement pas élogieux devant un cyclo lambda qui se taperait cette distance en 10 ou 12 heures de selle mini.Aller au bout de son physique (et carrément au delà) peut présenter un intérêt psychologique pour certains, mais physiquement c'est clairement un non sens.   

 

 

j'ai du mal à saisir ton message. Que veux tu vraiment dire sur le cyclo lambda qui se tapera la distance en 10/12h ?

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il y a 1 minute, Sebastienpsffff a dit :

j'ai du mal à saisir ton message. Que veux tu vraiment dire sur le cyclo lambda qui se tapera la distance en 10/12h ?

Pas difficile à comprendre: parcours inadapté à la condition physique.

Envie ou besoin intellectuel  de challenge peut être, mais le physique n'est pas au niveau. 

Chacun voit midi à sa porte

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il y a 7 minutes, Bruno GUILLEVIC a dit :

Pas difficile à comprendre: parcours inadapté à la condition physique.

Envie ou besoin intellectuel  de challenge peut être, mais le physique n'est pas au niveau. 

Chacun voit midi à sa porte

Pour moi, boucler le 250km en 10h de selle signifierait déjà une condition physique au niveau 🙂

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il y a 15 minutes, Sebastienpsffff a dit :

Pour moi, boucler le 250km en 10h de selle signifierait déjà une condition physique au niveau 🙂

Surtout si on considère le dénivelé ! Sur le plat, il est possible de rouler sans forcer. Dans une côte telle que Stockeu ou La Redoute tu es obligé de "taper dedans" sinon tu recules. On y laisse forcément des plumes...

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il y a 46 minutes, Bruno GUILLEVIC a dit :

ll faut à l'évidence adapter la durée de l'épreuve à nos conditions physiques. Quand les pros se font 250 kms, il est a minima présomptueux et suicidaire de vouloir se faire la même distance. Mais l'enfer est pavé de bonnes intentions.

De mon coté je ne serais surement pas élogieux devant un cyclo lambda qui se taperait cette distance en 10 ou 12 heures de selle mini.Aller au bout de son physique (et carrément au delà) peut présenter un intérêt psychologique pour certains, mais physiquement c'est clairement un non sens.   

 

 

Dans mes lointains souvenirs, un entraîneur indiquait que la plus longue sortie de la semaine ne devait si possible pas dépasser la moitié de la distance hebdomadaire totale. Pour une épreuve de 10 heures, ça signifie 20 heures par semaine, du moins pendant 2 semaines avant la semaine "d'affûtage". Cette charge de travail est difficilement supportable pour le commun des mortels ! Si on est habitué à 10 heures par semaine sur terrain seulement vallonné et entreprend malgré tout un périple de 10-12 heures sur un parcours très accidenté, ça ne me paraît effectivement pas très prudent. Il faut accepter ses limites. Il ne suffit pas de vouloir pour pouvoir.

Les cyclistes professionnels ont des capacités exceptionnelles. Plus près de nous, sur le forum, quelques uns se distinguent par leur excellente endurance/faculté de récupération : on les retrouve dans le fichier "objectif 10.000" de Michel... ou à la rubrique Paris-Brest-Paris !!!

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Il y a 4 heures, Bruno GUILLEVIC a dit :

ll faut à l'évidence adapter la durée de l'épreuve à nos conditions physiques. Quand les pros se font 250 kms, il est a minima présomptueux et suicidaire de vouloir se faire la même distance. Mais l'enfer est pavé de bonnes intentions.

De mon coté je ne serais surement pas élogieux devant un cyclo lambda qui se taperait cette distance en 10 ou 12 heures de selle mini.Aller au bout de son physique (et carrément au delà) peut présenter un intérêt psychologique pour certains, mais physiquement c'est clairement un non sens.   

 

 

Je ne risque pas de m'attirer tes éloges. 😎 J'ai terminé les 260 km du BRA (Brevet de Randonneur Alpin, de Grenoble à Grenoble en passant par le Galibier, le Mollard et la Croix-de-Fer) en 14 h 30 en 1997, et les 250 km de Tilff-Bastogne-Tilff (Liège-Bastogne-Liège en un peu moins vallonné) en 12 h 30 environ, deux fois (2017 et 2019).

 

Dans chaque cas, c'étaient des randonnées, pas des compétitions et je me mesurais à moi-même, au parcours et à la distance. Pas à d'autres cyclistes, d'ailleurs je n'y roule pas en groupe, et je laisse filer sans problème de conscience ceux qui me dépassent.

 

Affirmer que de faire de longues distances à son propre rythme est «présomptueux et suicidaire» me fait sourire. On voit que tu n'es pas familier de ce type d'effort.

 

Oui, certes, c'est exigeant, et d'ailleurs j'ai dû abandonner mon premier Tilff-Bastogne-Tilff en 2014, perclus de crampes au bout de 200 km. Mais je souffre au moins autant sur de bien plus courtes distances quand je m'y donne à fond, par exemple quand je grimpe un col alpin en voulant «faire un temps», que j'ai souffert sur le BRA ou mes deux éditions réussies de Tilff-Bastogne-Tilff.

 

L'effort à fournir pour les 250 km d'un TBT, d'un LBL ou d'un BRA est pour moi un pur effort d'endurance. Le même type d'effort que je fournirais lors d'une randonnée pédestre en montagne sur une durées similaire. Me connaissant, et l'expérience aidant, je sais ce que je dois faire pour tenir une douzaine d'heures d'affilée sur mon vélo sur un parcours en dents de scie comme celui-là. Comme je sais quel type de préparation je dois faire pour boucler une randonnée pédestre en montagne qui vous prend un jour entier. Cela requiert une préparation axée d'abord sur la distance, ou plutôt le temps passé sur le vélo, et que mes contraintes professionnelles ne me permettent pas de boucler pour la fin avril pour Liège-Bastogne-Liège Challenge,  mais plutôt fin mai - début juin, pour Tilff-Bastogne-Tilff.

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il y a 6 minutes, Franck PASTOR a dit :

L'effort à fournir pour les 250 km d'un TBT, d'un LBL ou d'un BRA est pour moi un pur effort d'endurance. Le même type d'effort que je fournirais lors d'une randonnée pédestre en montagne sur une durées similaire. Me connaissant, et l'expérience aidant, je sais ce que je dois faire pour tenir une douzaine d'heures d'affilée sur mon vélo sur un parcours en dents de scie comme celui-là. Comme je sais quel type de préparation je dois faire pour boucler une randonnée pédestre en montagne qui vous prend un jour entier. Cela requiert une préparation axée d'abord sur la distance, ou plutôt le temps passé sur le vélo, et que mes contraintes professionnelles ne me permettent pas de boucler pour la fin avril pour Liège-Bastogne-Liège Challenge,  mais plutôt fin mai - début juin, pour Tilff-Bastogne-Tilff.

Je sais par expérience que j'ai tendance à entreprendre les longs parcours à une vitesse à peine inférieure à celle que j'adopte pour de plus courts, peut-être par crainte de mettre trop de temps et de ne pas en voir le bout, et c'est forcément éprouvant vers la fin. 

 

Adoptes-tu spontanément une allure réduite pour un 250 km ? Pour comparaison avec LBL 2021 que nous avons fait ensemble, de combien abaisses-tu ta moyenne horaire ?

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il y a 1 minute, Thierry GEUMEZ a dit :

Je sais par expérience que j'ai tendance à entreprendre les longs parcours à une vitesse à peine inférieure à celle que j'adopte pour de plus courts, peut-être par crainte de mettre trop de temps et de ne pas en voir le bout, et c'est forcément éprouvant vers la fin. 

 

Adoptes-tu spontanément une allure réduite pour un 250 km ? Pour comparaison avec LBL 2021 que nous avons fait ensemble, de combien abaisses-tu ta moyenne horaire ?

Je ne sais pas vraiment. 2 ou 3 km/h, peut-être ? Mais ce sont mes jambes que j'écoute, pas le compteur que je regarde. Pour des distances supérieures à 200 km, je m'interdis absolument de sentir mes muscles «chauffer», même dans les pires bosses, sauf à toute fin si je m'en sens la capacité. Mes tout petits braquets aident à cette gestion de l'effort, bien sûr.

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il y a 23 minutes, Franck PASTOR a dit :

Je ne sais pas vraiment. 2 ou 3 km/h, peut-être ? Mais ce sont mes jambes que j'écoute, pas le compteur que je regarde. Pour des distances supérieures à 200 km, je m'interdis absolument de sentir mes muscles «chauffer», même dans les pires bosses, sauf à toute fin si je m'en sens la capacité. Mes tout petits braquets aident à cette gestion de l'effort, bien sûr.

Je pense même que la différence de "moyenne" est inférieur à 2km/h. Je fais comme toi lors de mes sorties longues et je suis souvent étonné du peu de différence de l'allure moyenne.

J'aime les longues sorties, que je fais souvent seul (spécial dédicace à Bruno).  Je trouve qu'elles sont moins éprouvantes que les sorties rythmé plus courtes.

Maintenant le facteur qui fait la difficulté pour moi c'est les températures. Un LBL sous une pluie glacial 🥶 je suis mort 🥴...

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il y a 47 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Je sais par expérience que j'ai tendance à entreprendre les longs parcours à une vitesse à peine inférieure à celle que j'adopte pour de plus courts, peut-être par crainte de mettre trop de temps et de ne pas en voir le bout, et c'est forcément éprouvant vers la fin. 

 

Adoptes-tu spontanément une allure réduite pour un 250 km ? Pour comparaison avec LBL 2021 que nous avons fait ensemble, de combien abaisses-tu ta moyenne horaire ?

Equipé comme tu es Thierry, tu as tout ce qu'il faut pour gérer ton effort😉

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il y a 2 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Il y a un gros souci, Gérôme : plus je gère, moins j'avance 😭

 

C'est moche de vieillir (je sais, je me répète) 😉

Tu éxagères, j'en connais pas beaucoup qui ont ton âge et ta condition. Le problème c'est qu'on a tendance à se comparer aux meilleurs.

Participe à une cyclo genre étape du tour et tu verras ou tu te situes.

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lorsque  javais effectuée mon LBL  le dénivelé faisait 4150 m  et 273 km  je crois même que je m 'étais trompé a un moment de fléchage et au total j avais 283 km  je l avais fait en 10h 30   et pas eu l impression de trainer en route , bien sûr comparé au pro il n y  a pas photo

 

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il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit :

Il y a un gros souci, Gérôme : plus je gère, moins j'avance 😭

 

C'est moche de vieillir (je sais, je me répète) 😉

faut pas croire ce que te dicte des pensées limitantes , passe un cap et tu verras que c 'est possible  quand je suis devenu champion de france  ( amateur )de pav  , ça m 'a libéré et un peu coincée les autres  lors de  compet suivantes , j ai eu un peu de mal a géré ensuite la pression que  tous me surveillait , vas y Thierry ça fait du bien  

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