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Disque 140 ou 160


Pierre PLANA
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Il y a 1 heure, Wilier94 a dit :

C'est pour les mêmes raisons que le pneu arrière s use plus rapidement que le pneu avant 

Non, le pneu arrière s’use plus parce que c’est la roue arrière qui assure la propulsion du vélo. Le freinage entre peu en compte dans l’usure des pneus sauf grosse glissade (et la tu as un plat)

Modifié par Pierre PLANA
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il y a une heure, Wilier94 a dit :

C'est pour les mêmes raisons que le pneu arrière s use plus rapidement que le pneu avant 

Hélas non, le poids n'a pas grand chose à voir, c'est surtout le fait que la force motrice s'exerce sur le pneu arrière qui va l'user plus que l'avant. 

(oups désolé, répondu en même temps que Pierre)

Modifié par Michel DURY
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Comme précisé par Michel (Dury ) un peu plus haut , j'initie le freinage avec le frein AR puis bien sûr l' AV  si nécessaire . Dans les descentes pour aborder les virages que je ne connais pas je réduis toujours un peu ma vitesse avec le frein AR .

J'ai changé les plaquettes AV et AR à 9000 kms .

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Comparer moto et vélo a des limites. C'est OK sur le principe : le freinage sollicite davantage l'avant, l'accélération davantage l'arrière. Pour le reste...

À moins de jouer à la conduite hyper économique, freinages et accélérations ne sont pas vraiment ressenties comme des dépenses ou gaspillages d'énergie quand on est motorisé.

À vélo, on est bien plus parcimonieux ! Sans doute la raison pour laquelle, en plaine et sans esprit de compétition, on privilégie douceur et anticipation : une tâche qui convient bien au frein arrière.

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il y a 5 minutes, Philippe DAVID a dit :

bonjour

j ai le meme probleme

j use plus le frein arr

je pense que sans faire attention si on est droitier on freine plus a droite et donc a l arr

je bloque parfois la roue arr a grande vitesse genre descente du Tourmalet

et inverse pour un gaucher ????

Quand je roule en montagne, ce qui n'était vraiment pas dans mes habitudes jusqu'il y a peu, les muscles de ma main gauche sont plus fatigués que ceux de la main droite. Avec les patins (je ne me prononce pas pour les disques), freiner juste avec l'arrière me semble suicidaire.

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il y a 13 minutes, Nicolas JOARY a dit :

Comparer moto et vélo a des limites. C'est OK sur le principe : le freinage sollicite davantage l'avant, l'accélération davantage l'arrière.

Nico, tu confonds freinage et ralentissement.

 

Bon, ma moto n'est pas le bon exemple car le frein moteur est monstrueux et je l'utilise beaucoup, mais sur les motos qui n'ont pas cette caractéristique, il est plus intéressant de ralentir de l'arrière car le dosage est plus soft que l'avant, qui va avoir un impact plus important sur une perte de vitesse.

 

En vélo, c'est un peu la même chose. Si tu dois rectifier ta vitesse à la baisse mais sans envisager de grosse variation de vitesse en terme de kmh, tu auras plus de finesse à l'arrière, ce qui te fera économiser de l'énergie pour la relance.

 

De là l'emploi plus usité du frein arrière, d'où son usure plus prononcée.

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il y a 31 minutes, Michel DURY a dit :

Nico, tu confonds freinage et ralentissement.

 

Bon, ma moto n'est pas le bon exemple car le frein moteur est monstrueux et je l'utilise beaucoup, mais sur les motos qui n'ont pas cette caractéristique, il est plus intéressant de ralentir de l'arrière car le dosage est plus soft que l'avant, qui va avoir un impact plus important sur une perte de vitesse.

 

En vélo, c'est un peu la même chose. Si tu dois rectifier ta vitesse à la baisse mais sans envisager de grosse variation de vitesse en terme de kmh, tu auras plus de finesse à l'arrière, ce qui te fera économiser de l'énergie pour la relance.

 

De là l'emploi plus usité du frein arrière, d'où son usure plus prononcée.

Apparemment on a tous des façons un peu différentes de freiner. Pour ma part, tant que je suis "dans l'axe" je freine de manière équivalente des deux freins, le dosage avec les freins hydrauliques est beaucoup plus fin qu'avec les freins à cables . Par exemple quand j'arrive dans un virage serré je freine très fort et les disques me permettent de le faire assez tard.

Par contre, dès que je bascule le vélo, je relâche et si je dois continuer à freiner c'est surtout de l'arrière...

Donc l'usure plus prononcée à l'arrière est peut-être normale 

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il y a 51 minutes, Pierre PLANA a dit :

Apparemment on a tous des façons un peu différentes de freiner. Pour ma part, tant que je suis "dans l'axe" je freine de manière équivalente des deux freins, le dosage avec les freins hydrauliques est beaucoup plus fin qu'avec les freins à cables . Par exemple quand j'arrive dans un virage serré je freine très fort et les disques me permettent de le faire assez tard.

Par contre, dès que je bascule le vélo, je relâche et si je dois continuer à freiner c'est surtout de l'arrière...

Donc l'usure plus prononcée à l'arrière est peut-être normale 

Tout à fait, les rares fois où je descends des cols, je conserve un filet de frein dans les virages rapides, et bien entendu de l'arrière.

 

Pour moi, rien d'anormal à ce que les composants arrières s'usent plus que les avant, malgré l'apparente contradiction en terme d'efficience. L'avant est utilisé plus fort mais moins souvent, donc moins de frottements donc moins d'usure. La logique me parait évidente.

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il y a 13 minutes, Michel DURY a dit :

Tout à fait, les rares fois où je descends des cols, je conserve un filet de frein dans les virages rapides, et bien entendu de l'arrière.

 

Pour moi, rien d'anormal à ce que les composants arrières s'usent plus que les avant, malgré l'apparente contradiction en terme d'efficience. L'avant est utilisé plus fort mais moins souvent, donc moins de frottements donc moins d'usure. La logique me parait évidente.

Il faudrait des capteurs pour analyser notre comportement comme l'a suggéré Nicolas. 

 

En y réfléchissant, c'est la crainte instinctive (et fondée) de basculer vers l'avant qui me retient de trop freiner de l'avant dans les descentes. Cette peur est moins présente sur le plat. Il est vrai également qu'une amorce de blocage de l'arrière se rattrape plus facilement.

Mais le freinage préalable de l'arrière pour "asseoir" le vélo et juguler la "plongée" de la fourche, je n'y crois  pas, ce n'est valable qu'à moto ou en vtt si la fourche est suspendue

Modifié par Thierry GEUMEZ
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il y a 1 minute, Thierry GEUMEZ a dit :

Mais le freinage préalable de l'arrière pour "asseoir" le vélo et juguler la "plongée" de la fourche, je n'y crois  pas, ce n'est valable qu'à moto.

Dans le cas du vélo, ce n'est pas la logique moto qui s'applique, mais plutôt l'évitement de bloquer la roue avant et de déraper. De plus, le contact du frein arrière étant établi, tu peux le maintenir et le doser tout au long du ralentissement ou du freinage, il a un impact doux ou dur en fonction de ce dosage et permet un bon contrôle du système global de perte de vitesse.

 

Pour les gros freinages de l'avant, je me déplace loin sur l'arrière du vélo, en dehors de la selle, pour ne pas faire un soleil. 

 

Freiner est tout un art qu'il faut étudier et travailler, ça ne s'improvise pas. La moindre erreur a des conséquences immédiates, en générale pas très bonnes pour ton avenir.

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Il y a 2 heures, Philippe DAVID a dit :

c est peut etre inne ?? on est  droitier ou gaucher donc usure differente 

je pose le probleme..........

 

Je suis gaucher et pourtant ce sont les plaquettes de mon frein arrière qui s'usent le plus vite.

 

Le problème des gauchers comme moi est ailleurs : en situation d'urgence, à nos débuts de cyclistes c'est la main gauche qui agit instinctivement en premier, et qui agit le plus fort, d'où le risque de bloquer la roue avant et de passer par dessus-bord… Ça m'est arrivé plusieurs fois quand j'étais gamin ! 😞

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il y a 16 minutes, Michel DURY a dit :

(...) Freiner est tout un art qu'il faut étudier et travailler, ça ne s'improvise pas. (...)

C'est peut-être un art, ça ne s'improvise pas, mais à vélo je n'ai pas l'impression que ça s'étudie et se travaille beaucoup. Pas à notre niveau. C'est juste l'expérience et les sensations qui jouent. Je freine presque toujours des deux freins, mais je suis bien incapable de dire où, quand et comment je module les pressions sur les poignées. C'est "au feeling" et je suis persuadé que cela peut être très subtil.

En freinage d'urgence, mais vraiment d'urgence - donc aucune anticipation, je vais aussi faire pareil : appuyer sur les deux poignées. Et ce qui se passe alors est classique : la roue arrière se déleste et bloque. Et la réaction immédiate est de relâcher l'arrière. C'est un réflexe. Je suis par contre incapable de dire si je relâche aussi l'avant, mais probablement pas tant que la roue ne bloque pas. C'est si rapide !

Chaque main a son indépendance bien formée par la pratique sans avoir travaillé ni étudié la question. La preuve : nous en discuterons et émettons présomptions et hypothèses, mais bien peu de certitudes.

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il y a 3 minutes, Franck PASTOR a dit :

 

Je suis gaucher et pourtant ce sont les plaquettes de mon frein arrière qui s'usent le plus vite.

 

Le problème des gauchers comme moi est ailleurs : en situation d'urgence, à nos débuts de cyclistes c'est la main gauche qui agit instinctivement en premier, et qui agit le plus fort, d'où le risque de bloquer la roue avant et de passer par dessus-bord… Ça m'est arrivé plusieurs fois quand j'étais gamin ! 😞

Si tu en parles avec des Anglais, qui ne font rien comme nous, leur frein avant est à droite. Comme les motards. Et ils trouvent ça logique.

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