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Pluie et risque


Dominique TEYSSIER
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J'ai eu une expérience du même type avec le Challenge du Dauphiné en 1997. 160 km et plus de 8 h de vélo dans le Vercors sous une pluie permanente, dans le même genre de froid (5°).

Pas de souvenirs particuliers en ce qui concerne le freinage lors de cette épreuve (dans tous les sens du terme), mais j'avais déjà appris à l'époque à freiner sous la pluie comme il le faut : avec l'anticipation comme mot d'ordre. J'ai eu cette chance qu'il ne s'est jamais produit de circonstances où j'aurais dû freiner d'urgence sous la pluie en montagne sans avoir le temps d'anticiper. Si ça m'arrive aujourd'hui, je serai mieux équipé pour y faire face.

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Mon vélo actuel a des attaches au cadre prévues pour un garde-boue arrière… je crois que je vais en faire usage sous peu.

Pas possible d'utiliser un garde-boue qui se fixe sur la tige de selle, la place est prise par un éclairage et surtout ma sacoche de selle. Impossible également de le fixer sur le tube de selle, le câble de dérailleur avant court le long de ce tube… je vais donc placer le garde-boue sur les attaches prévues. En espérant que le pneu ne passe pas trop près de lui… les pneus qui coincent sous le garde-boue lorsque des saletés s'accumulent entre eux, j'ai déjà donné.

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Après plusieurs années de sorties vélo acharnées quelque soit le temps, j'ai décidé de ne plus sortir quand la météo est mauvaise.

Trop dangereux, désagréable sans parler de la corvée de nettoyage du vélo une fois rentré.

Ne pouvant rouler que le week-end, je regarde les sites météo la veille, srcute le ciel le matin même et prends ma décision.

Ciel relativement clair : vélo (il m'arrive quand même de me faire avoir par une giboulée imprévue)

Pluie fine ou modérée : course à pied

Sale temps : piscine municipale

Un peu sur ma faim dans les 2 derniers cas, mais au moins j'ai bougé un peu.

Après, c'est sûr que pour celui qui habite Biarritz ou Brest, ça ne doit pas être évident.

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Non, pour l'avoir vécu plusieurs fois, je peux t'assurer que ça fait une différence notable, surtout sur les routes bordant les champs avec un max de bouillasse.

Les gars qui ont un garde boue projettent aussi de l'eau, mais ça n'a rien à voir avec ceux qui n'en ont pas et qui te noient de merdouille tout du long, j'ai vraiment horreur de ça. Et ne viens pas me dire que c'est cher ou moche ou pas pratique, je pense que c'est d'abord une question de respect vis à vis des autres. Je serais très gêné d'arroser les copains, donc je fais gaffe à ça.

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pas de garde boue et un éclairage arrière puissant.

La recette pour que les copains prennent les relais😃

 

Bon, il m'arrive d'oublier le garde boue. Mais ce qui me fait rire ce sont ceux qui mettent une truelle en plastique sous la selle. Ok, ça ne prend pas beaucoup de place, mais ça ne sert pas à grand chose.

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Ben non, en groupe, tu roules groupé. Si tu prends  tes distances, tu es vite largué, crois moi.

Mais c'est typiquement mec ça, on n'est pas des tapiolles, un garde boue? allez, avec quoi tu viens toi?! J'ai entendu ce genre d'idioties toute ma vie et je ne le supporte plus.

Les mecs préfèrent se les geler et rentrer bien crade plutôt que d'avilir leur précieux joujou avec un garde boue de gonzesse.

C'est sans espoir :-)

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J'ai ce mini garde boue. Sa protection est effectivement limitée. Le derrière reste au sec, c'est déjà ça. Quant au suiveur... rien ne lui est épargné. Charité bien ordonnée commence par soi-même 😃

Reste le problème des pieds lorsque la route est détrempée . Je ne connais pas de "mini" solution.

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