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Rouler en groupe ou en solo?


Bruno GUILLEVIC
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Pour reprendre les commentaires précédents, il faut reconnaitre qu'il est assez difficile de trouver un groupe qui colle avec nos préoccupation, envies, programme, comportement. Je souscris totalement à tous ces  avis quels qu'ils soient. 

J'ai la chance d'avoir près de chez moi un club important de plus de 100 membres, dont le président et les dirigeants  parviennent à entretenir une ambiance conviviale: gros local club, boissons à volonté en fin de chaque sortie, organisation d'activités et de séjours vélos, envoi des circuits hebdomadaires par mail, règlement très précis en ce qui concerne les comportement des groupes. La fréquence des sorties (3xsemaine) permet aussi de choisir facilement son programme. 

La manière de rouler respecte bien les règles fixées (allure, attente des attardés éventuels, recherche d'une cohésion dans la manière de rouler, respect du code de la route, ...), il n'est donc pas difficile de trouver le groupe qui correspond à ses attentes (en gros  5 groupes constitués) dont le nombre de participants est limité à 20 mais qui est souvent composé entre 10 et 15 vélos. 

C'est certain que n'étant pas un grand bavard, je n'aime pas trop les éternelles discussions en cours de route, mais comme chacun se connait bien, les bavards se rassemblent. Donc pas de désagréments majeurs.

Bonne route

Modifié par Bruno GUILLEVIC
quuauurrekssion
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il y a 9 minutes, Sylvain KARLE a dit :

+200% Mich ' ........j'ai  un pote qui roule dans un groupe trés fort a un moment il n'y allait plus car cela flinguait a tous vas et il c'est retrouvé larguer en ramenant des mecs attardés ...... 

Perso j'ai pratiqué dans 3 clubs et ça pétait toujours a un moment ou l'autre ....

Après se faire larguer sur une accélération c'est mauvais pour l'amour propre mais ce n'est pas non plus une cata, dès lors qu'on ne se retrouve pas tout seul à 50 bornes du but. Mais c'est sur que les groupes où l'objectif unique est d'en faire sauter un max, ce n'est une ambiance longtemps supportable. Ces mecs devraient prendre une licence, ça les calmerait assez vite. 

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il y a 2 minutes, Bruno GUILLEVIC a dit :

Pour reprendre les commentaires précédents, il faut reconnaitre qu'il est assez difficile de trouver un groupe qui colle avec nos préoccupation, envies, programme, comportement. Je souscris totalement à tous ses  avis quels qu'ils soient. 

J'ai la chance d'avoir près de chez moi un club important de plus de 100 membres, dont le président et les dirigeants  parviennent à entretenir une ambiance conviviale: gros local club, boissons à volonté en fin de chaque sortie, organisation d'activités et de séjours vélos, envoi des circuits hebdomadaires par mail, règlement très précis en ce qui concerne les comportement des groupes. La fréquence des sorties (3xsemaine) permet aussi de choisir facilement son programme. 

La manière de rouler respecte bien les règles fixées (allure, attente des attardés éventuels, recherche d'une cohésion dans la manière de rouler, respect du code de la route, ...), il n'est donc pas difficile de trouver le groupe qui correspond à ses attentes (en gros  5 groupes constitués) dont le nombre de participants est limité à 20 mais qui est souvent composé entre 10 et 15 vélos. 

C'est certain que n'étant pas un grand bavard, je n'aime pas trop les éternelles discussions en cours de route, mais comme chacun se connait bien, les bavards se rassemblent. Donc pas de désagréments majeurs.

Bonne route

Merci pour la présentation (anonyme) de ton club, c'est rassurant, et il est sur que dans ce cas ma pratique aurait pu être différente.

On est toujours lié et dépendant du lieu ou l'on vit et nous nous adaptons en conséquence. Ce n'est pas de la résilience, il ne faut pas exagérer, mais la capacité d'adaptation du cycliste est néanmoins remarquable et salutaire ==> ce sport (ou cette activité de plein air pour être plus précis en incluant tout les pratiquants), une fois qu'on l'a choisi, arrive toujours à ses fin et on ne s'en débarrasse pas si facilement ( 😉 ), même si environnement change et que les groupes ce défont ...  )

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il y a 7 minutes, Michel DUBIN a dit :

Merci pour la présentation (anonyme) de ton club, c'est rassurant, et il est sur que dans ce cas ma pratique aurait pu être différente.

On est toujours lié et dépendant du lieu ou l'on vit et nous nous adaptons en conséquence. Ce n'est pas de la résilience, il ne faut pas exagérer, mais la capacité d'adaptation du cycliste est néanmoins remarquable et salutaire ==> ce sport (ou cette activité de plein air pour être plus précis en incluant tout les pratiquants), une fois qu'on l'a choisi, arrive toujours à ses fin et on ne s'en débarrasse pas si facilement ( 😉 ), même si environnement change et que les groupes ce défont ...  )

Le club en question c'est l'USGC de Geneston (44).

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Personnellement, j'apprécie tout simplement les deux. Les sorties individuelles pour travailler des aspects spécifiques sous forme d'exercices ou séances types. Et les sorties en groupe au sein de notre petit club quand la reprise revient, autant que possible, afin de partager la route, les montées, les "sprints" et tout ce qui peut rendre les sorties amusantes et plaisantes (variation des itinéraires, paysages etc). Le club également pour le stage que nous partons faire en Italie chaque année pour une semaine, où nous pouvons rouler tous les jours en groupe avec un guide selon le niveau choisi, sur un parcours défini et à une moyenne horaire prévue.

Vous l'aurez compris, je trouve donc mon compte dans les deux aspects, même si je préfère partager la route avec d'autres, clubs ou amis.

Modifié par Geoffroy CACHAT
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Perso je ne roule pas en groupe, par préférence mais aussi parce que je ne supporte pas le non-respect de cette règle élémentaire qui veut de ne pas rouler de front pour ne pas bloquer ou gêner pour son seul plaisir les automobilistes derrière.

En ce sens même un groupe de deux c'est trop si le collègue veut rouler à côté.

 

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Il y a 2 heures, Viachelav AUTORI a dit :

Perso je ne roule pas en groupe, par préférence mais aussi parce que je ne supporte pas le non-respect de cette règle élémentaire qui veut de ne pas rouler de front pour ne pas bloquer ou gêner pour son seul plaisir les automobilistes derrière.

En ce sens même un groupe de deux c'est trop si le collègue veut rouler à côté.

 

Entièrement d'accord ! Je pars toujours du principe que je suis là en loisir , alors que les personnes dans leur véhicule , bossent (ou vont bosser ) .

Plutôt solitaire , je roule seul à 99% du temps ; je me suis mis dans un club depuis septembre pour la première fois après plus de 30 ans de vélo (je bossais très souvent les week-ends ) . Et ça me gêne aussi quand il y en a un qui roule à côté de moi alors qu'un véhicule attend derrière ; surtout que nos routes sont sinueuses et ne facilitent pas le dépassement . Comme on ne roule en club que le dimanche , il y a peu de véhicule , mais cette façon de procéder me dérange.

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Je roule toujours seul ! 

Je n'ai eu qu'en de très, très rares occasions , la possibilité de rouler quelques kms en groupe et je ne m'y sens pas à l'aise. De ce fait je reste derrière car au milieu du " peloton "  ce n'est pas possible pour moi. 

 

Donc je ne fais que du " spécifique " ; en fait j'essaie d'avancer .

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sujet interessant ou les réponses pourraient être différentes en fonction des périodes de notre vie 

pour ma part jeune c'était sortie mardi et jeudi en groupe pour préparer la course du dimanche .........

ensuite en prenant de l'âge ce fut les cyclos donc encore en groupe afin d'être prêt pour les rendez vous aujourd'hui depuis une dizaine d'année c'est a  90% seul 

effectivement la région ou j'habite étant assez vallonée, les montées deviennent délicates .........pour ne pas dire un calvaire quand on navigue en queue de paquet 🥵

alors que seul c'est un autre plaisir, départ a l'heure que l'on souhaite,  parcours jamais établi, l'envie décide, arrêt pour admirer paysage ou manger une pâtisserie sans pénaliser personne.

néanmoins je m'oblige une sortie tous les 8 jours ou j'essaye de me faire violence dans toutes les bosses .........  cela revenant très vite, j'envisage de ne faire que quelques bosses  dans un futur proche 😬

Apres le vélo est un art de vivre aussi tous les ans avec mon épouse nous entreprenons un grand périple avec les sacoches et tentes , bien sur sans rien réserver a l'avance afin de nous laisser guider par notre forme et nos envies du moment .

bon vélo a tous 

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J'ai beaucoup roulé en club et maintenant c'est l'inverse, je roule 90% du temps seul.

 

En fait le club ça m'emmerde car dans le groupe où je suis ils ne veulent pas faire de montées, du plat du plat et du plat, avec des grosses cuisses et on bourre dedans. Pas folichon comme programme, et quand je demande un (tout) petit peu de montées, on me dit d'aller au groupe 1.... ok.

 

Donc je varie et je change de club, j'en ai trouvé un autre bien plus sympa avec des gars qui s'amusent beaucoup plus et qui n'ont pas peur d'aller là où ça monte. J'alterne les deux, l'un ou je m'amuse et l'autre où je m'ennuie mais où je trace les bornes en silence, génial.

 

Sinon c'est seul et toujours les mêmes sorties, ce qui me lasse à la longue. Je me limite à 70 km maximum, au delà j'ai trop mal au dos et je n'ai plus de plaisir. Par contre en club c'est beaucoup plus facile et 120 km ne me dérangent pas du tout. Si l'ambiance est bonne (devinez dans quel club?) on peut rouler des heures sans voir le temps passer et rentrer heureux d'avoir fait une bonne partie de manivelles.

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il y a 25 minutes, Michel DURY a dit :

J'ai beaucoup roulé en club et maintenant c'est l'inverse, je roule 90% du temps seul.

 

En fait le club ça m'emmerde car dans le groupe où je suis ils ne veulent pas faire de montées, du plat du plat et du plat, avec des grosses cuisses et on bourre dedans. Pas folichon comme programme, et quand je demande un (tout) petit peu de montées, on me dit d'aller au groupe 1.... ok.

 

Donc je varie et je change de club, j'en ai trouvé un autre bien plus sympa avec des gars qui s'amusent beaucoup plus et qui n'ont pas peur d'aller là où ça monte. J'alterne les deux, l'un ou je m'amuse et l'autre où je m'ennuie mais où je trace les bornes en silence, génial.

 

Sinon c'est seul et toujours les mêmes sorties, ce qui me lasse à la longue. Je me limite à 70 km maximum, au delà j'ai trop mal au dos et je n'ai plus de plaisir. Par contre en club c'est beaucoup plus facile et 120 km ne me dérangent pas du tout. Si l'ambiance est bonne (devinez dans quel club?) on peut rouler des heures sans voir le temps passer et rentrer heureux d'avoir fait une bonne partie de manivelles.

En conclusion, 70 bornes te font mal au dos quand tu t'ennuies et 120 passent comme une lettre à la poste quand tu t'amuses ?

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Le 07/03/2022 à 10:51, Michel DURY a dit :

J'ai beaucoup roulé en club et maintenant c'est l'inverse, je roule 90% du temps seul.

 

En fait le club ça m'emmerde car dans le groupe où je suis ils ne veulent pas faire de montées, du plat du plat et du plat, avec des grosses cuisses et on bourre dedans. Pas folichon comme programme, et quand je demande un (tout) petit peu de montées, on me dit d'aller au groupe 1.... ok.

 

Donc je varie et je change de club, j'en ai trouvé un autre bien plus sympa avec des gars qui s'amusent beaucoup plus et qui n'ont pas peur d'aller là où ça monte. J'alterne les deux, l'un ou je m'amuse et l'autre où je m'ennuie mais où je trace les bornes en silence, génial.

 

Sinon c'est seul et toujours les mêmes sorties, ce qui me lasse à la longue. Je me limite à 70 km maximum, au delà j'ai trop mal au dos et je n'ai plus de plaisir. Par contre en club c'est beaucoup plus facile et 120 km ne me dérangent pas du tout. Si l'ambiance est bonne (devinez dans quel club?) on peut rouler des heures sans voir le temps passer et rentrer heureux d'avoir fait une bonne partie de manivelles.

 

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  • 2 weeks later...

Me concernant, je précise une nouvelle fois, grand débutant, je préfère rouler seul.

J'aime bien la compétition, mais seulement quand c'est moi qui gagne, sinon c'est pas intéressant.

En même temps, si je devais gagner tout le temps, ce serait ennuyeux.

Je dois donc faire face à un paradoxe :

J'ai envie de faire de la compétition, mais j'ai pas envie de perdre tout le temps. Mais si je gagne tout le temps ça m'ennuie. Mais si je veux gagner il faut que je travaille, et généralement je n'aime pas le travail. Pour résumer je voudrais gagner sans faire d'effort mais ça ferait naître en moi une sorte de culpabilité et ça entretiendrais mon complexe de l'imposteur.

Le plus simple c'est que je ne fasse pas de compét'

J'aime pas trop les gens des fois, des fois si, ça dépend, par contre j'aime bien rouler à mon rythme car c'est là où je peux aller le plus loin sans trop me fatiguer. Et puis rouler seul ça permet aussi de méditer, et je médite beaucoup, je médise aussi souvent car je suis médisant.

 

Voilà voilà...

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il y a 26 minutes, Fluoflashfun33 a dit :

Me concernant, je précise une nouvelle fois, grand débutant, je préfère rouler seul.

J'aime bien la compétition, mais seulement quand c'est moi qui gagne, sinon c'est pas intéressant.

En même temps, si je devais gagner tout le temps, ce serait ennuyeux.

Je dois donc faire face à un paradoxe :

J'ai envie de faire de la compétition, mais j'ai pas envie de perdre tout le temps. Mais si je gagne tout le temps ça m'ennuie. Mais si je veux gagner il faut que je travaille, et généralement je n'aime pas le travail. Pour résumer je voudrais gagner sans faire d'effort mais ça ferait naître en moi une sorte de culpabilité et ça entretiendrais mon complexe de l'imposteur.

Le plus simple c'est que je ne fasse pas de compét'

J'aime pas trop les gens des fois, des fois si, ça dépend, par contre j'aime bien rouler à mon rythme car c'est là où je peux aller le plus loin sans trop me fatiguer. Et puis rouler seul ça permet aussi de méditer, et je médite beaucoup, je médise aussi souvent car je suis médisant.

 

Voilà voilà...

Se lancer dans la compétition, c'est d'abord prendre le risque de se mesurer aux autres et de découvrir ses limites. Entretenir l'illusion que tu pourrais gagner tout le temps te protège surtout du risque de perdre et en ne t'entraînant pas sérieusement, tu peux toujours te dire que si tu avais vraiment voulu...

 

Vaut-il mieux entretenir ses rêves ou se confronter à sa réalité ?

 

Ceci dit, la compétition cycliste n'est pas le seul moyen de se réaliser 😉

Modifié par Thierry GEUMEZ
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Il y a 11 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

Se lancer dans la compétition, c'est d'abord prendre le risque de se mesurer aux autres et de découvrir ses limites. Entretenir l'illusion que tu pourrais gagner tout le temps te protège surtout du risque de perdre et en ne t'entraînant pas sérieusement, tu peux toujours te dire que si tu avais vraiment voulu...

 

Vaut-il mieux entretenir ses rêves ou se confronter à sa réalité ?

 

Ceci dit, la compétition cycliste n'est pas le seul moyen de se réaliser 😉

"...Se lancer dans la compétition, c'est d'abord prendre le risque de se mesurer aux autres et de découvrir ses limites..."

On peut aussi écrire différemment que se lancer ans la compet c'est d'abord l'intérêt de se mesurer aux autres et de mesurer ses capacités

Ce sont des choix dictés par ses aptitudes pour un sport donné. Il semblerait étrange de se lancer dans la compet pour un sport où nos dispositions seraient médiocres. Cela existe dans mes anciens clubs, il y avait toujours des amoureux du vélo mais ps du tout doués physiquement pour ce sport qui participant semaine après semaine aux compets, ne finissaient que rarement, se faisant toujours lachés dans les 2/3 pemiers tours Je n'ai jamais trop compris le ^plaisir que cela représentait. Les autres on ne gagnait pas à chaque fois bien sur mais on participait à la bagarre avec tout ce que ça peut comporter comme adrénaline, plaisirs  et aussi déceptions.

Mais comme le souligne Thierry il y a tellement de moyens de se faire plaisir à vélo.

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