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Stage riccione bike


Jean-Louis VARESANO
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Le 09/10/2023 à 22:22, Nicolas JOARY a dit :

Ah oui. Encore un truc étonnant : le peu de cyclistes qui roulent mains en bas du guidon, y compris dans les descentes sinueuses. Presque tous freinent mains aux cocottes. C'est peut-être les freins à disques qui donnent confiance ? Ils ont plus de mordant et demandent moins de force, mais...

Je ne sais pas, en réalité. Je trouve ça dangereux, surtout avec des routes qui n'ont rien du billard (sauf si on parle de billard à trous, bien entendu).

Alors je ne sais pas si tu as pu affiner à ce point le constat, mais de mon côté, j'avais remarqué qu'il s'agissait souvent des allemands, américains ou canadiens, et parfois des italiens (selon leur âge).

Nous avons fait le même constat effrayant lors de notre participation au Tour des Flandres cette année et là majoritairement ce ne sont pas ces nationalités ... 😂 En tout cas pas ceux du milieu.

Et que les mêmes ne savent vraiment pas descendre.

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Il y a 5 heures, Geoffroy CACHAT a dit :

Alors je ne sais pas si tu as pu affiner à ce point le constat, mais de mon côté, j'avais remarqué qu'il s'agissait souvent des allemands, américains ou canadiens, et parfois des italiens (selon leur âge).

Nous avons fait le même constat effrayant lors de notre participation au Tour des Flandres cette année et là majoritairement ce ne sont pas ces nationalités ... 😂 En tout cas pas ceux du milieu.

Et que les mêmes ne savent vraiment pas descendre.

Affiné, pas trop, mais j'ai roulé effectivement avec des Belges, Canadiens, Américains, Suisses, Italiens et Finlandais. Même les guides italiens freinaient mains aux cocottes.

Je pense que la remarque de Franck au sujet de la hauteur de la douille de direction est pertinente. Les vélos sont souvent trop "sportifs", avec une position trop agressive pour le commun des cyclotouristes, même bien en jambes. J'ajoute que les participants au stage, côté belge, étaient en grande majorité des retraités. Américains et Canadiens étaient plus jeunes, dans l'ensemble, mais leurs 20 ans étaient quand même déjà loin. En vieillissant, c'est sûr, on s'assouplit rarement, ce qui peut expliquer la réticence à mettre les mains en bas.

De mon côté, pour y remédier, j'ai installé une potence plus courte et relevée que celle d'origine, de sorte que mon cintre est environ cinq centimètres plus bas que ma selle. Avec cette configuration, je n'ai aucune peine à utiliser toutes les positions de mains.

 

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Je suis un ancien Belge qui freine mains sur les cocottes en descente.

J'ai des petites mains. Quand j'ai abandonné le VTT et repris le vélo de route en 2010, j'avais le groupe 105. Après avoir rapproché au max les freins du cintre, j'avais à peine la phalangette des majeurs bien posés sur le côté des poignées de frein (donc mains au fond dans l'arrondi du cintre et bras légèrement fléchis en position pour rouler un certain temps). Pour saisir les freins, je devais diminuer l'angle des coudes à environ 90 degrés. Pas commode, crainte que les doigts « ripent » dans le stress d'un freinage imprévu.

 

Maintenant, avec l'Ultegra mécanique, ces phalangettes reposent sur l'avant des poignées. C'est mieux mais pas optimal et je n'ai pas changé mon habitude. Même pas dans la descente à 8,5% que je prends souvent en début de sortie près de chez moi, sans risque particulier à mon avis.

 

Ensuite, je transpire très vite et abondamment, même sous les 20 degrés. Alors je ne porte pas de lunettes mais, pour protéger mes yeux de trop de lumière, un casque avec visière. Alors en descente, main sous le cintre, je devrais relever un peu plus la tête pour porter le regard assez loin pour anticiper la bonne trajectoire; et mes vieilles cervicales grincent.

 

Donc évidement, la bonne technique en descente c'est les mains sous le cintre, mais je ne changerai pas et comme c'est un thème récurrent sur le forum, j'ose espérer que les puristes ne visent par leurs messages qu'à apporter la lumière aux minus-habens cocotteurs, sans esprit de dénigrement de ces derniers. Parce que, pour un lecteur régulier du forum, c'est un peu lassant.

 

Vu que je suis de facto un mauvais descendeur, je ne suis jamais allé à la montagne à vélo (mais je ne me prive pas d'y randonner à pied). Donc pas de panique, personne n'ira dans le ravin de ma faute.

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Il y a 20 heures, Nicolas JOARY a dit :

Affiné, pas trop, mais j'ai roulé effectivement avec des Belges, Canadiens, Américains, Suisses, Italiens et Finlandais. Même les guides italiens freinaient mains aux cocottes.

Je pense que la remarque de Franck au sujet de la hauteur de la douille de direction est pertinente. Les vélos sont souvent trop "sportifs", avec une position trop agressive pour le commun des cyclotouristes, même bien en jambes. J'ajoute que les participants au stage, côté belge, étaient en grande majorité des retraités. Américains et Canadiens étaient plus jeunes, dans l'ensemble, mais leurs 20 ans étaient quand même déjà loin. En vieillissant, c'est sûr, on s'assouplit rarement, ce qui peut expliquer la réticence à mettre les mains en bas.

De mon côté, pour y remédier, j'ai installé une potence plus courte et relevée que celle d'origine, de sorte que mon cintre est environ cinq centimètres plus bas que ma selle. Avec cette configuration, je n'ai aucune peine à utiliser toutes les positions de mains.

 

Moi  aussi j'arrive à utiliser toutes les positions, mais je n'ai pas 5cm de différence!! 4 au max, mais je trouve que la position basse soulage davantage mon dos, mais un cm plus bas je n'en suis pas certain?

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Il y a 4 heures, Bernard HAULOTTE a dit :

Je suis un ancien Belge qui freine mains sur les cocottes en descente.

J'ai des petites mains. Quand j'ai abandonné le VTT et repris le vélo de route en 2010, j'avais le groupe 105. Après avoir rapproché au max les freins du cintre, j'avais à peine la phalangette des majeurs bien posés sur le côté des poignées de frein (donc mains au fond dans l'arrondi du cintre et bras légèrement fléchis en position pour rouler un certain temps). Pour saisir les freins, je devais diminuer l'angle des coudes à environ 90 degrés. Pas commode, crainte que les doigts « ripent » dans le stress d'un freinage imprévu.

 

Maintenant, avec l'Ultegra mécanique, ces phalangettes reposent sur l'avant des poignées. C'est mieux mais pas optimal et je n'ai pas changé mon habitude. Même pas dans la descente à 8,5% que je prends souvent en début de sortie près de chez moi, sans risque particulier à mon avis.

 

Ensuite, je transpire très vite et abondamment, même sous les 20 degrés. Alors je ne porte pas de lunettes mais, pour protéger mes yeux de trop de lumière, un casque avec visière. Alors en descente, main sous le cintre, je devrais relever un peu plus la tête pour porter le regard assez loin pour anticiper la bonne trajectoire; et mes vieilles cervicales grincent.

 

Donc évidement, la bonne technique en descente c'est les mains sous le cintre, mais je ne changerai pas et comme c'est un thème récurrent sur le forum, j'ose espérer que les puristes ne visent par leurs messages qu'à apporter la lumière aux minus-habens cocotteurs, sans esprit de dénigrement de ces derniers. Parce que, pour un lecteur régulier du forum, c'est un peu lassant.

 

Vu que je suis de facto un mauvais descendeur, je ne suis jamais allé à la montagne à vélo (mais je ne me prive pas d'y randonner à pied). Donc pas de panique, personne n'ira dans le ravin de ma faute.

 

Tant que la descente n'est pas rapide, descendre mains aux cocottes n'est pas un problème. De sécurité, s'entend. Ça reste quand même un problème aérodynamique, mais aucun non-compétiteur n'est obligé de s'en soucier.

 

De fait, on voit que mêmes les professionnels du cyclo-cross sont quasiment toujours mains aux cocottes, y compris dans les descentes les plus raides et les plus techniques… tout bêtement parce que vu la technicité des parcours leur vitesse reste (relativement) faible. Ils ne mettent les mains en bas du guidon que lors des longues descentes (très rares en cyclo-cross) qui leur font atteindre des vitesses élevées, ou lors des sprints.

 

Pour moi, la vraie question, c'est : pourquoi tant de gens persistent-ils à utiliser un cintre "route" alors qu'ils ne mettent jamais les mains en bas du guidon ?

 

Un cintre plat serait tellement plus cohérent et logique dans leur cas (et en tant que matheux j'aime la logique et la cohérence:-)), en même temps que plus sécurisant à haute vitesse.

 

D'autant qu'il existent une variété impressionnante de cintres de ce genre pouvant convenir, j'imagine, à la plupart des cas.

 

Celui-ci n'est pas mal dans le genre, développé par un randonneur au long cours (et ancien coureur cycliste sur route). Et il y en a tellement d'autres !

 

https://www.cyclingabout.com/koga-denham-bars/

Modifié par Franck PASTOR
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il y a 17 minutes, Franck PASTOR a dit :

Un cintre plat serait tellement plus cohérent et logique dans leur cas (et en tant que matheux j'aime la logique et la cohérence:-)), en même temps que plus sécurisant à haute vitesse.

 

 Du point de vue de la sûreté de la préhension en cas de choc imprévu, c'est cohérent, mais pour ce qui est de la stabilité du vélo, j'ai des doutes. Pour stabiliser le vélo à haute vitesse, il faut charger la roue avant, donc obliger le buste à s'incliner vers l'avant. Soit en utilisant la position basse du cintre "route", soit en allongeant la potence.

 

 

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il y a 22 minutes, Franck PASTOR a dit :


(...)

Pour moi, la vraie question, c'est : pourquoi tant de gens persistent-ils à utiliser un cintre "route" alors qu'ils ne mettent jamais les mains en bas du guidon ?

 

Un cintre plat serait tellement plus cohérent et logique dans leur cas 

(...)

 

https://www.cyclingabout.com/koga-denham-bars/

J'utilise avec bonheur un cintre de route sur mon "route" et un cintre plat sur ma randonneuse. Ce dernier est courbé, mais sans "cassures" comme sur le Denham que tu mets en lien. Il n'y a pas de "cornes" fixes non plus. J'utilise deux paires de bar-ends courts (+- 10cm). L'une est classiquement placée aux extrémités du cintre (pratique en montée et pour se mettre debout sur les pédales, avec un bon bras de levier puisque l'écart est de 60cm). La seconde paire est intercalée entre les commandes de freins et de vitesses et les poignées ergonomiques longitudinales. L'écart entre ces bar-ends intérieurs et l'allonge pour les atteindre correspond à la position des cocottes sur mon vélo de route. Je peux freiner facilement depuis les poignées et depuis les bar-ends intérieurs. Ce vélo est très confortable.

Une position "mains en bas" ne me manque que dans une descente rapide et sinueuse. C'est incomparable, selon moi, question tenue de route dans ces conditions.

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il y a une heure, Franck PASTOR a dit :

 

Tant que la descente n'est pas rapide, descendre mains aux cocottes n'est pas un problème. De sécurité, s'entend. Ça reste quand même un problème aérodynamique, mais aucun non-compétiteur n'est obligé de s'en soucier.

 

De fait, on voit que mêmes les professionnels du cyclo-cross sont quasiment toujours mains aux cocottes, y compris dans les descentes les plus raides et les plus techniques… tout bêtement parce que vu la technicité des parcours leur vitesse reste (relativement) faible. Ils ne mettent les mains aux cocottes que lors des longues descentes (très rares en cyclo-cross) qui leur font atteindre des vitesses élevées, ou lors des sprints.

 

Pour moi, la vraie question, c'est : pourquoi tant de gens persistent-ils à utiliser un cintre "route" alors qu'ils ne mettent jamais les mains en bas du guidon ?

 

Un cintre plat serait tellement plus cohérent et logique dans leur cas (et en tant que matheux j'aime la logique et la cohérence:-)), en même temps que plus sécurisant à haute vitesse.

 

D'autant qu'il existent une variété impressionnante de cintres de ce genre pouvant convenir, j'imagine, à la plupart des cas.

 

Celui-ci n'est pas mal dans le genre, développé par un randonneur au long cours (et ancien coureur cycliste sur route). Et il y en a tellement d'autres !

 

https://www.cyclingabout.com/koga-denham-bars/

 

Salut, je vais répondre à ta question en ce qui me concerne.
Je garde les mains aux cocottes dans les descentes "techniques", car ayant de petites mains :
- il m'st plus facile de garder les mains sur le frein pour parer à tout freinage d'urgence

- je ressens plus de précision dans mon freinage dans cette position (je suis en patins, je ne sais pas si ce serait différent avec des disques) car j'ai moins besoins de tendre les doigts

- Je peux jouer avec les déailleurs sans changer de position et sans risque. Il m'est arrivé; plusieurs fois de freiner sans le vouloir en changeant les vitesses mains en bas, et ca aurait pu mal se terminer.

Néanmoins je ne passerais pas d'un cintre route, car dès qu'il s'agit d'envoyer sur le plat (a fortiori avec vent de face) je mets les mains en bas, ainsi que dans les descentes rectilignes ne présentant pas de danger (et pour sprinter aux pancartes bien sûr 🙂)

 

https://youtu.be/Qob3yOWO9qc?feature=shared


Désolé pour le hors sujet, sinon ce genre de stage me tente bien, c'est pour cela que je suis attentif à cette discution 🙂

 

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À ceux qui ont de petites mains, vos leviers n'ont-ils pas un réglage de la garde ? (l'espace entre le levier et le cintre).

 

Je n'ai pas ce problème de petites mains, ayant des mains et des doigts au contraire assez grands pour ma taille. Mais les leviers TRP que j'utilise ont un réglage de la garde (ce que j'ai découvert en les démontant). C'est aussi le cas des leviers Shimano récents: https://www.dimensionsvelo.com/2020/07/31/regler-la-course-des-leviers-shimano-hydrauliques/

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Régler la garde, c'est la première chose que je règle sur mes nouveaux vélos.  Mais ça joue sur quelques millimètres.

Sinon, je garde un cintre route car je roule quasiment à chaque sortie, quelques kilomètres, les mains en bas; sûrement sur du plat face à du vent fort.

Les jours de vent fort du sud-ouest (nombreux ces derniers temps), il m'arrive de rouler environ 20 kilomètres à plat le long de la Sambre mains en bas.  Avec un cintre plat, plus large, on prend plus de vent en position redressée.

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Il y a 12 heures, Franck PASTOR a dit :

 

Tant que la descente n'est pas rapide, descendre mains aux cocottes n'est pas un problème. De sécurité, s'entend. Ça reste quand même un problème aérodynamique, mais aucun non-compétiteur n'est obligé de s'en soucier.

 

De fait, on voit que mêmes les professionnels du cyclo-cross sont quasiment toujours mains aux cocottes, y compris dans les descentes les plus raides et les plus techniques… tout bêtement parce que vu la technicité des parcours leur vitesse reste (relativement) faible. Ils ne mettent les mains en bas du guidon que lors des longues descentes (très rares en cyclo-cross) qui leur font atteindre des vitesses élevées, ou lors des sprints.

 

Pour moi, la vraie question, c'est : pourquoi tant de gens persistent-ils à utiliser un cintre "route" alors qu'ils ne mettent jamais les mains en bas du guidon ?

 

Un cintre plat serait tellement plus cohérent et logique dans leur cas (et en tant que matheux j'aime la logique et la cohérence:-)), en même temps que plus sécurisant à haute vitesse.

 

D'autant qu'il existent une variété impressionnante de cintres de ce genre pouvant convenir, j'imagine, à la plupart des cas.

 

Celui-ci n'est pas mal dans le genre, développé par un randonneur au long cours (et ancien coureur cycliste sur route). Et il y en a tellement d'autres !

 

https://www.cyclingabout.com/koga-denham-bars/

Un cintre plat limite la position des mains et sur de longs trajets changer de position peut s'avérer confortable .

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Il y a 2 heures, Jacques VANDEWIELE a dit :

Un cintre plat limite la position des mains et sur de longs trajets changer de position peut s'avérer confortable .

 

Il existe des cintres plats qui permettent de multiples positions des mains, comme celui que j'avais mentionné dans mon commentaire précédent. Ce que les cintres plats ne permettent pas, c'est une position des mains plus basse, et donc plus stable et aérodynamique à haute vitesse… ou par vent contraire !

Modifié par Franck PASTOR
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Il y a 4 heures, Franck PASTOR a dit :

 

Il existe des cintres plats qui permettent de multiples positions des mains, comme celui que j'avais mentionné dans mon commentaire précédent. Ce que les cintres plats ne permettent pas, c'est une position des mains plus basse, et donc plus stable et aérodynamique à haute vitesse… ou par vent contraire !

 

Certe, mais quand on utilise et qu'on apprécie toutes les positions offertes par un cintre, pourquoi changer (si ce n'est pour faire plaisir aux puristes) ?

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Il y a 2 heures, David Courtois a dit :

 

Certe, mais quand on utilise et qu'on apprécie toutes les positions offertes par un cintre, pourquoi changer (si ce n'est pour faire plaisir aux puristes) ?

 

Ne devraient changer, selon moi, que ceux qui passent tout leur temps de vélo les mains en haut du guidon. Si ce n'est pas ton cas, tu n'es pas concerné, même si tu préfères descendre les mains aux cocottes. 😉

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Et pour ceux qui ne sont pas convaincus du danger de descendre à haute vitesse mains aux cocottes, voyez la chute de Valverde durant la Vuelta en 2021:

 

https://www.facebook.com/watch/?v=462056905558794

 

Le ralenti en fin de vidéo est parlant : on voit qu'il descendait (contrairement à son habitude, il me semble) mains aux cocottes, et une inégalité de la route l'a surpris lors du virage. Résultat, une de ses mains lâche le guidon et il sort de la route.

 

Il m'est arrivé la même chose dans une descente de col alpestre, sauf que dans mon cas c'étaient mes deux mains qui avaient lâché le guidon après un passage dans un nid-de-poule que je n'avais pas vu. Je me suis retrouvé carrément la poitrine sur le cintre… mais c'était dans une ligne droite et j'ai pu assez miraculeusement me rétablir sans tomber. Un souvenir marquant qui m'a converti à jamais à la descente mains en bas du guidon.

Modifié par Franck PASTOR
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Il y a 13 heures, Eric FLEURY a dit :

c'est ce que l'on appelle je crois un guidon " papillon " très souvent vu sur les vélos de trekking ou de voyage à vélo.

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