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Problème cardiaque chez les sportifs d'endurance...


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Il y a 2 heures, René KUENTZLERRE a dit :

Olivier comment gères tu les côtes en vélo pour rester en endurance fondamentale ? Pour moi c'est - 140 et impossible de monter une bosse à 140...😓 En course à pied c'était facile je marchais 🤣.

Il faut juste avoir les bons développements. 

Je peux  monter les différents col autour de chez moins de 130 bpm

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Il y a 6 heures, Olivier DARGE a dit :

En fait ici JD explique que travailler le coeur au-delà des 60% FCm ne va pas mieux le renforcer, comme il dit, "it plateaus" 😉

Mais il n'interdit pas de monter un peu pour rester en EF je pense.

Lui, il appelle cela le Easy (facile).  Alors pourquoi courir un peu plus vite qu'à 60% FCm ? : parce que avant tout la foulée, le geste, doivent rester naturels (bio mécanique), donc en étant qq % plus haut on court réellement, facilement, sans stresser le corps.

 

J'ai son bouquin et l'ai suivi toute une prépa marathon l'hiver passé, où la part belle était effectivement de l'endurance facile, je tournais souvent à moins de 130 pulsations, donc <= 70% FCm. Egalement 2 sorties longues et difficiles par semaine (2 sur 5).

Là j'en retrouve une sur Strava de 14 km (moyenne 66% FCm) le lendemain d'une grosse de 25 km (dure avec intervalles longs).

En acceptant d'être lent, tant l'esprit que le corps se réjouissent de ce moment et peuvent récupérer du stress accumulé 😉


Lorsque je montais plus haut, jusqu'à 80%, alors j'étais sur une autre allure, une allure presque déjà Marathon.

Donc non, maintenir le 80% n'est sans doute pas une bonne idée dans ce but d'endurance facile.

 

La littérature et les bons coach running disent d'ailleurs que pour bosser en EF, il faut certainement rester sous 75%.  En pratique une sortie endurance facile , ressentie comme un jogging de détente et pas une punition, y compris le lendemain d'une grosse sortie difficile, eh bien c'était la bonne intensité naturellement facile pour moi.

Une intensité qui est ressentie facile, pendant laquelle tu peux converser (seul 😄 ), en laissant de côté tout aspect de performance. 

A vélo le corps a sans doute également besoin de ces km faciles, en pure détente physique et mentale. Au diable la moyenne.

Une sortie très difficile par semaine me semble suffisante 😉

 

Quant aux graisses à brûler, mmh laissons ça de côté. L'intérêt de faire son sport à cette faible intensité est de cumuler des km et des heures avec un faible stress sur l'organisme.  Si des bénéfices sur l'usage du gras sont réels, ce n'est pas le but premier de ce genre de sortie.

 

PS: avec ce programme polarisé JD sans whisky, j'ai  bcp progressé en course (2022: 3h23 => 2023: 3h11), en finissant ce marathon en accélérant pendant 7 km , jamais pu y arriver avant. Les plan d'entrainement suivis les années antérieures furent soit trop durs avec trop peu de jours faciles, soit trop courts en nombre de semaines et avec moins de volume.  ici  4 mois 5 fois par semaine, 70 à 80 km km/sem.

... alors revenons au vélo, pédalons donc souvent, beaucoup, facilement la plupart du temps, avec quelques bonnes intensités un jour par semaine ? 🙂 

(faudrait aussi parler des côtes , ne les oublions pas ! 😀)

Est-ce que ça vous parle... ?

 

 

 

 

Merci pour ce retour. Je vais m'intéresser cet hiver à cette méthode d'entrainement. 

Tu as quels chronos sur 10km et sur semi ?

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il y a 45 minutes, Bruno NGUYEN a dit :

Merci pour ce retour. Je vais m'intéresser cet hiver à cette méthode d'entrainement. 

Tu as quels chronos sur 10km et sur semi ?

difficile à dire pour un 10, je n’en fais pas exactement (mais bien des 12-13 vallonnés et campagnards). Le seul réel 10 couru c’était en 2019, et très mal géré je me souviens j’avais dû marcher un peu au km 8 🤪 , j’avais mis 42:02 min.

 

En semi disons 1h31:36, allure 4:20/km. J’ai extrapolé ceci à partir du dernier 20 que j’ai fait cette année à Bruxelles en 1h26:27. En 2022 le semi de Gand donnait 1h32:45, mais j’étais pas à fond (je préparais un marathon donc prudence), et c’était avant JD.   

Modifié par Olivier DARGE
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Il y a 11 heures, Bruno NGUYEN a dit :

Il faut juste avoir les bons développements. 

Je peux  monter les différents col autour de chez moins de 130 bpm

Cela correspond à mon expérience. Petits braquets et cadence adaptée. C'est un compromis à trouver pour éviter l'emballement cardiaque et conserver l'aisance respiratoire. Je conçois bien que tout le monde ne soit pas pareil, mais l'obstacle principal à surmonter quand on dispose des braquets adéquats, c'est d'accepter de rouler à une allure plus réduite qu'espéré. C'est difficile à accepter, je le comprends très bien. Grimper du 10% à 10 km/h voire moins, ça demande patience et obstination quand la côte fait quelques kilomètres ; et ce n'est pas la définition du plaisir à vélo, pour certains d'entre nous. Pour d'autres, l'essentiel est d'arriver en haut sans avoir mis pied à terre et nui à sa santé.

Chacun ses dispositions et sa psychologie !

 

 

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Il y a 14 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

Beaucoup d'éléments dans ton message.

 

Je précise d'emblée que je ne pratique pas la course à pied. Il y a sans doute quelques nuances entre les deux sports (plus de traumatismes articulaires en CAP, efforts plus longs en cyclisme, notamment) mais les bases doivent être identiques. 

 

... la part belle était effectivement de l'endurance facile, je tournais souvent à moins de 130 pulsations, donc <= 70% FCm. Egalement 2 sorties longues et difficiles par semaine (2 sur 5).

 

A quelle intensité tes 2 sorties longues et difficiles ?

 

Une intensité qui est ressentie facile, pendant laquelle tu peux converser (seul 😄 ), en laissant de côté tout aspect de performance. 

A vélo le corps a sans doute également besoin de ces km faciles, en pure détente physique et mentale

 

Je ressens effectivement le besoin de récupérer après les sorties difficiles, mais je préfère souvent le repos complet (pas de sortie). Les rares fois où j'ai roulé le lendemain d'une cyclosportive, même très lentement, j'ai toujours senti que j'ajoutais de la fatigue au-dessus de la fatigue et je n'en tire aucun bienfait. 

 

Quant aux graisses à brûler, mmh laissons ça de côté. L'intérêt de faire son sport à cette faible intensité est de cumuler des km et des heures avec un faible stress sur l'organisme.  Si des bénéfices sur l'usage du gras sont réels, ce n'est pas le but premier de ce genre de sortie. 

 

Le but n'est pas de maigrir mais d'apprendre à devenir économe sur le plan énergétique : il s'agit de reculer le moment où le corps recrute les glucides dont les réserves sont limitées, au contraire des graisses qui sont presque inépuisables. C'est aspect est sans doute peu important pour les compétitions de courtes durées mais devient essentiel pour les épreuves plus longues. Si on s'entraîne à trop faible intensité, on ne progresse pas sur ce plan.

Oui, il y a des nuances.

Par exemple pédaler 2 h on le fait tous régulièrement et on récupère vite je crois.

Courir 2h même calmement, cela fatigue un peu plus et nos articulations doivent s'y habituer. Et il n'y a "pas de roue libre" quand on chausse nos Adidas ;-). 

C'est aussi une question d'apprentissage et de régularité dans l'entrainement, nous sommes tous prévus pour la course à pied dès l'enfance. Après on découvre la chaise, le fauteuil, le siège dans la Peugeot, voire le vélo et on ne court plus 😄 .

 

Les sorties difficiles ou sorties de "qualité" en càp avec JD. Il y a de tout, avec une constante, c'est que cela dure souvent 2h ou plus. Après qq temps on les avale sans trop broncher si on vit sainement en dormant bien.   Quelques exemples.

- simplement courir 2h-2h15 en EF. La durée est ici le but de l'entrainement.

- échauffement, puis 1 ou 2 longs blocs (2x12 km?) à allure Marathon : cela reste de l'endurance mais c'est plus difficile, on sue plus et on doit l'apprivoiser mentalement.

- échauffement, des blocs de 2-3 km à allure seuil (13-14 km/h p.ex.) entrecoupés d'EF pour récupérer, retour au calme sur qq km. Ici on est en "difficile confortable" où on éduque le corps à recycler les lactates.

- échauffement, des blocs courts et rapides, comme des répétitions de 400 m ou des 200 m.  On travaille ici à sa VO2 max, en essayant d'y coller au mieux, sans la dépasser, sans récupérer tout à fait entre les répétitions. Le reste est agrémenté de moments en EF.

Tu vois, le spectre est large.

 

Globalement le cardio moyen de la sortie de "qualité" n'est pas très élevé, par contre il y a des moments difficiles ou le cardio va grimper.

Ce sont des sorties "fun" quand on est en forme et les km défilent plus vite.  Anecdote, puisque ces moments sont aussi là pour travailler sa foulée et sa vitesse ("économie de course"), il est bon d'être en sécurité, alors je les fais sur Ravel de préférence.

 

Pour apprendre au corps à carburer de façon économe, je suis d'accord avec ce que tu dis. C'est vrai que pour une course de 10 km (autour de 1h), ou de 20 km (autour de 2h pour bcp de monde), on va encore tenir le coup avec le glycogène stocké, un/deux petits gels en plus agrémentés d'eau 😉

Pour le marathon il est encore plus nécessaire de s'entrainer comme tu l'expliques, pour éduquer le corps à puiser dans le gras. 

Développer sa "caisse" à faible intensité aide le coeur, les muscles (mitochondries plus efficaces) et le métabolisme énergétique en course.

Et comme tu le dis dans ta dernière phrase il est aussi nécessaire de "taper dedans" régulièrement, en force et en vélocité.  Dans mon club vélo, les moments "libres" à l'arrache permettent ce genre d'amusement utiles 🙂

 

 

Modifié par Olivier DARGE
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Il y a 8 heures, Olivier DARGE a dit :

Oui, il y a des nuances.

Par exemple pédaler 2 h on le fait tous régulièrement et on récupère vite je crois.

Courir 2h même calmement, cela fatigue un peu plus et nos articulations doivent s'y habituer. Et il n'y a "pas de roue libre" quand on chausse nos Adidas ;-). 

C'est aussi une question d'apprentissage et de régularité dans l'entrainement, nous sommes tous prévus pour la course à pied dès l'enfance. Après on découvre la chaise, le fauteuil, le siège dans la Peugeot, voire le vélo et on ne court plus 😄 .

 

Les sorties difficiles ou sorties de "qualité" en càp avec JD. Il y a de tout, avec une constante, c'est que cela dure souvent 2h ou plus. Après qq temps on les avale sans trop broncher si on vit sainement en dormant bien.   Quelques exemples.

- simplement courir 2h-2h15 en EF. La durée est ici le but de l'entrainement.

- échauffement, puis 1 ou 2 longs blocs (2x12 km?) à allure Marathon : cela reste de l'endurance mais c'est plus difficile, on sue plus et on doit l'apprivoiser mentalement.

- échauffement, des blocs de 2-3 km à allure seuil (13-14 km/h p.ex.) entrecoupés d'EF pour récupérer, retour au calme sur qq km. Ici on est en "difficile confortable" où on éduque le corps à recycler les lactates.

- échauffement, des blocs courts et rapides, comme des répétitions de 400 m ou des 200 m.  On travaille ici à sa VO2 max, en essayant d'y coller au mieux, sans la dépasser, sans récupérer tout à fait entre les répétitions. Le reste est agrémenté de moments en EF.

Tu vois, le spectre est large.

 

Globalement le cardio moyen de la sortie de "qualité" n'est pas très élevé, par contre il y a des moments difficiles ou le cardio va grimper.

Ce sont des sorties "fun" quand on est en forme et les km défilent plus vite.  Anecdote, puisque ces moments sont aussi là pour travailler sa foulée et sa vitesse ("économie de course"), il est bon d'être en sécurité, alors je les fais sur Ravel de préférence.

 

Pour apprendre au corps à carburer de façon économe, je suis d'accord avec ce que tu dis. C'est vrai que pour une course de 10 km (autour de 1h), ou de 20 km (autour de 2h pour bcp de monde), on va encore tenir le coup avec le glycogène stocké, un/deux petits gels en plus agrémentés d'eau 😉

Pour le marathon il est encore plus nécessaire de s'entrainer comme tu l'expliques, pour éduquer le corps à puiser dans le gras. 

Développer sa "caisse" à faible intensité aide le coeur, les muscles (mitochondries plus efficaces) et le métabolisme énergétique en course.

Et comme tu le dis dans ta dernière phrase il est aussi nécessaire de "taper dedans" régulièrement, en force et en vélocité.  Dans mon club vélo, les moments "libres" à l'arrache permettent ce genre d'amusement utiles 🙂

 

 

Merci pour tes explications !

 

 

 

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Le 29/09/2023 à 09:07, Nicolas JOARY a dit :

Pour d'autres, l'essentiel est d'arriver en haut sans avoir mis pied à terre et nui à sa santé.

Je ne suis pas d'accord avec toi sur le principe que ceux qui veulent arriver au sommet sans mettre pieds à terre nuisent à leur santé.

C’est même l’inverse, ceux qui arrivent au sommet d’une ascension sans poser pieds à terre, ont mieux gérés l’effort et sont mieux entraînés, à contrario les cyclistes qui posent pieds à terre ( à part pour une photo ) c’est qu’ils sont à la limite de leur possibilités et lorsqu’ils arrivent au sommet ils sont pour la plupart bien plus atteints que les premiers et nuisent à leur santé.

Avec un copain nous sommes tout les 2 à la retraite, au début d’année on roule sur la plat puis rapidement on enchaîne plusieurs côtes courtes mais à très forts pourcentages entre 12 et jusqu’à parfois plus de 18 % , assis sur la selle , le but n’étant pas de monter un col de 10 bornes à 15 % car je pense que ce ne serait pas possible, mais d’apprendre à gérer des cadences de pédalage très faibles avec force et non plus vélocité,

Dans la saison on fait des ascensions courtes avec de fortes pentes comme ci-dessous et l’objectif c’est de ne pas poser pieds à terre ( les photos on les fait dans la descente )

Malgré tout on arrive au sommet heureux et pas cramés, encore moins l’impression d’avoir nui à notre santé, et on pense déjà à la suite.

Je précise qu’on a pas de cardio ni capteur, juste la cadence de pédalage et nos sensations, donc plus la bosse ets longue moins on s’enflamme.

Pourtant on est pas des pros, pour preuve on monte entre 650 et 750M de dénivelé heure suivant la longueur de l’ascension.

Alpe d’huez en 2017 ( j’avais 57 ans ) avec mon voisin qui ne sait absolument pas gérer un effort dans les ascensions, il est parti comme un cabri, j’ai peiné à le suivre, explosé au bout de 3 bornes et ensuite il a fallu faire avec, résultat 2h04 pour l’ascension.

La même chose avec mon pote de retraite cette année, en étant plus vieux de 6 ans , gestion de l’effort nickel 1h28 et même pas cramé, derrière on a enchainé Col de Sarenne et La montée aux Balcons D’Auris depuis Freyney en Oisans 2084M de dénivelé.

Par contre oui entre chaque ascensions on récupère un peu en s’arrêtant manger et boire.

Profil.JPG.cfaefbdde93ff68c96fb84532d85ff14.JPG

 

 

 

 

Le Danay.JPG

Pré du Fourneau.JPG

Modifié par Serge NAVETAT
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Le 16/08/2023 à 19:04, Fluoflashfun33 a dit :

Bonjour, je suis tombé sur ce reportage, ça fait froid dans le dos 😕

Je pensais à tort qu'en ayant une activité sportive, ça ne pouvait pas être trop dangereux, mais il semblerait que ce ne soit pas le cas...

 

https://www.youtube.com/watch?v=e0X0hLhTl30

 

Quand ça m'est tombé dessus en 2017,mon entourage était sidéré. Je volais sur le vélo et aucun signe ne le laissait présager. Infarctus et AIT limite AVC.Un miracle aux dires des cardiologues et neurologues.  Formation d'un énorme thrombus !

Suis en ALD avec traitement à  vie.

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il y a 9 minutes, Serge NAVETAT a dit :

Je ne suis pas d'accord avec toi sur le principe que ceux qui veulent arriver au sommet sans mettre pieds à terre nuisent à leur santé.

C’est même l’inverse, ceux qui arrivent au sommet d’une ascension sans poser pieds à terre, ont mieux gérés l’effort et sont mieux entraînés, à contrario les cyclistes qui posent pieds à terre ( à part pour une photo ) c’est qu’ils sont à la limite de leur possibilités et lorsqu’ils arrivent au sommet ils sont pour la plupart bien plus atteints que les premiers et nuisent à leur santé.

Avec un copain nous sommes tout les 2 à la retraite, au début d’année on roule sur la plat puis rapidement on enchaîne plusieurs côtes courtes mais à très forts pourcentages entre 12 et jusqu’à parfois plus de 18 % , assis sur la selle , le but n’étant pas de monter un col de 10 bornes à 15 % car je pense que ce ne serait pas possible, mais d’apprendre à gérer des cadences de pédalage très faibles avec force et non plus vélocité,

Dans la saison on fait des ascensions courtes avec de fortes pentes comme ci-dessous et l’objectif c’est de ne pas poser pieds à terre ( les photos on les fait dans la descente )

Malgré tout on arrive au sommet heureux et pas cramés, encore moins l’impression d’avoir nui à notre santé, et on pense déjà à la suite.

Je précise qu’on a pas de cardio ni capteur, juste la cadence de pédalage et nos sensations, donc plus la bosse ets longue moins on s’enflamme.

Pourtant on est pas des pros, pour preuve on monte entre 650 et 750M de dénivelé heure suivant la longueur de l’ascension.

Alpe d’huez en 2017 ( j’avais 57 ans ) avec mon voisin qui ne sait absolument pas gérer un effort dans les ascensions, il est parti comme un cabri, j’ai peiné à le suivre, explosé au bout de 3 bornes et ensuite il a fallu faire avec, résultat 2h04 pour l’ascension.

La même chose avec mon pote de retraite cette année, en étant plus vieux de 6 ans , gestion de l’effort nickel 1h28 et même pas cramé, derrière on a enchainé Col de Sarenne et La montée aux Balcons D’Auris depuis Freyney en Oisans 2084M de dénivelé.

Par contre oui entre chaque ascensions on récupère un peu en s’arrêtant manger et boire.

Profil.JPG.cfaefbdde93ff68c96fb84532d85ff14.JPG

 

 

 

 

Le Danay.JPG

Pré du Fourneau.JPG

Je suis en accord avec ce que tu écris, mais il faut avoir un minimum de vécu. Beaucoup se lancent dans l'inconnu, je pense que c'est ce que voulait dire Nicolas.

 

J'ai installé un capteur de puissance sur mon vélo voilà moins de 2 ans. Oh un pas bien chère, j'ai appris à m'en servir et je dois dire qu'il me permet de bien gérer mes ascensions.

On a à peut-prêt le même âge et je précise que je ne recherche pas la performance. Il y a des gadgets qui savent se rendre utile.

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il y a 3 minutes, Gérôme BORGER a dit :

Je suis en accord avec ce que tu écris, mais il faut avoir un minimum de vécu. Beaucoup se lancent dans l'inconnu, je pense que c'est ce que voulait dire Nicolas.

 

J'ai installé un capteur de puissance sur mon vélo voilà moins de 2 ans. Oh un pas bien chère, j'ai appris à m'en servir et je dois dire qu'il me permet de bien gérer mes ascensions.

On a à peut-prêt le même âge et je précise que je ne recherche pas la performance. Il y a des gadgets qui savent se rendre utile.

Perso, je gère aux sensations et à la cadence j'arrive à lier les 2 avec la pente avec l'expérience, par exemple je sais que 8-9 % je peux tourner avec mon 34*30 autour des 60-63 tours au dessus je me met péril ( façon de parler ) après c'est dans les pourcentages très raides 34*34 parfois je descends sous les 40 tours mais tranquille je n'ai pas l'impression de forcer.

Le copain qui est la retraite depuis l'an dernier a exactement la même physionomie d'effort, peu être un peu plus fort que moi et c'est nickel on s'accorde bien puisqu'on parle en montant.

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il y a 8 minutes, Gérôme BORGER a dit :

Je suis en accord avec ce que tu écris, mais il faut avoir un minimum de vécu. Beaucoup se lancent dans l'inconnu, je pense que c'est ce que voulait dire Nicolas.

 

J'ai installé un capteur de puissance sur mon vélo voilà moins de 2 ans. Oh un pas bien chère, j'ai appris à m'en servir et je dois dire qu'il me permet de bien gérer mes ascensions.

On a à peut-prêt le même âge et je précise que je ne recherche pas la performance. Il y a des gadgets qui savent se rendre utile.

oué ben demain il va chauffer ton capteur ! 😁

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il y a 28 minutes, Didier SALEMBIER a dit :

Quand ça m'est tombé dessus en 2017,mon entourage était sidéré. Je volais sur le vélo et aucun signe ne le laissait présager. Infarctus et AIT limite AVC.Un miracle aux dires des cardiologues et neurologues.  Formation d'un énorme thrombus !

Suis en ALD avec traitement à  vie.

meme des pros ont eu cela , AVC crise cardiaque et pourtant ils sont hyper suivis ......j'ai un client Guy 64 ans champion de duathlon qui a fait une rupture d'anévrisme  il est mort 1 an après en etant sur un lit comme un légume pendant 1 an respirateur artificiel et il ne pouvait s'exprimer ......je l'ai coiffé a l'hôpital , j'ai demandé a sa femme si il avait des maux de tètes elle m'a dit jamais et il ne prenait aucun médocs , une vie saine sans alcool et cigarette , trés mince allure jeune et 14000 km l'année avant cet accident .

Un autre pote une bête de sport compétiteur a eu triple pontage suite a un taux de cholestérol trop important pourtant il mange sain fait 67kl et hyper musclé mais cela est génétique il en fabrique ...

Bref pour dire Didier qu'il faut de la chance dans la vie et que le sport si il limite certains risques ne protège pas a 100% ....

Tu a eu de la chance dans ton malheur , profite ! 

Modifié par Sylvain KARLE
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il y a 15 minutes, Sylvain KARLE a dit :

meme des pros ont eu cela , AVC crise cardiaque et pourtant ils sont hyper suivis ......j'ai un client Guy 64 ans champion de duathlon qui a fait une rupture d'anévrisme  il est mort 1 an après en etant sur un lit comme un légume pendant 1 an respirateur artificiel et il ne pouvait s'exprimer ......je l'ai coiffé a l'hôpital , j'ai demandé a sa femme si il avait des maux de tètes elle m'a dit jamais et il ne prenait aucun médocs , une vie saine sans alcool et cigarette , trés mince allure jeune et 14000 km l'année avant cet accident .

Un autre pote une bête de sport compétiteur a eu triple pontage suite a un taux de cholestérol trop important pourtant il mange sain fait 67kl et hyper musclé mais cela est génétique il en fabrique ...

Bref pour dire Didier qu'il faut de la chance dans la vie et que le sport si il limite certains risques ne protège pas a 100% ....

Tu a eu de la chance dans ton malheur , profite ! 

Salut, tu me fais peur avec ton pote et  son cholestérol! Ca fait bientôt 27 ans que je prends des statines, auparavant j'avais droit tous les deux ans à un ECG et radio des poumons, puis mon médecin a pris sa retraite, ça fait un bail que je n'ai plus regardé de tracé ECG et la dernière radio de mon thorax date de 2020 époque de cette m...e de Covid 19! Ne suis-je plus en de bonnes mains ou a t'on fait trop d^'examens auparavant? Si je compare mes braquets avec ceux de Serge, je vais droit au suicide, ma cassette ne dépasse pas le 28, mais je n'arrive pas à grimper en moulinant et très peu en danseuse! A bientôt alors, au paradis des cyclistes...

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il y a 58 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit :

Salut, tu me fais peur avec ton pote et  son cholestérol! Ca fait bientôt 27 ans que je prends des statines, auparavant j'avais droit tous les deux ans à un ECG et radio des poumons, puis mon médecin a pris sa retraite, ça fait un bail que je n'ai plus regardé de tracé ECG et la dernière radio de mon thorax date de 2020 époque de cette m...e de Covid 19! Ne suis-je plus en de bonnes mains ou a t'on fait trop d^'examens auparavant? Si je compare mes braquets avec ceux de Serge, je vais droit au suicide, ma cassette ne dépasse pas le 28, mais je n'arrive pas à grimper en moulinant et très peu en danseuse! A bientôt alors, au paradis des cyclistes...

Tu limite les risques en prenant des statines , le problème du cholestérol c'est les plaques d'athéromes qui peuvent se détacher  et venir obstruer le coeur ou une artère d'ou AVC ou infarctus ......je suis a la limite en cholestérol ( c'est comme cela quand on est gourmand )  d'ailleurs je vais faire une prise de  sang ce lundi pour voir ou j'en suis et après je vais faire un test cardiaque ....bon comme on dit PY tu bouffe tu bouffe pas tu crève quand meme mais disons pas trop tôt quand meme 😁

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L'huissier de service a mal fait son boulot et malheureusement il y a deux boules "gagnantes". La plaque athéromateuse qui se détache peut s'emboliser dans une artère en aval du coeur. Elle laisse place à un ulcère sur la paroi interne de l'artère à partir duquel un caillot (thrombus) peut se former, se détacher puis s'emboliser.

Modifié par dAuvare
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Il y a 4 heures, Sylvain KARLE a dit :

meme des pros ont eu cela , AVC crise cardiaque et pourtant ils sont hyper suivis ......j'ai un client Guy 64 ans champion de duathlon qui a fait une rupture d'anévrisme  il est mort 1 an après en etant sur un lit comme un légume pendant 1 an respirateur artificiel et il ne pouvait s'exprimer ......je l'ai coiffé a l'hôpital , j'ai demandé a sa femme si il avait des maux de tètes elle m'a dit jamais et il ne prenait aucun médocs , une vie saine sans alcool et cigarette , trés mince allure jeune et 14000 km l'année avant cet accident .

Un autre pote une bête de sport compétiteur a eu triple pontage suite a un taux de cholestérol trop important pourtant il mange sain fait 67kl et hyper musclé mais cela est génétique il en fabrique ...

Bref pour dire Didier qu'il faut de la chance dans la vie et que le sport si il limite certains risques ne protège pas a 100% ....

Tu a eu de la chance dans ton malheur , profite ! 

Le corps humain est une merveilleuse machine, mais il a ses mystères qu'il emporte dans sa tombe.

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