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Votre sortie du jour 2020


Olivier COMMENT
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J'ai enfin trouvé ou tu es allé te ballader. OUI il faut trouver et y avoir pris goût, car tu montes plus haut que Leurkerbad et pas mal de non revêtu.

Un peu sur le même sujet, et ne connaissant que très peu le coin, si tu devais passer en Oberland ferais tu le Lôtschenpass ou la Gemmi ? Question pratique et curieuse, car je ne suis pas certain de faire encre "joujou" sur ce genre d'aventure, et le retour en train doit être réservé aux chauffeurs de voiture ? Allez rêvons un peu.

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En Belgique c'est incroyable, je n'ai jamais vu autant de vélos dehors! On dirait qu'ils ont tous ressortis leur vélo du garage, on voit de ces trucs!

Et surtout, les gens ne savent pas rouler, ils prennent toute la largeur de la route, à allure d'escargot, et vont en zig zag dès la première montée.

On voit tout de suite qu'ils n'ont plus fait de vélo depuis des lustres. Là, je dois faire hyper gaffe à tous les coups, j'ai déjà failli en percuter quelques uns, heureusement que je prévois les mauvais comportements, mais je vois qu'ils se mettent vraiment en danger par rapport aux voitures.

Au passage, une constatation de ma copine qui a un vélo correct chez moi et un char d'assaut à Bruxelles, elle a fait un petit tour avec ce dernier et m'a dit que c'était une torture par rapport à celui qui est chez moi.

C'est là qu'on voit aussi la logique du vélo électrique qui va s'adresser au public char d'assaut, qui à mon avis devrait d'abord essayer un vrai vélo avant de passer à l'électrique - mais bon, c'est un autre débat, c'était juste les considérations du jour, outre le fait que j'ai enfin dépassé Thierry, youpie!

 

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Comme je viens de le dire à Pierre -Yves, on peut encore rêver ! Enfin ton projet peut encore être réalisable en comptant bien les points à chaque difficulté, et il faut bien savoir compter, car une fois descendu à Airolo, il n'y a plus que la solution de souffrir dans ce Nûfenen, bien que plus humain sur ce versant, mais quand même presque 2500 m ! D'ailleurs périple qui compte au moins 25 bornes au dessus de 2000 m. Heureusement il y a un train qui passe à Andermatt et qui peut rapatrier les aventuriers sur la vallée du Rhône, en 2e classe bien entendu, car comme pour le glacier express, ils ne doivent pas prendre des passagers en sueur. Ah rions !

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En Belgique c'est incroyable, je n'ai jamais vu autant de vélos dehors!

Oh si, quand même, j'ai l'habitude, c'est facile à prévoir. C'est uniquement à cause du soleil : ils vous rend complètement fous, vous autres Belges. Et vas-y qu'on sort le vélo tout rouillé pour traîner sa bedaine dans l'espace vert voisin, qu'on sort le transat pour bronzer sur le pas de sa porte, qu'on se fait un barbeuque bien enfumé dans le jardin, que les filles se baladent quasi en soutien-gorge et les mecs carrément torses nus dans les rues…

Mais dès le retour du mauvais temps, bien entendu il n'y aura plus personne.

Sauf l'un ou l'autre Français un peu plus constant que le Belge moyen devant le temps qu'il fait… 😇

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Du froid, moins que toi il me semble. 🤐

Les trous et le sable sur les routes belges n'auraient rien à y faire si le pays était un peu plus civ… heu, soucieux de ses routes, non mais ! 📢

Quand au vent… faut bien que j'aie un défaut quelque part dans ma cuirasse de warrior… 🆒

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Non pas du tout, en fait le" col" se situe à 1300 et pas 1400 comme je croyais,  on ne quitte jamais la plaine du Rhône, la portion gravel dure un peu plus longtemps que le final du col du Lein (entre Saxon et Sembrancher) et secoue énormément en descente. Au dessus de Leukerbad se trouve le Torrentalp à près de 2000m, mais il s'agit d'un cul de sac totalement goudronné. Quant au Loetschenpass et la Gemmi , ils ne sont pas praticables à vélo, ou en le poussant et portant, tout comme le Rawyl. Les 2 seuls cols des Alpes Bernoises que l'on franchit sur le vélo de route, sont le Sanetsch et le Grimsel, le premier se descend en télécabine ( à lire Cyclist de ce mois).

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Aujourd'hui, avec ce temps magnifique, 23° C, tous les 2 roues étaient de sortie, mais il n'y avait pas de belges, les non déguisés roulaient correctement. Comme j'ai obliqué vers le Marchairuz, la densité de cyclistes a chuté brutalement, mais il en restait quelques-uns. 

A 1176 m d'altitude, les routes venant de St-George (la mienne) et de Bière se rejoignent. L'an dernier en une occasion j'avais fait demi-tour à cet endroit car confronté à un vent de face sinon féroce du moins méchant. Pas de cela aujourd'hui : pas un poil de vent.

Au total 90 km à allure très modérée, 20,8/h, seulement 117 bpm en moyenne, 1380 m de D+ /// altitude maxi 1447-8 ou 9 m. Dernière sortie aussi longue : le 11 mars (mais à 127 bpm).

MP à suivre

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Il y a des exceptions à tout ! 🆒

Ce jour-là d'ailleurs j'avais fait l'erreur de m'habiller presque aussi légèrement que le Belge pas si moyen qui m'accompagnait. Qui en plus m'avait emmené sur des chemins de gravel, boueux et humides à souhait par endroits, ce qui n'arrangeait rien question sensation de froid.

Depuis, j'ai appris à mettre une ou deux couches de vêtements supplémentaires par rapport à ce que met ce Belge pas si moyen et depuis, ça va bien mieux. C'est essentiellement ça ma cuirasse de warrior ! 😃

C'est certainement cela, et pas ma résistance naturelle (très peu élevée!) au mauvais temps, qui me permet de sortir plus souvent que bien d'autres. Ça m'a toujours frappé de voir une bonne part de cyclistes belges, peut-être la majorité, sortir en cours et bras nus même à l'approche de l'hiver, et sans imper sous la pluie… Un médecin sportif flamand avait remarqué sur Sporza un jour que les cyclistes belges, de façon générale, étaient très imaginatifs pour lutter contre la chaleur, mais ne faisaient curieusement guère de choses contre le mauvais temps (froid et pluie). D'où des abandons qui auraient pu être évités. C'était au cyclo-cross de Namur de cette année, je crois, où Eli Iserbyt avait jeté l'éponge complètement frigorifié.

Supportant fort bien la chaleur et fort mal le froid et la pluie (et encore moins le vent), moi je fais exactement l'inverse : je me couvre de partout dès la moindre intempérie. Et je suis certain que c'est ça qui m'aide énormément à sortir quand d'autres laissent tomber.

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Moi, c'est typiquement l'inverse. La chaleur m'indispose, j'ai réellement du mal dès qu'il fait plus de 25 ou 27 degrés. Par contre, j'ai toujours sur rouler par temps froid, voire très froid, sans éprouver de gêne particulière. Quant à la pluie, elle fait partie de la vie d'un cycliste habitant le nord de la Loire. Je te rejoins sur un point : les pros qui se baladent en court et sans gants à 5 C°, c'est simplement idiot. 

Pour en revenir à la remarque de Michel, je suis tout à fait d'accord avec lui. Il y a, en ce moment, une poussée de cyclistes "covid 19" qui roulent n'importe comment et n'importe où. La tendance était à la baisse en début de semaine, mais hier et aujourd'hui, c'est simplement affolant.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Pierre-Yves, je ne me suis pas fait bien comprendre, passer en Oberland OUI mais en VTT.

Et il y à 6 mois à peu près j'avais vu une émission TV, sur la fonte des glaciers, et ils étaient restés sur le Valais et pour finir bien entendu sur Aletsch. Et certaines vues sur le passage de la Gemmi, montraient un paysage accueillant et accessible. Voilà, c'était juste pour en savoir plus. Et bien sûr pour continuer de rêver, car je compte bien être à Martigny pour les mondiaux, si rien ne change bien entendu.

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Je réalise la synthèse équilibrée entre ta résistance au froid et la résistance à la chaleur de Franck : je ne supporte ni le froid intense ni la canicule 😲

La comparaison avec les pros ne doit pas omettre qu'ils développent plus de puissance que nous. Il est donc normal qu'ils doivent s'habiller moins chaudement que nous par temps froid (moins de 25% de l'énergie dépensée sert à nous faire avancer, le reste provoque une élévation de température)

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