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Freins patins ou disques ,


Gérard CRESPO
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Mon dieu quel fou je suis d'avoir fait la traversée des Alpes avec un vélo à disques 🙄

Ce qu'il ne faut pas lire ici parfois c'est dingue. 

 

Sinon pour mon avis sur le sujet, la descente de l'Iseran sous la pluie cette semaine (et avec 6 degrés au sommet) a fini de valider le disque sur mon vélo. Cela offre tellement de sécurité que je ne me vois pas revenir en arrière. Et sauf erreur, c'est avant tout ce qu'on demande à nos freins.

 

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Pourquoi supprimer de l'huile dans le circuit augmente a priori la garde, je ne sais pas exactement. 

Lorsque tu as évoqué ce problème précédemment, tu avais aussi parlé d'un manque de jeu entre le disque et les plaquettes et les deux problèmes ont pu être résolus en retirant un peu d'huile. 

Comme je te l'ai déjà expliqué, il n'y a plus de pression dans le circuit hydraulique lorsque tu relâches le levier (sauf s'il a de l'air dedans). Tout se joue au niveau du ou des pistons de l'étrier : ils doivent reculer pour que les plaquettes ne frottent plus. Cette fonction est assurée par la déformation d'un joint situé autour du ou des pistons. Lorsque tu freines, le joint se déforme en même temps que le piston se déplace vers le disque. Lorsque tu relâches le frein, le joint tend à reprendre sa forme initiale et fait reculer le piston. Si le piston ne peut reculer, soit parce qu'il est grippé, soit parce que le joint est insuffisamment déformé, les plaquettes frottent en permanence et la garde du levier est réduite.

Ceci dit, la seule explication que je puisse imaginer (sous réserve de présence d'air) est que ta manipulation (laisser un peu d'huile s'échapper) a permis au joint de reprendre sa place normale et de remplir à nouveau son rôle.

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Je me souviens bien, mais ce n'est plus le même problème que précédemment. Le fait que la manip ait marché alors, c'est-à-dire ait augmenté l'écart entre les plaquettes (c'était alors le frein arrière) était bien dû à la présence de bulles d'air dans la durite de frein.

Mais il s'agit maintenant du frein avant, dans lequel je n'ai aucune raison de supposer de présence de bulles d'air (purge assez récente par le vélociste, freinage très franc).

Le mot «garde» est sans doute inadapté, réglage du «point de contact disque-plaquettes» ou de la «course» du levier serait plus adapté. Tu as vu la section 2.3 du lien que j'avais placé lorsque j'ai édité mon message précédent ? Elle correspond exactement à ce que j'ai expérimenté sur ce frein. Je remets le lien:

https://www.probikesupport.com/freins-disque-entretiens/

Citations :

« En général, (pour régler le point de contact) on joue sur le volume d'huile via un réglage sur le piston ou une durite ».

« Le réglage du point de contact NE DÉPLACE PAS les plaquettes »

Et c'est ce qui s'est passé : j'ai enlevé un peu d'huile, et quand j'actionne le levier de frein les plaquettes entrent en contact avec le disque plus tard qu'avant (quand le levier est plus proche du cintre qu'avant). Tandis qu'au repos, les plaquettes ont le même écartement qu'auparavant.

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Je viens de lire la section 2.3 de ton lien. Le "réglage du point de contact des plaquettes" est un perfectionnement du système traditionnel, il inclut donc un dispositif supplémentaire, que je ne connais pas. Ton système de freinage comporte ce perfectionnement, avec notamment une molette de réglage ?

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Mon dieu quel fou je suis d'avoir fait la traversée des Alpes avec un vélo à disques

Tu ne comprends rien, tu n'es qu'une faible  victime du marketing 😃 et comme tu as payé plus cher pour du plus lourd qui n'apporte rien, tu t'es auto-convaincu que c'est plus efficace que les patins 😆

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Non, mais il est dit que ce réglage joue sur le volume de liquide de frein. Or en enlevant un peu de ce liquide, comme je l’ai fait, on diminue forcément ce volume. Maintenant, la raison précise pour laquelle ce volume est lié au point de contact m’échappe encore. Jérémie, si tu nous lis... ;-)
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L'explication n'est pas donnée dans le lien que tu as mis. 

Le liquide de frein est incompressible. En retirer du circuit ne peut s'effectuer qu'au prix d'une entrée d'air, sauf en introduisant un dispositif supplémentaire. Un vase d'expansion similaire à celui d'un chauffage central ne peut être utilisé parce que le circuit serait sous pression en permanence... Il faudrait trouver une notice détaillée de Avid.

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Oui je persiste, pour une bonne partie des cyclos, le frein à disque est un argument purement marketing. Quelle est la proportion de cyclos qui roulent en montagne et en plus par temps de pluie ? Certainement pas la majorité 😉

Heureusement que le frein à disque apporte quelque chose pour certains cyclos qui ont un usage plus "sévère" de leur vélo !!

Comme il est dit depuis maintenant 37 pages, le frein à disque apporte des avantages et des inconvénients. Le marketing essaie de nous faire croire que le disque est mieux pour tout le monde, ce qui est faux.

Ce même marketing nous a fait croire que le triple était obsolète et il a réussi à le faire disparaitre (sauf montage particulier). Pourtant on se retrouve aujourd'hui avec des cyclos qui préfèreraient pouvoir acheter un triple plutôt qu'un compact... 😢

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Il faut laisser le choix aux cyclistes il y a des pour et des contre sur le frein a disques...

Ce que est lamentable c'est qu'on va nous l'imposer ... 

Pour le triple je suis plutôt sceptique vu que maintenant on a des compacts très bien adaptés a la montagne avec des cassettes de 11a 12 pignons qui monte facile a 32 dents ....

Perso j'ai monté la planche des Belles filles en mono plateau en 42/42 en pesant 87kl  avec un final entre 20-24%....vive le mono 😆

 

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Mon procédé précis suggéré par Jérémie pour enlever du liquide : actionner le levier de frein d'un demi-centimètre environ et le laisser dans cette position sans bouger d'un poil, ouvrir la vis de purge située sur l'étrier, attendre qu'une goutte de liquide en sorte, revisser la vis de purge, et enfin relâcher le levier. Normalement, si on procède ainsi, il n'y a pas d'air qui puisse entrer dans le circuit.

Et le résultat est là : le point de contact disque-plaquettes qui est atteint plus tard lorsqu'on actionne le levier de frein…

Note que mes freins sont des TRP Hylex, pas des Avid. Mais le principe de fonctionnement doit être le même, et commun tous les freins à disques hydrauliques.

À mon avis, la clé de l'explication se trouve dans la cocotte de frein TRP, là où se trouve le maître-cylindre.

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avec le poids de gringalet que tu fais je ne comprends pas comment tu peu avoir des si petits braquets ...mes 2 potes qui font  62kl environ ont monté les gros % sans etre dans le rouge ..on a fait 100km avec 2400m D+ , sortie correct avec 3 petits cols mais des % sévères ...

Tu serais gros ou agé ou malade je comprendrais là je ne comprend pas .....tu manque vraiment de force ....

J'ai possédé un triple il y a bien longtemps quand j'étais en club cyclo et j'ai fais quelques belles virées dans les Vosges (dont une de 210 km )  je n'avais que 5 pignons derrière avec 24 maxi .....je pesais vers 18 ans 75kl environ , jamais eu de soucis ....

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Salut Thibaud,

   Tu as fait la descente coté Lanslebourg? Veinard! En revanche - sous le drache - je t'aurais volontiers laissé mon SuperSix HM. pour tester les disques😃! Non, non, je t'assure: pas pour te piquer ton spad! Juste pour le tester et te le rendre à la fin de la descente. Pour la montée suivante, je récupérais bien sur ma monture...   Bonne journée à toi!

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Si tu rouvres ce sujet, ça montre une fois de plus que tu es insensible à un étagement de cassette. Tant mieux pour toi mais ce n'est pas le cas de tout le monde 😉

Avec mon compact, j'ai 34/34 en braquet mini donc équivalent au tien ou à mon ancien triple. Pour cela, ça m'oblige à avoir une cassette 11-34 très mal étagée pour la plaine. Dès que je quitte la montagne, je remets donc une cassette 12-29 bien mieux étagée.

Ca m'oblige donc à jongler entre deux cassettes alors qu'avec mon ancien triple, je n'en avais pas besoin. J'avais les mêmes braquets extrêmes qu'avec mon compact ET un bon étagement que je n'ai plus avec mon compact...

Le mono va encore plus loin car sa vocation principale est la simplicité d'utilisation (pas de changement de plateau à gérer...) mais au détriment complet de l'étagement de cassette.

Chaque système a encore une fois ses avantages et inconvénients mais le triple a tout de même disparu... 🤐

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Tu ne comprends pas l'utilisation de petits braquets pour monter mais tu as un VAE parmi tes nombreux vélos. Es-tu "gros ou agé ou malade" pour avoir besoin d'une AE dans certains cas ? Tu manques vraiment de force .... Voilà c'est juste une question de point de vue 😉

Pour revenir aux petits braquets, viens faire de longs cols pentus dans les Alpes ou Pyrénées et on en reparlera. Comme dit précédemment, j'ai amélioré mon chrono dans la montée de Bisanne (12km à 8% de moyenne avec un final >9% sur 3 km) en adoptant des braquets plus petits et pourtant je ne pèse également que 62 kg. Cette montée est un exemple parmi d'autres mais quand on enchaine plusieurs longs cols pendant plusieurs jours alors on apprécie d'avoir des braquets adaptés à sa pratique.

Mais va également expliquer aux pros d'aujourd'hui qu'utiliser un 39/28 c'est pour les petits jarrets alors qu'avant on montait partout avec un 42/21... 😆

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Je suis simplement bien plus véloce que toi et donc bien plus à l’aise sur de bien plus petits braquets que les tiens. Et pendant que les pédaleurs en force arrachent leur vélo dans les raidards, moi je préfère rester assis en tournant les jambes. Ménageant ainsi mes jambes et mon souffle.
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