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Giro 2023 blabla


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Healy serait un peu cramé selon des suiveurs.

S'il prend l'échappée du jour, il doit passer en tête de deux premiers grimpeurs et au pire troisième de la troisième ascension pour lui prendre le maillot et avec une marge faible.

Pinot a donc plusieurs options : sortir avec lui et condamner l'échappée, et risquer de faire une croix sur le CG (car il pourrait payer ses efforts cumulés à ceux de la veille) ; envoyer un équipier comme Molard pour le protéger et contrer Healy à chaque sommet ; rester patient et confiant sur le fait que les "gros" déclenchent la bagarre et les tenir pour aller gratter des points sur les deux dernières ascensions du jour.

Modifié par Geoffroy CACHAT
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Qui se souvient de la 12ème étape du Giro 1968 ?
Sous la pluie et sous la neige, Eddy Merckx, 22 ans et avec le maillot de champion du monde, signe son plus grand exploit. Parti au pied des Tre Cime de Lavaredo, il reprend un à un les échappés qui avaient plus de 9 minutes d'avance. Gimondi en larmes à l'arrivée perdra plus de 6 minutes.

 

https://www.giroditalia.it/fr/news/souvenirs-des-tre-cime-di-lavaredo-1968-merckx-devient-le-cannibale

 

A l'époque on n'avait pas raccourci l'étape sous prétexte de mauvais temps.Et les coureurs de l'époque n'avaient même pas les vêtements actuels pour se protéger du froid.

 

Aujourd'hui, il est fort à parier que l'étape sera moins épique. 🙂

Modifié par Michel ROTH
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Etape bien particulière à suivre pour moi puisque qu'aujourd'hui le parcours inclut des cols que j'ai tous escaladés avec mention particulière pour le Giau où seul dans l'ascension j'avais mis peut-être 8 km pour revenir sur les 2 italiens que je voyais devant moi ! (Maratona les Dolomites 1997). 

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Il y a 1 heure, Bernard MOREAU a dit :

Etape bien particulière à suivre pour moi puisque qu'aujourd'hui le parcours inclut des cols que j'ai tous escaladés avec mention particulière pour le Giau où seul dans l'ascension j'avais mis peut-être 8 km pour revenir sur les 2 italiens que je voyais devant moi ! (Maratona les Dolomites 1997). 

Ah les dolomites ! Terrain de ieu fabuleux ! Le Giau ? je l'ai inscrit à mon palmarès en 1982, donc 40 ans c'est fou comme le temps passe, et il n'était pas goudronné et de nature terreuse. Aujourd'hui l'étape est simplement fabuleuse, et après Cortina, c'est là que j'ai vécu les plus fameux paysages que l'on peut saisir, après le Tre Crocchi, on découvre le massif avec son culminant à 3082 m, avec le lac de Misurina à droite de notre route, puis le col de San Angelo qui est le pied de la dernière montée. Obstacle redoutable de l'équivalent du Puy de Dôme, car s'il est un peu plus court 3,2 km le pourcentage est à 13, 2 %, et arrivé au sommet on est content de se rassoir sur la selle.

Ah les souvenirs !

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Un Giro bizarre cette année ------la grande explication pressentie aura bien lieu.La lutte pour le maillot rose devrait logiquement opposer Thomas à Roglic.

Petit avantage pour Roglic selon moi : pédale plus en souplesse que Thomas,sur une montée aussi terrible c'est un gros avantage.Réponse demain.

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il y a 11 minutes, Didier SALEMBIER a dit :

Un Giro bizarre cette année ------la grande explication pressentie aura bien lieu.La lutte pour le maillot rose devrait logiquement opposer Thomas à Roglic.

Petit avantage pour Roglic selon moi : pédale plus en souplesse que Thomas,sur une montée aussi terrible c'est un gros avantage.Réponse demain.

La fameuse montée ressemble plus à un large chemin bétonné qu'à une route. Impraticable pour les voitures. Donc pour l'assistance technique il y aura une moto suiveuse avec un mécanicien à l'arrière. Gare aux crevaisons !

 

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